• Un retour compliqué et tendre

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    Je roule lentement prenant soins d'éviter les à coups et les secousses pour ne pas sortir voisine ouverte de sa léthargie, elle semble fatiguée comme droguée, presque hagarde. Je conduis une main posée sur ses cuisses, inquiet que la soirée ait été aussi pour elle aussi inoubliable et pleine de jouissance. Ces cris, ces secrétions, tous ces signes de la jouissance féminine, elle les a montrés, fortement et même plusieurs fois, pourtant elle est là à coté de moi comme prostrée, je ne sais plus trop que penser. En arrivant vers notre domicile, je vérifie rapidement que j'ai bien le salaire de la baby sister et je gare la voiture dans notre garage.

    J'aide mon épouse à sortir de la voiture et la soutien pour monter au salon où nous accueille la baby sister. A son regard, je note qu'il y a quelque chose de différent de d'habitude, normalement elle nous salue d'un ton enjoué, racontant brièvement la soirée avec nos deux enfants, attend qu'on la paye et qu'on la raccompagne. Là, je la voie regarder attentivement mon épouse, détailler ses cheveux, l'encolure du manteau montrant une peau nue, mes yeux suivent le parcours des siens. Effectivement, mon épouse offre le tableau de la fétarde ayant abusé : cheveux en désordre, maquillage tombé, cernes sous les yeux, elle offre bien le spectacle d'une femme ayant profité de sa soirée. Je me fige quand j'entends la baby sister dire à ma femme avec un sourire ambigu,ses yeux rivés sur les cheveux colants et les traces blanchâtre du visage de mon épouse : « Je vois que la soirée a été longue et très agréable, pleines de plaisir » Elle ajoute avec un sourire encore plus grand : « Si vous voulez je peux finir ma soirée chez vous ça vous évitera de me raccompagner » Je ferme les yeux, rougis, non mais qu'est ce qu'elle sous entends celle là ? Je l'imagine raconter à sa mère qui est la marraine de notre dernier : « Ah hier ils ont fait la fête les ****, elle, elle est rentrée nue sous sons manteau, ca se voyait et elle avait du sperme collé à ses cheveux » Je vois déjà le regarde que nous lancerait cette amie de la famille à la sortie de la messe dimanche prochain si sa fille lui raconte notre retour comme cela ! Je sors fébrilement quelques billets de ma poche, constituant une large somme par rapport à ce que nous lui devons, lui prends le bras et la pousse vers la porte : « Tiens prend ça et pour une fois tu vas rentrer toute seule s'il te plait » Elle me retourne juste encore une fois son sourire ambigu et s'en va sans se presser. Mais bon Dieu, les jeunes filles seraient elles naturellement vicieuse maintenant ?

    Débarrasser de l'inopportune, je retourne au salon, ma femme n'a pas bougé d'un pouce, serait elle choquée à ce point la ? Je la prend dans mes bras et entreprend de monter l'escalier comme au début de notre mariage, au vu de mon souffle à l'arrivée sur le pallier j'en déduis que nous sommes mariés depuis longtemps, faudrait que je refasse du sport et que j'arrête de fumer. Non, je ne vais tout de même pas me priver de mes cigares pour devenir le maitre de voisine ouverte, non quand même pas. Je dépose mon précieux colis dans notre salle de bain devant la douche, je lui ôte lentement son manteau, m'agenouille pour lui retirer ses chaussures, en profitant pour lui embrasser tendrement les jambes, les cuisses, le sexe. Je me redresse et dit juste : « Tes mains derrière le dos » La phrase, et le ton pour la dire sont venus naturellement, il me paraît évident maintenant que ma femme va obéir et que tout autre mode de relation déboucherait sur des jeux intimes insipides. Je prête à peine attention au mouvement de mon épouse pour mettre ses mains derrière elle et je vais chercher un foulard dans notre chambre. De retour dans la salle de bain, je lie lui lie les mains dans le dos, fais couler la douche pour obtenir une douce température et fais entrer ma moitié sous le jet.

    Je me colle contre son dos et entreprend de la savonner avec douceur, faisant courir mes mains sur son corps, lui caressant le cou, les épaules, les seins le ventre, glissant mes paumes sur ses hanches, ses cuisses, ses fesses. Je continue cette douche câline mon sexe mou entre les fesses de voisine ouverte, lui murmurant combien je l'ai trouvé formidable ce soir et quel plaisir j'ai pris à ces nouveaux jeux. Mes mains courent toujours sur la peau de voisine ouvertes, allant et venant savonneuse caressant parfois ses zones intimes. J'entreprends un long shampoing, lui massant le cuir chevelu pour essayer de la ramener « à la vie », de la sentir réagir, de l'entendre parler. Je termine la douche en la séchant complètement frictionnant son corps par l'occasion, lui pose sur les épaules un peignoir de bain, la regarde me demandant ce qui à bien pu la rendre comme cela alors qu'elle semblait extatique lors de la séance de fouettage. Comme un instant plutôt, je lui dits calmement, sur de son obéissance : « Suit moi dans la chambre et couche toi sur le lit sur le ventre »

    En la voyant se coucher maladroitement du fait de ses mains liés, je me dis que la question n'était plus de savoir si nous aimions les jeux de dominations/soumissions mais de savoir comment nous allions trouver nos propres jeux et notre équilibre familial en les pratiquant. Je défais son lien, lui tapote les fesses : « Mets tes poignets croisés au dessus de ta tête » Je lui bande les yeux avec un foulard et lui attache à nouveau les poignets, je la regarde allongée offerte sur le lit, désirable et heureux d'avoir une femme ouverte. Je prends un lait de massage et commence à lui enduire doucement la nuque.

