• Une pause

    Mise  à  jour

    Elle préfers faire une pause dans ses jeux sur le net, peut-être la retrouverons nous plus tard.


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  • Une soirée de bienfaisance

    Mise à jour

    Vous êtes mise en ligne sur le pont du bateau, les maitres sont devant vous, installés dans des transat attendant la suite. Puis on entend des pas sur l'échelle de coupée, nous nous levons respectueux pour accueillir le nouvel hôte dignement. Un petit homme moyen oriental replet nous sourit gentiment, sert chacune de nos mains, prodigue un baise main aux dames. Puis il se tourne vers vous : « ah voilà, nos petites merveilles » Il passe devant vous, vous regarde avec attention, en palpe une ou deux, jappant tout sourire : « parfait mais parfait, ils vont être content » Il s'arrête l'air ennuyé, se dandine sur place : : « Ah cette année nous avons comment dirais je » Il hésite puis dit : « cette année il y a des hommes qui ... » Une des maitresses présente nous regarde avec un air interrogatif, puis tente : « euh vous voulez dire des homosexuels ? » « oui c'est ça merci » répond l'homme visiblement soulagé.

    La femme sourit « Ce n'est que cela » Elle tourne ça tête vers un serveur : « Allez cherchez mon soumis, préparer le et mettez le en rang » On entend un gros soupir de l'officier blonde, la maitresse la regarde condescendante : « oui ma petite vous trouverez une autre bite le temps de sa location » Je m'approche du visiteur : « Vous croyez que cette année sera bonne, vous avez déjà de bons montants pour les paris ? » Il sourit l'air affable : « Oh oui les salopes de votre croisière sont toujours appréciées et puis les photos que vous nous avez envoyées ont beaucoup plu » Je m'approche de toi, te caresse le menton : « Je ne serais pas avec toi tout à l'heure, mais je suis sur que tu vas me faire honneur et que je n''aurais pas de reproche de la part de notre gentil commercial n'est ce pas ? »

    L'homme claque des mains : « Allons dépêchons nous mesdemoiselles » il glousse : « et messieurs, ils n'aiment pas du tout attendre et ils sont impatients de voir vos trous, allons allons dépêchons nous » Il quitte le bateau, vous le suivez pour monter ensemble dans un car, avant de monter tu peux lire écrit en grosse lettre sur le cars : « Oliveira Amusement, divertissement, soirée surprise et cotillons » Une des filles te demande amusée : « Tu crois que nous sommes quoi ? L'amusement, le divertissement, la surprise ou les cotillons ? » Une gouaille : « je ne sais plus ce que je suis, une courtisane, une geisha, une pute, une vide couille, un bidet ambulant, non vraiment je ne sais plus, mais ce que je sais, c'est que j'ai eu beaucoup de sperme et d'autres choses depuis le début ... peut être trop même » Tu la regardes un peu surprise et tu leur murmures : « Non nous nous sommes les perles précieuses de la soirée » Une autre éclate de rire : « Ah oui ça pour les bijoux de familles on est fortiche »

    Le car s'arrête devant un bâtiment, une banderole sur le bâtiment mentionne : « Soirée de bienfaisance pour les femmes répudiées » Devant votre air mi-sceptique, mi-ahuri, votre mentor précise : « C'est une soirée de charité pour les femmes répudiées qui sont dans le besoin, plus vous serez cochonne plus l'association récoltera de l'argent » L'homme de votre groupe résume votre pensée : « C'est quoi cette connerie ? »

    Le fournisseur de divertissement le regard d'un air courroucé : « Si vous voulez vous rester dans le camion, compris ? » Le soumis hésite un instant mais la perspective des punitions à son retour lui font baiser les yeux et dire : « Ne vous inquiétez pas tout ira bien » Le petit homme bedonnant le regarde avec suspicions puis hausse les épaules et monte l'escalier d'entrée pour prévenir de votre arrivée. Vous attendez dans votre tenue au milieu de la rue sous les regards quelque peu choqués des rares passants. Il réapparaît au bout d'un instant, vous fait signe de monter :<./br> « Allez dépêchez vous, venez, venez » Vous trottinez à votre tour en remuant votre popotin pour le rejoindre, il vous fait signe de vous taire de vous mettre bien en ligne, agite la main en direction de la salle puis vous fait entrer.

    La salle est noire, seule les veilleuses au sol vous indiquent le chemin vers l'estrade, un homme vous attend sur celle-ci et vous place chacune devant un petit point lumineux puis il s'écarte. La lumière se rallume brusquement, la musique est à fond et vous entendez : « Et maintenant l'instant que vous attendez tous : la location de la salope blanche et rappelez vous que tous les profits de cette soirée vous à l'association des femmes répudiées, elles vont maintenant s'installer sur leur pale en attendant leur tour. Vous remarquez que derrière chacune d'entre vous, il y a un piquet sur lequel est fixé un gode double en bois d'ébène. Le soumis regarde un peu inquiet celui qui lui est réservé et son sourire s'agrandit quand il voit que son gode est un magnifique pieu en bois simple. Tu es la première à te diriger vers ton pale et à t'installer dessus pour attendre la suite de la soirée.

    La voie du présentateur continue : « Vous venez de voir comment nos jeunes cochonnes blanches se sont installés sans difficulté et avec grâce sur le délice leur étant destiné, imaginez donc ce que vous pourrez en faire lorsqu'elle sera chez vous, à vous jusqu'à demain soir » Une voie plus métallique passe alors : « Nous rappelons que tous les jouets loués ce soir doivent être rapporté demain soir ici, devant la porte en état de marche et sans marque définitive » Le monsieur loyal de la soirée reprend l'animation en main : « Et maintenant chacune de nos poupées va passer devant le jeux de miroir à votre gauche,vous pourrez ainsi la voir sous tous les angles, et bien sur vous pouvez aussi regardez les deux écrans géants situés de chaque coté de l'estrade. » Il reprend son souffle : « Chaque enchère durera deux minutes, le gagnant emporte son lot immédiatement et ne le consomme pas sur place» Il glousse dans le micro tout content de sa blague « Si au bout de deux minutes personne n'a suffisamment enchéri, alors le morceau retourne à sa place et sera remis en jeu plus tard, tout le monde a t il bien compris ? Oui alors messieurs, dames que la soirée commence »

    La première d'entre vous s'avance, son cas est vite réglé, un petit homme sec qui semble vouloir en finir vite, mise au grosse somme, prend la fille, salue tout le monde et part. Le cas de' l'homme est vite réglé, seul un homme enchérit sous le regard excité de son épouse à coté de lui. Les cas suivants sont plus discutés, les enchères vont bon train, par jeux certaines soumises montrent combien elles peuvent être salope, se caressant, s'enculant avec leur doigt devant les miroirs, arrivant à 4 pattes en aboyant, une pisse même sur la scène, cuisses écartées regardant les spectateurs de face. Tu te contentes de passer devant les miroirs, cambrée, caressant tes seins d'une main. Malgré tes charmes, tu laisses la salle indifférente, sauf deux groupes de parieurs qui semblent chacun vouloir t'emporter comme joujou. Tu as donc l'occasion de faire plusieurs tours, de passer plusieurs fois devant le jeu de miroir et d'apparaitre en gros plan sur les écrans de projection.

    Tu es finalement emporté par deux frères, ils te mettent instantanément une laisse et te tire vers le voiture où tu es priée de t'installer derrière. Tu les entends discuter et un d'eux commente : « Il faudra la montrer à maman avant de la mettre au quartier des femmes pour jouer avec elle » L'autre réplique : « Nous verrons cela à notre arrivée »

    Lui


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  • Je suis exténuée, les orifices douloureux. Combien de mètres de queues m'ont enfilées, de litres de sperme m'ont remplis ou ai-je avalé ? Je suis heureuse d'être au repos. Nous sommes 6 femmes à être cantonnées dans nos quartiers en gambergeant sur notre prochaine étape.

    Toutes blondes, blanches avec de belles courbes. A cause de notre profil, nous pensons qu'il s'agit d'un pays riverain de la mer rouge où les femmes blanches sont rares et sollicitées. Je crains que pour moi les rencontres seront à nouveau très torrides. Je suis la seule à être une blonde naturelle dépourvue de poils et de duvet. Mon sexe est un petit abricot bien offert avec des lèvres pulpeuses et, si ils s'ouvrent énormément, des petits orifices serrés.