    Je lui masse les épaules, le dos, fait courir un doigt enduit de lait le long de sa colonne vertébrale pour le glisser légèrement entre ses fesses, je poursuis le jeux de mes doigts, zigzaguant sur son dos, je comprends combien la séance de fouet n'a pas été un simple jeux érotique mais bien un châtiment corporel violent. Les nombreuses marques sur la peau de voisine ouverte en attestent, ses frémissements lorsque l'alcool du lait de massage est déposé sur les cicatrices encore rouges montrent que la douleur a été réelle et qu'elle n'a pas simulé, pas plus qu'elle n'a simulé la vague de jouissance qui a découlé de la torture. Je la revois sortir de la salle à quatre pattes, la chatte coulant presque sur le sol et je le compare à son attitude depuis la sortie du club, je ne peux qu'en déduire qu'il y a eu un raté. Je continue mes caresses, massant ses fesses, ses cuisses, ses mollets, assouplissement dans un mouvement ralenti ses plantes de pieds. Je pose ses mains sur ses épaules pour les descendre d'un mouvement sur ses fesses et la caresser enfonçant mes doigts dans son intimité, j'enfonce mes doigts profondément la caressant largement. Je souris de la sentir humide, de la voir se mettre à souffler petit à petit. J'effleure de mes lèvres sa peau devenue douce, lisse, odorante puis murmure : « Tourne toi » Est un ordre ou une mot d'amour ?

    Je reprends du côté face, les caresses du côté pile, enduisant ses seins de lait pour l'étaler avec mon torse, un classique des jeux érotiques mais au combien agréable à faire en réel. Mes mains, mon corps collent celui de voisine ouverte pour la masser complètement. Je termine ses tendres préliminaires en pénétrant sans violence ni brutalité mon épouse, lui retirant le bandeau au moment de sa jouissance. Finalement, il est possible de jouir sans jeux de domination. je m'écarte, repus, espérant avoir permis par ses dernières attentions à voisine ouverte de rentrer chez nous et d'atterrir sans dommage. Je me colle à elle pour m'endormir sans lui délier les poignets ma main caressant sa chatte comme un doudou. Je m'endors en pensant encore une fois à la fin de notre soirée au club où je l'ai offerte comme une viande à un groupe d'inconnus l'ayant sodomisée, dernière étape de son parcours initiatique, mais peut être étape de trop ... Avant de sombrer dans un lourd sommeil, je me demande comment va se passe notre petit déjeuner en famille demain matin et comment une femme peut elle aimer se faire insulter ?


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  • Une limite a été franchie

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    Allongée sur le sol, le sperme coule de mon sexe. J'ai joui, il a joui. J'ai ressenti un orgasme si fort sous le fouet. J'ai tellement rêvé de cet instant, pourtant la douleur est bien réelle et je sens encore chaque marque sur ma peau qui indique l'endroit où est passée la lanière de cuir. Quelle souffrance et quelle jouissance aussi. Je reste ainsi, soufflant, dans un état second, assouvie épanouie. Cela devait arriver, je l'ai si souvent fantasmé sur internet que mon mari l'a découvert et me l'a donné en réel.

    Je sens la main me tapoter en me disant « bonne fille », il me parle comme à un animal. Cela ne me blesse pas, j'ai accepté le jeu. Et il m'a donné beaucoup de plaisir. Je suis sa soumise et il a joui en moi. J'ouvre les yeux pour découvrir le sucre tombé sur le sol. Sous le regard de la soumise du voisin, je me redresse grimaçant de douleur lorsque j'étire ma peau. Je viens à 4 pattes en bonne chienne, et en baissant la tête attrape le sucre avec mes dents. En me redressant, je croise le regard de la soumise qui me rejoint, se frotte à moi. J'aime sa présence, c'est elle qui m'a guidée vers la salle de fouettage et pourtant je lui en suis reconnaissante d'avoir goûté ce plaisir. Les deux maîtres discutent entre eux, mais nous n'écoutons pas. Nous ne parlons pas mais échangeons pas nos regards le fait d'être si proche, nos corps en feu. Chienne soumises en chaleur et complices.

    Je ne vois pas le fouet passer de la main de mon maître dans celle du voisin. La soumise du voisin se tend soudain en s'écartant de moi. Nous perdons le contact. Elle n'a pas crié mais je vois le voisin, le fouet à la main et comprends ce qu'il vient de faire. Je l'entends me rabaisser en disant que je coule. Je sens le regard de mon maître entre mes cuisses. Oui je mouille encore, l'orgasme violent du fouet bien que m'ayant assouvie n'a pas arrêter le flot de cyprine de ma vulve ouverte par la main un peu plus tôt. Je regarde alors celui qui fut mon mari en l'entendant demander au voisin de me punir. Je me mets à trembler en repensant au fouet... A trembler et à mouiller repensant à ce plaisir qui m'a terrassé tout à l'heure. Bien que le regard du voisin montre son envie de me le faire subir encore, il se met à proposer un échange de soumise. Le voisin vante les mérites de sa soumise comme maîtresse de maison. Je l'imagine soudain chez moi, faisant des petits plats à mon mari en petite tenue de soubrette. Un sentiment de jalousie honteuse me parcourt. Surtout quand mon maître parle de notre lit conjugal. Elle se donnerait à lui, mon mari. Je n'ai pas le temps d'approfondir cette vision car mon maître m'ordonne de me mettre sur le dos.

    Aussitôt maintenant bien dressée, je m'allonge sur le dos. Je replie mes jambes et mes bras comme une chienne qui se roulerait sur le dos. Le voisin me tourne autours le fouet dans la main. Je tremble mes seins tendus, son regard sadique appréciant mon attente. Il passe la lanière qui m'a déjà fait tellement mal sur ma peau, je frissonne. Ma respiration s'accélère. Puis il lève le bras et frappe sur mon ventre. Je pousse un cri en me crispant. Il ne me laisse pas le temps de récupérer et vient abattre la lanière en travers de mes deux seins. La lanière s'enfonce dans mes chairs mammaires. Je crie en repliant mes bras. Il frappe alors mes cuisses. Je me débats en criant essayant d'échapper au fouet. Mes mains se posent sur mes cuisses douloureuses pour les frotter, il en profite pour abattre deux fois de suite le fouet sur mes seins gonflés les mamelons dressés, les marques rouges en travers. Je passe mes mains pour les masser. Il s'éloigne alors. J'halète comme la chienne que je suis. Je le regarde lever le bras, nos regards se croisent moi, apeurée, lui vicieux et pervers. Il allonge le bras, le fouet part passe entre mes cuisses. La pointe s'abat juste sous mon cou, je grimace. Le fouet entraîné par son élan, s'abat sur toute la longueur de mon corps jusqu'au pubis. Je hurle alors que la douleur me coupe en deux. J'entends les applaudissements, une larme de honte coule sur ma joue.

    Mais mon sexe exposé est de nouveau ruisselant de mouille. Je me redresse les seins de nouveau mordu par des stries rouges brûlantes et la longue marque du cou jusqu'au pubis. Je me mets à 4 pattes et me dirige vers les jambes de mon maître. Il quitte la salle. Je le suis comme une petite chienne. L'air frais entre mes cuisses et mes fesses humides me troublent car je sais que je suis trempée. Mes seins douloureux ballottent. La soumise du voisin me rattrape. Je la regarde, son sourire, ses yeux pétillants. Aux mots du Voisin, je l'imagine déjà en train de me lécher avant de nous quitter et j'en ai très envie. J'ai toujours aussi chaud entre mes cuisses. Le maître s'arrête, je relève la tête et vois qu'il regarde un groupe d'homme. Je suis son regard sans comprendre pourquoi il semble hésiter. Puis je l'entends me proposer à ces hommes. Je reçois le choc. Il m'a déjà offert au voisin mais maintenant il m'offre à ces trois inconnus.

    Je suis en chaleur mais je trouve humiliant d'être prise par des hommes que je ne connais même pas. Les hommes posent leur regard sur moi à 4 pattes, ils semblent demander confirmation pour être sûr qu'ils peuvent profiter de moi. Mon maître ne répond pas mais je sens qu'il tire sur mes cheveux, je gémis en avançant tirée par racines capilaires. Puis j'entends la confirmation que je ne suis plus pour lui qu'un objet de plaisir, un corps à offrir lorsqu'il dit : « oui oui faites en ce que vous voulez ». Je me sens soudain rabaissée au rang d'un jouet sexuel, rien de plus. Comme pour jouer dans le sadisme encore une fois, il me frappe la plante des pieds si tendres. Je hurle devant les trois hommes qui sourient visiblement excités de me voir ainsi. Un homme assis juste en face de moi sort sa queue déjà dressée. Mon maître la voit et m'ordonne d'aller le sucer.

    Je me souviens de ces femmes couvertes de spermes qui suçaient tous les sexes qu'on leur offrait. Il me frappe le dos pour me faire approcher du sexe tendu. J'entrouvre mes lèvres et aussitôt l'homme, reprends mes cheveux et appuie sur ma tête pour enfoncer sa queue dans ma bouche. Il appuie fort, j'ai la bouche en O, son sexe entier en moi. J'ai du mal à respirer. Il se sert de ma bouche comme si je n'étais qu'une poupée. J'entends le 2ème homme demander à mon maître de m'ouvrir le cul. La lanière vient mordre mes fesses qui tressautent et obéissante je m'ouvre en grand les cuisses écartées tout mon postérieur offert. Le coup porté me fait crisper mes lèvres autours du sexe de l'homme qui pousse un soupir appréciant visiblement. A peine les cuisses ouvertes, je sens le sexe de l'homme me prendre mon vagin grand ouvert. Mon sexe réclamait ce plaisir mais être prise ainsi sans aucune attention juste pour les plaisirs des hommes me blesse. Chaque coup entre mes reins me pousse en avant. La tête maintenue, le sexe dans ma bouche cogne le fond de mon palais. Je suffoque. Choquée prise comme une brochette je sens un liquide chaud sur mon crâne. Je comprends que le 3ème homme vient de jouir dans mes cheveux. Celui qui me maintient la tête, me tire alors extirpant son sexe de ma bouche et jouit de longs jets de spermes qui atteignent mon visage, mes joues. Je regarde les yeux écarquillés subissant ma première éjaculation faciale. Je sens alors l'homme en moi jouir dans ma chatte inassouvie. Il ressort. Les trois me regardent le visage maculé de sperme. Mon maître a l'air satisfait.

    Mais un des hommes intervient, celui qui ne m'a pas prise. J'entends le mot « enculée », j'ai un mouvement de recul. Je regarde mon maître implorante. Je sais depuis le début de la soirée que mon maître voulait travailler l '« Ouverture arrière de Voisine Ouverte ». Mais je pensais que ce serait mon mari, mon maître qui me prendrait pour la première fois par là. Non pas que j'ai peur, je sens que je suis prête, j'ai tellement mouillé que mon anus est dilaté, lubrifié lui aussi. Je sens aussi que c'est le jour pour, les tabous de mon éducation ont volé en éclat ce soir. Mais ce qui me blesse, c'est que ce n'est pas lui qui veut le faire mais un inconnu. J'espère qu'il comprendra cela. Hélas, il ne comprend pas ce que je ressens et me donne un nouveau cou sur le dos me blessant. Pourtant je ne crie pas, je le regarde implorant sa compassion. Il me regarde de haut, me méprise, ne comprends pas que je lui réservais ce privilège. L'homme visiblement énervé frappe de ses mains mes fesses et mon dos appuyant là où les marques sont les plus visibles. Je serre les dents en gémissant, je sens alors son gland entre mes fesses sur mon anus. Je ne me crispe pas, je sens que mon anus s'ouvre sous la pression. Je découvre cette sensation nouvelle, obscène d'être prise par le petit trou. Il s'enfonce en moi appuyant de tout son corps. Je me sens empalée par derrière, une larme coule sur ma joue. Je subis ma première sodomie par cet inconnu. Je baisse la tête déçue et résignée, alors qu'il augmente l'amplitude. Il s'enfonce profondément puis ressort me ravageant les intestins. Je n'imaginais pas ressentir une telle sensation un jour. Il me maintient par les fesses, s'enfonçant puis ressortant sous le regard de tous. Enfin il jouit. Ressort et me donne une petite tape visiblement satisfait alors que je sens mon anus douloureux ouvert qui se rétracte doucement.