    Depuis plusieurs jours que nous naviguons, nous sommes isolées de tout et en manque. Nos dernières "parties" ne nous ont donné aucun plaisir. A force d'être soumises aux ébats sexuels, nous sommes devenues dépendantes et accrochées aux jouissances. Mon sexe palpite, mes lèvres intimes se gonflent, mes seins se durcissent sous le désir perpétuel de jouissances. Je suis en manque ! Un simple effleurement et des ondes de volupté insatisfaites s'emparent de moi. Les jours s'écoulent inlassablement...le besoin se fait de plus en plus fort. Soudain une voix dans haut parleur.

    "Mesdames nous allons accoster dans 3 heures. Vous devez vous préparer et faire toilette. Un lavement profond, une douche et le corps complètement épilé. Vos yeux seront maquillés au kool, les ongles peints en rouge, les seins fardés, le corps parfumé. Vous porterez les bracelets au cou, aux poignets et aux chevilles que vous aurez soin de verrouillés avec la petite clef. Vous placerez le rosebud à l'endroit approprié. Vos tenues sont rangées dans le placard 3 B." Enfin !

    Mais où sommes nous ? Que va-t-il nous arriver ?

    Elle


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  • Je m'approche de l'homme : « La chienne qui vous a servit est à moi, on ne l'emmène pas comme ça » L'homme me regarde, hésite, t'attrape le bras, te tire à lui, son chien se met devant moi. Je le regarde amusé : « Qu'allez vous faire ? L'enlever pour la mettre dans un de vos bordels pour touristes riches ? » « Oui » Sa réponse est laconique, sobre et tranquille. J'hésite, ne sais quelle attitude prendre, d'une part je ne suis pas un spécialiste du close combat, d'autre part je n'ai guère envie de rejouer midnight express version 2008 pour une esclandre dans un claque. Je regarde autour de moi, inquiet, je vois passer 5 légionnaires français sûrement en escale au port, je les appelle.

     «J'ai une salope  pour vous si vous me tirez d'un mauvais pas. » « Monsieur » dis je en montrant le kidnappeur d'opérette, « veut enlever mon amie qui est une vraie salope au demeurant » « Si vous m'aidez à la récupérer, elle est à vous pour la nuit » Un des hommes en uniforme te regarde, me regarde : « On l'amènera au bateau pour les copains alors, vous croyez qu'elle fera l'affaire » Je le regarde avec un grand sourire: « Nos affaires sont conclues, vous pouvez être sur qu'elle fera l'affaire, c'est une bonne salope, bien éduquée » L'homme voit que face à 5 légionnaire, il ne fera pas le poids, il s'en va sans insister. J'éclate de rire : « Ah sauver par l'armée française qui va se vider les couilles dans ma guenon » Je claque des doigts « amène toi la vide couille pour la nation » je rentre un doigt dans ta chatte, ton cul : « Vous voyez, elle est complètement disponible » Un des hommes me dit : « On finasse là, on y va, on la baise avec la compagnie et vous vous tirez ok ?, suis notre jeep »

    J'obtempère, je te tire dans la voiture, te jette sur la banquette arrière et suit la P4 kaki qui roule vite à travers les rue de d'Istambul, ils filent vers le port, se faufilent sur les quais et freinent brusquement devant un navire de l'armée française. Ils sautent de leur véhicule, attrapent ma charmante soumise et me disent : « on vous la ramène à l'aube au carré des sous officiers » Un des hommes te jette sur son épaule et monte la coupée pour te conduire dans les chambres, tranquillement je les suis m'allumant un cigare pour profiter de la douceur de la nuit turque en regardant les étoiles.

    Tu es transportée comme cela sur l'épaule du militaire qui te secoue comme un sac de plume, ils se promènent à travers le bateau, pousse une porte et crie à la cantonade : « Eh les mecs on a trois trous à bites ce soir » Tu es jetée en vrac sur une couchette, un homme en treillis s'aproche t'enfonce sans cérémonie son doigt dans ton cul puis dans ta chatte. « Effectivement elle est ouverte la salope, et elle est propre ça nous change des putains habituelles par contre elle a déjà servi ce soir, ça glisse tout seul et il y a des restes de foutre dans son cul et sa chatte » Un autre approche t'attrape les cheveux t'écrase la bouche sur sa bite : « On s'en fout qu'elle ait déjà servi, l'important est qu'elle serve encore » Il secoue ta tête sur sa bite jouissant en deux minutes, il se retire en disant: « Aller la chambrée au suivant ». Ils décident de se répartir en trois groupe et de tirer au sort tes trous pour savoir qui te baisera par quel orifice. Une fois cela fait ils se mettent en files : une devant toi pour être sucé, deux derrière toi pour te baiser et t'enculer. En hommes disciplinées, ils te besognent chacun à leur tour, se vidant en toi puis laissant la place au suivant.