    Le cul douloureux, le visage plein de sperme, j'obéis et suis mon maître jusqu'à l'entrée. La soumise du voisin qui n'a rien loupé du spectacle, est toujours à côté de moi. Elle voit bien qu'il y a quelque chose qui ne va pas. Elle sait aussi que je n'ai pas joui lorsque ces hommes m'ont prise. Mon maître nous laisse seules. Je reste à 4 pattes, elle vient derrière moi et approche son visage pour lécher mon anus douloureux. Je me crispe mais apprécie cet attouchement buccal. Je frissonne, elle descend alors toujours avec sa langue sur mon sexe ouvert et aspire mon clito tendu. J'écarte plus mes cuisses tendant mes fesses en arrière. Elle alterne du clito, remonte entre mes lèvres entre mes fesses jusqu'au petit trou. Je gémis plus fort. Puis avec ses dents, elle mord mon clito. Je pars dans un orgasme jouissant sur son visage. Il ne s'est pas passé 3 minutes et elle a réussi à me faire jouir. Elle revient à mon niveau, son visage maculé de ma mouille alors que le mien est plein de sperme. Elle lèche maintenant le sperme sur mes joues. Puis me dit « Je t'aime beaucoup Voisine Ouverte, tu as été parfaite pour une première fois. Il faut toutefois que tu comprennes qu'en tant que soumise, on obtient beaucoup de plaisir mais on doit aussi faire des concessions à son maître. C'est comme une relation normal il faut mettre de l'eau dans son vin de part et d'autres. Dis-moi ce qui ne va pas Voisine Ouverte ! »

    Elle prend un ton plus dure. Je lui réponds que je ne voulais pas que ma première sodomie soit ainsi. « Je comprends, tu es vexée... En tant que soumise, nous apprécions l'humiliation et c'était pour toi ce soir la pire des humiliations n'est ce pas ? » Elle réfléchit un instant plutôt l'air grave : « Tu dois accepter d'être humiliée par ton maitre. C'est une sorte de test pour toi : si tu acceptes ce qui vient de se passer alors tu découvriras les plaisirs de la soumission ; en revanche si tu lui en tiens de la rancune, alors oublie ce qui s'est passé et redevient l'épouse sage et fidèle que tu étais... » Sur ces paroles, elle m'invite à rejoindre mon maître. Elle me glisse juste à l'oreille avant que je ne me relève « restons en contact et dis moi ce que tu as choisi »

    Le manteau vient recouvrir mon corps. Je sors alors laissant derrière moi cette expérience de folie. Je monte dans la voiture, mon corps encore chaud de tous les traitements subis. Il semble être redevenu mon mari, il pose sa main sur ma cuisse comme il le fait habituellement. Il se remet à parler comme si de rien était, comme s'il ne s'était rien passé. Je ne lui réponds pas. Je ne sais pas comment réagir. J'ai pris du plaisir, j'ai joui de nombreuses fois comme ça ne m'étais jamais arrivé. Je suis fatiguée. J'ai envie de rentrer.


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  • Toutes les soirées ont une fin

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    Je réalise ce que j'ai fait, comment j'ai joui mais je réalise aussi le plaisir que voisine ouverte a pris, sa douleur qui a été réelle mais les réactions de son corps, de ses seins, de son utérus à cette douleur. Elle l'a voulait, la désirait, attendait cela depuis bien longtemps, elle en avait trop rêvè devant son ordinateur. Mais maintenant elle savait ce que signifie le claquement d'une lanière de cuir sur la peau d'une femelle en chaleur.

    Je sors ma bite molle du con de voisine ouverte, lui tapote la cuisse en murmurant :  « Bonne fille toi » Je demande à la soumise d'aller me chercher un sucre, quand elle revient, je regarde voisine ouverte et jette le sucre un peu devant elle : « tiens pour toi ma chie- chienne, elle va être bien ma petite chienne adorée, allez va manger ton cadeau » La soumise regarde voisine ouverte avec des yeux de merlan frit, décidément voisine ouverte a beaucoup de succés : même les salopes soumises tombent amoureuses d'elle. Mon voisin les regarde et philosophe une fois de plus : « Vous voyez comme les truies soumises vont bien ensembles, il suffit de les mettre côte à côte et à l'odeur de leur mouille flottant dans l'air , elle deviennent amoureuse. La soumise va pour se rapprocher de voisine ouverte, va pour se frotter à elle, mon voisin me demande mon fouet : « Vous permettez ? » « Faites mon bon voisin »

    Je lui tends le fouet, il fouette sèchement sa soumise : « non mais tu crois que tu vas pouvoir aller te frotter à toutes les salopes en chaleur ? Même si elle coule autant que voisine ouverte » Je le regarde, regarde voisine ouverte au corps toujours luisant de sueur, aux cheveux collés sur le front par l'effort, et la plaisir, en effet elle mouille encore cette salope de voisine ouverte. Je me tourne vers mon voisin : « Pourriez vous donner quelques coups à voisine ouverte pour lui apprendre de tant sentir la femelle en chaleur ? » « Oh avec plaisir, entre voisins il faut s'entraider, et si vous le désirez je pourrais prendre voisine ouverte chez moi en stage, en échange je vous prêterai ma soumise, vous verrez elle cuisine bien, fait bien le ménage, et peut être une parfaite maitresse de maison. » Je souris et dis clairement en regardant voisine ouverte : « oui c'est possible votre soumise irait très bien dans notre lit conjugal, mais nous verrons cela plus tard punissez voisine ouverte » Puis à l'adresse de voisine : « couche toi sur le dos, bras et jambe repliés comme une petite chienne » Mon voisin se lève, fait le tour de la petite chienne, fait glisser la lanière sur la peau nu de voisine ouverte, puis frappe cinq coups rapidement sur le ventre, les seins, les cuisses, puis il se met à quelques distance face aux cuisses repliées de la chienne. Il ajuste le dernier coup pour que la lanière frappe du bas du cou au bas du pubis, laissant une longue marque rouge courant sur tous le buste de voisine ouverte. Des applaudissements fusent dans la salle pour ce coup de fouet, j'applaudis à mon tour : « ben si en plus on t'applaudit parce que tu es une chienne en chaleur puant la mouille voisine ouverte ... » Je prends une moue faussement dégoutée.

    Je regarde mon voisin: « Nous allons y aller je crois, viens voisine ouverte au pied, reste à 4 pattes » Je ramasse le fouet et commence à partir suivi par voisine ouverte à 4 pattes, la soumise remue son cul en regardant son maitre avec insistance, il sourit : « Mais oui va avec elle tu lui léchera le cul pour lui dire au revoir mais tu ne te frotes pas à elle et tu ne jouis pas, compris ? » La soumise fait oui de la tête et se dépêche de rattraper voisine ouverte pour marcher toute contente à côté d'elle. En partant nous traversons un boudoir où boivent tranquillement trois hommes sans femme, ils n'ont rien de spécialement attirant, ni repoussant des hommes normaux quoi. Je m'arrête, hésite : la peur de la douleur, ou au contraire la stimulation par la douleur fera t elle que voisine ouverte se fasse baiser par ceux que je veux ?

    Je me tourne vers les 3 hommes : « J'ai une chienne à baiser, vous en voulez ? » Je marque une pause et comme pour trouver une justification à cela je complète : « J'ai une petite panne » Les hommes regardent voisine ouverte et un demande : « Vous voulez qu'on baise cette chienne ? » J'attrape les cheveux de voisine ouverte, la tire vers les hommes : « oui oui faites en ce que vous voulez » Je fais tomber la lanière trois fois sur la plante des pieds de voisine ouverte : tant quà être sadique autant l'être jusqu'au bout : « va sucer la chienne » Je fouette une nouvelle voisine ouverte sur le dos pour la stimuler. A ma grande surprise, les hommes se mettent à bander presque immédiatement, l'homme sucé attrape les cheveux de voisine ouverte pour bien maintenir sa tête sur sa bite, un homme me regarde : « Un petit coup sur son cul pour lui faire ouvrir ? » Je frappe presque automatiquement les fesses de voisine ouverte qui s'arque mais ouvre largement ses cuisses, aucun doute entre notre arrivée et maintenant des choses se sont produites entre voisine ouverte et moi ... L'homme profite du chemin offert et s'enfonce d'un coup dans la chatte de voisine ouverte après s'être mis un préservatif. Il la bourre à grand coup appuyant chacun de ses enfoncement de tout le poids de son ventre. Voisine ouverte gémis la bouche rempli par la bite de l'homme qu'elle suce. Le troisième frotte sa bite contre ses cheveux et jouit presque immédiatement inondant le cuir chevelu de voisine ouverte de foutre collant, l'homme qu'elle suce sort sa bite et asperge le visage de voisine ouverte. Décidément c'est une manie ! Celui qui l'a baisée par la chatte jouit à son tour et va retirer son préservatif puis déplace son siège pour pouvoir contempler voisine ouverte de profil en lui caressant la chatte du bout du pied.

    Je leur souris : « bon ben merci du coup de main les gars » Celui qui s'est branlé me regarde travers : « ben je l'ai pas enculée la chienne » Vu les règles des club, je sais qu'il n'y a aucun risque que cet homme fasse un geste que je ne veux pas, mais pour jouer le jeux, je fouette une nouvelle fois le dos de voisine ouverte qui est largement marqué maintenant : « ouvre ton cul avec tes mains » La soumise fait une mimique de reproche et d'énervement, je la regarde méprisant cette intervention, l'homme se place derrière voisine ouverte, lui claque le cul et le dos, là où elle a le plus de marque et l'encule. Il fait cela d'une façon étonnante, comme un cycliste grimpant une côte, il attrape le cul comme un cycliste attrape son guidon puis fait des mouvements réguliers sans s'arrêter, maitrisant son souffle et son effort. Il en résulte un va et vient régulier, soutenu, qui semble ne jamais finir. Enfin il monte sur la marche du podium du 7eme ciel. Il se retire tapote une derniere fois voisine ouverte : « la chienne peut y aller maintenant »

    Je fais claquer le fouet par terre : « Vient la chienne on y va » Je passe par le comptoir déposer le fouet puis dit à la soumise : « t'a 5 minutes pour lui faire un câlin et lui dire au revoir, dépêche toi » je vais vers les vestiaires pour y attendre voisine ouverte. Je l'accueille après quelques minutes que j'imagine très tendre avec la soumise, je murmure juste « je demanderai son téléphone au voisin » puis je pose son manteau sur les épaules de voisine ouverte, met le reste de ses affaires dans un sac et lui dit : « Vient »

    Je sors du club frissonnant dans la nuit, passe mon bras autour des épaules de ma femme, et la fait assoir dans la voiture, démarre, met le chauffage pour vite trouver une ambiance chaude, douce. Je lui caresse la cuisse comme je l'ai fait tant de fois après des soirées agréables, puis lui sourit : « La soirée a été longue n'est ce pas ? » Je prends un visage ennuyé, et murmure : « J'espère qu'il me reste assez pour la baby sister et que cette fois ci elle rentrera toute seule chez elle ... »


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  • Cela fait mal et cela fait jouir

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    Je vois le corps de la soumise du voisin secoué tout près de moi et je comprends que tu l'a prends vraiment fort à grand coup même si c'est par derrière. Je ne vois pas mais j'imagine ton sexe, celui de mon mari, dans le cul de cette petite salope. Pendant ce temps, le voisin s'amuse à enfoncer son sexe profondément en moi. Il ressort. Regarde ma vulve et me reprend. Toujours écartée, je le subis. Petit à petit, mon corps se remet à ressentir une sensation entre mes cuisses malgré les deux orgasmes. La soumise du voisin arrête d'être secouée. Je vois le mouvement de mon mari, il vient de jouir.

    De nouveau la honte, la frustration qu'il ait sodomisée cette femme inconnue et qu'il en éprouve du plaisir. Le Voisin comme s'il sentait mon trouble me rappelle à lui en me baisant plus fort, faisant bouger le fauteuil gynécologique avec mon corps dessus. Mes petits cris lors de ses coups me trahissent. Alors que mon plaisir remonte, le voisin se plante en moi au plus profond et jouis dans ma vagin distendu. Il ne se préoccupe pas de mon plaisir juste du sien. Je le sens me quitter, frustrée.

    Puis la conversation s'engage entre les deux hommes nous rabaissant moi et la soumise à de simples femelles à disposition. Mon mari et maître demande à la soumise de me détacher. De nouveau je sens ses mains, son corps si proche, et pourtant elle vient de se faire sodomiser par mon mari. Elle libère mes jambes dont les muscles sont douloureux car j'étais fortement écartée. Je pose mes pieds par terre me redresse et constate les dégâts de mon sexe grand ouvert avec stupéfaction mais aussi satisfaction. Les mains de la soumise m'aident à me remettre d'aplomb, tendrement. J'en frissonne.