    A la fin,, quand ils t'ont tous passé sur le corps, un te pousse par terre, prend son ceinturon te fouette les reins : « A 4 pattes la chienne », puis il lance un morceau de bois : « va chercher la chienne » Quand tu reviens avec, il te l'enfonce d'un coup sec dans le cul; le remue puis t'enfonce le canon d'un PA dans la chatte et le fait doucement aller et venir : « Le baptême de la légion ma salope » La nuit se poursuit comme cela, au petit matin, ils te mettent une couverture sur les épaules, t'ouvrent une porte et te disent : « Va tout droit la chienne »

    Je t'accueille avec un grand sourire : « Je vois que tu as été à la hauteur de ton éducation, dépêchons nous le bateau va appareiller pour Suez ». Je te prends le poignet te tire dans la voiture et nous ramène au bateau. Je te tire toujour par le poignet au dortoir des soumises, avise le médecin : « Trouvez une femme pour baigner et masser 512125 puis coucher la, la nuit a été rude pour elle et je veux la retrouver fraîche pour quand nous serons en mer. » Je te laisse là pour aller dans ma cabine.

    Lui


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  • La séance à été rude. Je ne suis pas habituée à être ainsi humiliée dans des jeux scato. Enfermée dans une cage on emmène pour une destination inconnue. J'arrive dans un sous sol où d'autres sont comme moi prisonnières de barreaux. Les cages sont alignées les unes à coté des autres. On me demande de me vêtir d'une longue robe en coton ouverte sur les côtes. Ici toutes les races et tous les sexes sont représentés. Nous sommes une trentaine.

    J'ignore ce à quoi je vais être confrontée. Bientôt je comprend..ce lieux s'appelle "l'escale" C'est un bouge à marins et à commerçants qui viennent se soulager. Ils entrent les uns après les autres, soulèvent la robe et sans préliminaires s'introduisent dans un orifice. Après quelques coups de reins puissants se soulagent et s'en vont après avoir jeter leur capote dans une boîte. </br< Ils se succèdent...combien vont venir ainsi me limer ? Je ne les compte plus...

    Mes orifices sont douloureux...cela dure des heures... Après maints pilonnage un homme s'approche de moi et me demande de le suivre. "- j'ai constaté que ta blondeur plaît beaucoup ainsi que ta chatte bien lisse, tu vas devoir faire un "spécial". Nous nous dirigeons dans une salle carrelé, sorte de hammam ou 2 hommes et un berger d'Anatolie m'attendent.

    "- va prendre un douche, tu es sales, tu pues puis après montre moi ce que tu sais faire avec mon chien. Si tu sais le satisfaire je te sortirais de ce bouge" Lavée, séchée je m'approche du chien. Il est magnifique. Une robe soyeuse et douce. Je le caresse, le flatte, me frotte contre lui. Je vois à son sexe que celui ci apprécie. Bientôt c'est lui qui se frotte à moi, commence à ma lécher mon sexe qui commence à mouiller de plaisir. Son museau se frotte sur mon clito, le fait gonfler. Il sent les émanations de pheromone que je dégage. Il commence à être excité et à me faire comprendre qu'il veut me pénétrer.

    Je me retourne, cuisses ouvertes, lui offre mon cul. Ses pattes avant se posent sur mon dos..il cherche l'orifice et d'un grand coup de reins s'enfonce...Son sexe est large, pointu, long... Bientôt je me sens ouverte à fond : son knot en entré en totalité. Le chien halète, bouge, rue en moi. Un jet puissant de son foutre se déverse...J'ai enfin joui après tant de pénétrations forcées celle là m'a comblée.

    Le chien se retire, heureux...Il me lèche, me lave... -" il semble que tu es une bonne petite esclave, mon chien a apprécié. Je t'emmène"

    Elle


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