    Un claquement sec sur sa cuisse la fait tressauter. Je regarde et distingue la cravache et la remarque du voisin s'adresse autant à moi qu'à elle. Surprise je la vois se rebeller alors qu'elle est habituellement si soumise. Depuis le peu de temps que je la connais, elle a un comportement agressif, brusque. Ses yeux lancent des éclairs presque comme une tigresse. Je ne la reconnais pas. Cela ne dure qu'un instant, je découvre cette personnalité sauvage en moins de quelques secondes. Car, rapidement, elle baisse la tête soumise et demande la punition. Elle se retourne toujours offrant son postérieur à son maître son visage proche du mien renouvelant cette complicité entre soumises.

    Hélas, le voisin ne l'entend pas de cette oreille et je le vois lui tirer les cheveux pour la jeter par terre violemment. Quel monstre me dis-je en le voyant la gifler et lever le bras pour la frapper. Elle s'offre acceptant son sort et pourtant, ses dernières paroles sont pour moi. « Je t'embrasse », aussitôt je repense à ce baiser doux et mielleux de ses lèvres, un frisson de plaisir me parcourt alors qu'elle prend les coups de son maitre. Le Voisin semble satisfait de la punition infligée à la soumise. Il se retourne vers moi et la paume de sa main vient écraser mon sexe qu'il vient de baiser. J'ai un sentiment de peur mêlé d'excitation, va-t-il me punir moi aussi ?

    Mais mon maître interrompt la discussion. Mon maitre et néanmoins mari s'approche, caresse mes cheveux éparses, décoiffée. Sa main dans mes cheveux, je sens ses doigts se refermer sur mes cheveux les tirer. Je descends du fauteuil mais il continue à tirer me forçant à descendre une grimace sur le visage je tombe à genoux sur le sol froid. J'entends le terme « à 4 pattes », cette image de soumise humiliée à 4 pattes me parcourt, enfin je vais pratiquer cette position humiliante. Sans me faire prier d'avantage. Je pose mes mains au sol, mes seins tombent sous mon corps. Je suis à 4 pattes.

    Je marche difficilement, la soumise du voisin a plus d'aisance dans cette démarche plus habituelle pour elle. Je me concentre pour la suivre lorsqu'elle me parle à voix basse. Elle me rappelle mon état dans la salle au fouet. Aussitôt je repense à cette femme et à sa maîtresse. De nouveau, mes fantasmes remontent dans ma tête, j'ai toujours rêvé de ça et elle le sait. Je ne réponds pas mais mes yeux en disent plus, perdus dans cette vision de mon corps criant sous la douleur du fouet. Je recommence à couler fort entre mes cuisses. Elle m'explique qu'elle va prendre l'initiative. Je commence à appréhender les règles complexes qui unissent le maitre et sa soumise. Elle accélère soudain comme un chien le ferait pour guider son maître et je comprends vite là où elle nous amène.

    Prise entre l'anxiété et l'envie, je la remercie mais lui en veut aussi. La soumise est déjà prêt des fauteuils lorsque que j'entre dans la pièce. Mes yeux suivent les liens prévus pour ce qui se pratique ici. Mon souffle est court de nouveau très excitée. Il n'y a plus personne, plus de cris de femme blessée et cela me manque presque. Mon regard ce porte là ou était la maitresse qui m'avait défiée mais elle n'est plus là. Je rejoins ma compagne de soumission et m'assois troublée à côté du fauteuil de mon maître. Les maîtres ont soifs et commande à boire non sans oublier de me rabaisser devant le serveur. Je ne suis plus Voisine Ouverte mais Petite chienne ouverte. Celui-ci ne réagit même pas et j'en suis presque déçue. C'est tellement bon d'être humiliée devant les autres.

    Mon maître s'adresse à moi me demandant d'aller entre les deux anneaux qui pendent du plafond. Mon sang ne fait qu'un tour et mes glandes internes se remettent à lubrifier mon sexe. La simple idée d'aller là, à cet endroit me rend folle. Je me redresse, tremblante d'excitation et croise le regard de la soumise du voisin. Elle sourit l'air de me dire « tu vas obtenir ce dont tu as envie ». Debout, je me place docile entre les deux anneaux. J'essaie de rester calme obéissante mais déjà mes seins sont tendus ma chatte en feu. Le maitre approche, je respire fort. Il passe mes poignets dans les anneaux me mettant les bras en l'air. Combien de fois ai-je rêvé de me retrouver ainsi. Il tire fort sur mes bras me forçant à me mettre en appui inconfortable sur la pointe des pieds. Mon corps est tendu, mes seins gonflés pointés par la position. Sa main parcourt mon corps fébrile, je gémis lorsqu'il touche mes seins et mon sexe dont je ne peux masquer l'excitation qui coule entre mes cuisses. Je l'entends me parler me dire que je vais m'ouvrir maintenant. J'espère effectivement être prise maintenant ainsi attachée.

    Je le vois alors décrocher un fouet à longue lanière de cuir du mur. Je respire encore plus fort, je transpire mon corps laisse échapper des gouttes de sueurs. J'ai envie mais je sais que ce n'est plus un fantasme que cela va certainement me faire mal. Pourtant mon sexe dégouline. Je sens le contact de la lanière dans mon dos et un frisson part de mon cou pour aller faire pointer encore plus mes seins. Lui aussi, comme la soumise, a remarqué mon état dans cette salle et il a lu tous ces dialogues ou je me faisais fouettée, maltraitée. Il sait. Je respire maintenant la bouche ouverte, tendue. Je le vois lever le bras, je me mords les lèvres alors que je vais enfin découvrir cette douleur qui me fait tant fantasmer. Mais le serveur l'interrompt me frustrant pour la 2ème fois.

    Mon maître ou mon mari, je ne sais plus dire, prend sa coupe et me regarde droit dans les yeux. Il déverse enfin dans son regard tous les reproches. Il sait que j'ai fait ça des centaines de fois et là, il m'a sous la main, pour me punir réellement. Et moi, je crève d'envie de vivre ce fantasme mais je ressens aussi de la peur car je vois dans ses yeux qu'il ne retiendra pas ses coups. Il va me faire mal pour que je comprenne la vraie réalité des choses. Sur la pointe des pieds, je commence à fatiguer les bras douloureux qui supportent mon corps. La bouche ouverte, j'halète. Comme un dernier geste avant de passer à l'acte, il verse la coupe dans ma bouche sèche mais le liquide se répand et coule sur mes seins, mon ventre puis entre mes cuisses. L'effet est immédiat ma peau hyper sensible est survoltée par ce liquide qui coule sur moi. Enfin, il recule.

    Je ferme les yeux, cette fois ça y est je vais vivre ce qui me fait jouir dans mes fantasmes. Je ne regarde pas. Les yeux fermés, le corps tendu, j'attends de ressentir le premier coup. Et je ne suis pas déçue. La lanière vient mordre mon dos, j'ouvre les yeux et pousse un cri en me cambrant. J'avais imaginé tellement de fois cette douleur mais c'est bien pire que je ne l'imaginais. Il a frappé fort, la lanière est venue s'enrouler autours de mon corps et brûler ma peau. Une vive douleur sur toute la longueur du contact. Ça fait mal, vraiment mal comment ai-je pu espérer vivre ça ?

    Je n'ai pas le temps d'analyser que déjà le fouet vient s'abattre sur mes fesses. Je me tends en tirant sur mes bras et en criant fort dans la salle, le même genre de cri de femme blessée qui m'avait excitée à notre première visite dans cette salle. Je ne sais pas retenir mes cris comme d'autres soumises. Je sens une brûlure sur mes deux fesses et mes hanches. Une douleur qui résonne sur mes fesses. Je repense à ces photos, imagine la marque laissée par le fouet. J'ai mal aux fesses et pourtant mon sexe lâche des flots de cyprines. Mes cuisses sont inondées mais il semble que l'excitation ne monte pas que pour moi. Mon maître se laisse aller et enchaîne les coups claquant fort plusieurs fois d'affiler. Il ne me ménage pas comme je l'avais lu dans ses yeux. Il frappe durement et fort avec élan.

    À chaque coup la douleur traverse mon corps qui balance essayant vainement d'échapper à la morsure du fouet, mes pieds ne pouvant m'aider à fuir. Chaque coup sur mon dos est un supplice qui me fait maintenant hurler de douleur. Je ne peux réprimer les larmes qui coulent sur mes joues. Je voudrais l'implorer d'arrêter, je sens chaque coup de fouet comme une marque indélébile sur ma peau. Soudain, les coups s'arrêtent mon corps retombe juste porté par mes bras car mes jambes ne me supportent plus. Pourtant mes cuisses sont dégoulinantes des sécrétions de ma vulve ouverte. Je respire à peine sentant encore la douleur sourde de chaque coup, mes yeux embués ne distingue plus grand-chose. Mais je reçois des claques fortes sur mes fesses qui viennent raviver la douleur des morsures du fouet. Je n'ai pas la force de répondre à sa question mais ce que je viens de vivre va bien au-delà de mes rêves.

    Toutefois, ce n'est pas encore terminé, sans que le vois il vise entre mes cuisses. Le cuir vient frapper l'endroit le plus sensible de mon corps. Je me cabre comme une jument blessée, me redresse brutalement pris dans un étau. Je n'arrive pas à crier tellement la douleur est intense, je ne fait que pousser un son étrange du fond de la gorge. Tout se passe très vite, la douleur envahit mon sexe et dans le même instant, mon vagin se contracte et part dans un orgasme violent qui se répercute dans tout mon corps. Une seule vague, brutal m'emporte avant que je ne retombe suspendue. Je ne sais plus où je suis, je souffre et je viens de jouir.

    Je sens que mes bras sont libérés je tombe au sol incapable de me porter seule. Par terre, je sens des mains me soulever et un sexe s'enfoncer dans ma rivière intérieure. Un sexe que je devrais reconnaitre mais je ne sais plus qui me prend. La douleur est encore présente, sourde brûlure. Il ne faut que quelques instants de pénétration pour que je sente un flot puissant et chaud de sperme inonder mon sexe. Je suis utilisée comme une poupée, mon corps sans muscles, juste un trou pour satisfaire celui qui me prend. Je suis entre deux univers, celui du plaisir et de l'abandon et celui de la souffrance et de mon corps épuisé. Et pourtant, je me sens comblée, assouvie.


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  • Premier fouet

    Mise à jour

    Je bourre le cul de cette femme qui ne m'appartient pas, que je ne connaissais pas il y a une heure, je me crispe, enfonce les ongles dans le gras de ces hanches, ferme les yeux, me tend et jouit à longue saccade, ne bougeant plus dans ce cul offert. Je ferme les yeux, respire à nouveau, sort ma bite, retire le préservatif, va le jeter et je regarde la scéne : contemple la croupe somptueuse de la soumise de mon voisin et voisine ouverte attachée sur le lit, baisée par mon voisin et en jouissant comme une folle. J'hésite, que fait on normalement quand on vient d'enculer une inconnue ?

    Je m'appuie sur un mur, attend tranquillement que mon voisin jouisse dans le con de voisine ouverte, distendu par le fist. A son tour il sort d'un trou, et me souris complice : « Alors elles sont bonnes nos femelles hein ? » « Oui très, le trou du cul de ta soumise est accueillant et voisine ouverte a été satisfaisante ? » « Pas mal pour une débutante, elle promet cette cochonne de voisine et si en plus elle est ouverte » Je souris, oui elle est vraiment très bien, très belle la voisine ouverte à laquelle je suis marié, reste tout de même à la détacher. Je m'approche tapote le cul de mon enculée : « Détache voisine ouverte » Elle prend son temps, lui caresse les cuisses, les bras, la masse presque pour retirer les bandes de velcro immobilisant voisine ouverte.

    Mon voisin la rappelle à l'ordre d'un coup de cravache entre les cuisses: « Eh puis quoi encore, tu veux pas la câliner et la faire jouir sans nous non plus ? » Elle se retourne brusquement vers lui, le regarde avec des yeux courroucés, se maitrise, baisse la tête, la reléve les yeux doux, humbles, soumis : « Je vous prie de m'excuser maitre, je mérite d'être punie » Elle s'appuie les coudes sur le bord du lit, son visage presque collée à celui de voisine ouverte, se cambre, mon voisin rit du subterfuge : « Tu crois qu'on te voit petite dévergondée, te mettre en position pour être punie mais collée à voisine ouverte pour pouvoir lui parler ? » Il l'attrape par les cheveux, la fait tomber par terre, la gifle : « prosterne toi et ne bouge plus » Évidement elle s'exécute immédiatement, prosterné contre le sol, ne bougeant un poil de son cul. On l'entend murmurer assez fort : « Tu as été splendide voisine, je t'embrasse » Elle s'écrase encore plus contre le sol se préparant au coup de cravache qui tombe aussitôt.

    Mon voisin est amusé, il s'approche de voisine ouverte n'ayant pas bougé bien que libre, il attrape sa chatte à pleine main : « Ben dis donc ma cochonne, tu as tapé dans l'œil de ma soumise » Je m'approche et suggère : « On va boire un coup ? J'ai besoin de rafraichissement. » « Oui tu as raison, au début ca donne chaud ça » Décidément il a toujours une façon ironique de présenter les choses lui ... Je caresse doucement les cheveux de voisine ouverte la regarde avec tendresse et admiration : elle s'est comportée admirablement, je sers ma main sur les cheveux : « Descend » J'accompagne son mouvement, puis presque naturellement je descend ma main pour mettre à terre voisine ouverte : « A 4 pattes, maintenant tu es devenue une bonne petite chienne, tu es digne maintenantde remuer ton petit cul à 4 pattes » Mon voisin commente : « Faudra lui acheter des clochettes à mettre aux tétons et au collier comme cela on sait où elle est et quand elle se déplace » « Ah oui bonne idée, bon on y va ? »

    On avance suivi par nos deux femelles à quatre pattes, la soumise glisse à voisine ouverte tout doucement cette fois-ci : « Tu dégoulinais tout à l'heure dans la salle aux fouets, cela te trouble ? » Elle la regarde profondément avant d'esquisser une moue en forme de baiser et ajoute : « Tu vas voir, des fois les soumises guident les maitres » Elle nous double en remuant son petit cul et se dirige guillerette vers la salle qu'elle a choisie, nous la suivons sans prêter attention. Elle s'installe à coté de fauteuils tout prés des liens pendant du plafond, la salle est vide maintenant, peut-être à cause de l'heure plus tardive. Elle s'assoie comme une bonne petite chienne disciplinée en faisant un clin d'œil à vosine ouverte qui arrive un peu plus lentement il est vrai.

    Un serveur arrive, nous commandons tous les deux des coupes de champagne, au moment où il repart j'ajoute : « ah et puis une coupe aussi pour la petite chienne ouverte » Le serveur blasé de tout quitte la pièce sans un mot.

    J'avise les deux anneaux pendant du plafond : « Leve toi voisine ouverte, va entre les anneaux aller » J'attends qu'elle se soit mise en place, me lève, prend délicatement ses poignets un à un pour les mettre dans les anneaux, les fait monter lentement jusqu'à ce que voisine ouverte soit sur la pointe des pieds. « bien parfaite comme depuis le début de la soirée » Je la caresse, la palpe, lui flatte les seins, passe ma paume sur sa chatte, regarde mon voisin : « Elle est encore trempée dis donc » « Normal, elle adore ça ma voisine qui va m'ouvrir sa porte maintenant » J'essuie une goute de sueur qui glisse de son cou, décroche un fouet, fait lentement glisser la lanière le long de son échine : « Alors tout à l'heure tu mouillais comme une chienne ici, sur le pc tu sembles avoir beaucoup révé au fouet, à la punition » Je m'écarte, lève mon bras quand arrive le serveur qui pose les coupes sur la table. Je bois la mienne en regardant voisine ouverte dans les yeux, la défiant du regard : alors tu en rêvais, alors tu m'a trompé sur le net pour des hommes te fantasmer sur le geste que je vais faire, mais en réel le supporteras tu, au bout de combien de coups demanderas tu grâce en pleurant. Je prolonge mon regard, elle n'a peut être pas compris les détails mais mes intentions sont claires, je la sens se tendre légèrement. J'avise la coupe de champagne de voisine ouverte, la prend, fait couler le liquide sur sa bouche, un filet légèrement jaune coule de ses lèvres vers ses seins, son sexe. « Bon on y va » Je m'écarte de nouveau, discerne du coin de l'oeil mon voisin qui me regarde anxieux.

    j'abats le premier coup, je vois voisine ouverte tressauter sous la douleur et la surprise, je réarme et frappe de nouveau marquant les fesses. Fasciné par le tait rouge qui barre les fesses de voisine ouverte, je donne successivement 5 coups de suite, sec, fort des épaules au bas du dos. Les gémissements, les cris de voisine ouverte qui se tord en tirant sur les cordes m'hypnotise, je sens mon soufle se raccourcir, mon érection monte à chaque coup. Je m'approche, donne trois claques sur les fesses de voisines ouvertes : « Alors c'était comme ça dans tes rêves ? » Je fais tomber le fouet, cherchant à atteindre l'entrecuisse, le bout de la lanière rentre touchant la fente de voisine ouverte qui pousse un feulement, mon sexe me fait mal, tape dans ma braguette. Mon voisin se lève, effleure mon poignet et me murmure : « Mais les maitre doivent justement le rester ... » Je le regarde presque hagard :  « Détache la » Je frappe encore un coup pendant que voisine ouverte tombe par terre comme terrassée par les coups. Je cours presque en m'approchant d'elle dégageant enfin mon sexe d'une raideur nouvelle pour l'embrocher comme une poule, sans m'arrêter comme dans une sorte de long mouvement continu qui ne s'arrête pas.

    Je jouis dans un long cri, inondant de sperme le con de voisine ouverte, je pousse mes jets dans de longues giclés. Je reste dans ce con qui m'a si souvent accueilli sur notre tendre lit conjugal, regarde mon voisin, sa soumise, réalisant enfin ce que j'ai fait ...


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