• Voisins, Voisines

    Mise à jour

    Pendant le temps d'hésitation de mon mari, la soumise du voisin qui semble en pincer pour moi se colle de nouveau à mon dos. Sa main glisse sur mon bas ventre et vient plonger sous la mini en vinyle, ses doigts délicats trouvant facilement mes lèvres intimes gonflées et trempées. La sensation de ses doigts, des doigts de femme, qui me touchent, m'enfonce encore dans la recherche du plaisir. Mon bassin ondule sur ses doigts devant le regard de toutes les personnes présentes comme un appel au peuple. Emportée par le doux mouvement des doigts de la soumise du voisin, j'ondule haletante sans percevoir le signe du voisin à mon mari.

    Les yeux mi-clos sentant monter en moi le plaisir masturbée par la femme, je sors de ma rêverie d'un seul coup. Giflée brutalement, la douleur perce ma joue qui valse, mes yeux s'ouvrent en grand. Je suis choquée, jamais mon mari ne m'a battue et une chaleur envahissante monte à mon visage. Je n'arrive plus à réagir comme une épouse bafouée par une telle gifle. Je n'ai pas le temps de me plaindre car la laisse tire sur mon cou me forçant à avancer d'un pas vers lui. Ce qui est le plus frustrant n'est pas cette gifle ou cette reprise en main, c'est que les doigts de la soumise du voisin quittent mon entrecuisse qui palpite de désir. A mes oreilles parviennent les mots de cette voix que je connais si bien. Et pourtant, ce ne sont pas des mots habituels dans sa bouche mais des mots vulgaires, humiliants : « Qu'est ce que tu as petite salope, tu vas jouir comme ça comme une putain ? ».

    Ces mots blessants sont pourtant emprunts de vérité, j'étais sur le point de jouir debout devant tout le monde ... comme une putain ... Et cette façon de m'insulter, de me rappeler ce que je suis en train de faire, de me montrer la manière dont je me comporte trouve un écho au fond de mon âme. Je lève les yeux vers mon mari, en oubliant presque que c'est mon mari. Ce ne sont plus les yeux de l'épouse fidèle qu'il voit en plongeant son regard dans le mien. Ce sont les yeux emplis de désir d'une femme en chaleur cherchant à assouvir ses plus bas instincts. Tout dans mon regard réclame, il n'y a plus de lucidité, plus de tabous, plus de barrière. Juste l'envie... Toujours en laisse, j'halète d'un souffle rapide qui soulève ma poitrine. Je bois les paroles qui sortent de ta bouche et entends ta demande de m'attacher sur le lit gynéco.

    Je pousse un petit feulement incompréhensible pour un humain. Dans mon délire sexuel, des images montent de mon inconscient, je me vois attachée exhibée et c'est cela qui va m'arriver. L'envie de découvrir cette sensation me comble de joie. Loin de me montrer dégoutée ou choquée, m'appeler « Catin de bordel » me fait sourire d'un mouvement de lèvres pervers. Presque avec envie, je me dirige vers la chaise gynéco vers mon destin sans hésitation. J'ai toujours détesté ces fauteuils gynécologiques qui ouvrent et expose d'une manière si vulgaire les chairs intimes des femmes. Bien sûr, c'est sans doute pratique pour le praticien, mais ce sont-ils déjà rendus compte de la situation dans laquelle ça nous mets, nous les femmes ?

    La soumise du voisin m'accompagne, ses gestes sont doux, ses mains exquises et je me prends à espérer de les sentir de nouveau entre mes jambes. Mais, elle dépose mes jambes sur les étriers m'ouvrant et pose des bandes a velcro pour empêcher mes cuisses de bouger. Je déguste cette sensation d'être contrainte ... enfin... je contracte mes muscles essayant de bouger mais mes deux jambes sont maintenant écartées écartelées même. Après quelques tests me montrant comment je suis obligée de rester ouverte, je ferme les yeux imaginant ce que voient les gens dans la salle. Mes longues et fines lèvres gonflées, mon clitoris tendu sous mon pubis, mon vagin légèrement ouvert, de la cyprine brillant au fond de ma grotte. Je sens alors un frémissement électrique sur mes lèvres, c'est doux et si sensuel que je devine qu'il s'agit d'elle. Mon premier baiser avec une femme se finit trop tôt car j'entends claquer la cravache et la soumise se crisper avant de me quitter.

    Je l'entends demander la punition. Cela ma fait frémir, saurais je un jour moi aussi demander qu'on me punisse ? Je n'arrive pas à me redresser pour voir ce qui se passer mais j'entends la cravache s'abattre sur la soumise du voisin. Je distingue juste qu'il frappe devant. J'imagine avec excitation qu'il frappe ses seins et cela me rappelle mes fantasmes, la douleur sur mes seins si sensibles. La simple évocation de cette idée, me fait lâcher de nouveau une coulure de mon vagin alors que mes seins sont pointés gonflés. La palpation d'un sein hyper tendu me fait réaliser que tu es là, que tu me regardes exhibée ainsi. Toi mon maître... J'entends la question sur le fait que je sois ouverte et la réponse de la soumise du voisin. Je n'ai aucun doute d'être en ce moment voisine ouverte, mon vagin réclamant fortement d'être comblé. Puis je vois le regard de mon mari détailler entre mes cuisses attachée ma chatte en feu. Ce qu'il voit ne me fait plus honte, cela me plait m'excite. Je suis exhibée et cela me rend encore plus folle de désir. Je veux lui donner envie. Je veux lui être offerte. Enfin....

    Enfin mon sexe en feu, offert, ouvert, exhibé reçoit ce qu'il réclame. Je sens un doigt s'enfoncer dans mon vagin lubrifié. Je ne peux m'empêcher de gémir mon plaisir si longtemps frustré. Mes cuisses se crispent pour accompagner la crispation de mon vagin qui essaie d'aspirer le doigt en moi. Un deuxième doigt vient accompagner le premier en moi, je les sens s'enfoncer profondément. Je râle de plaisir. Puis, un 3ème doigt vient ouvrir mon vagin. Je sens une étrange sensation de dilatation de mon vagin. Jamais, ni moi ni mon mari, n'avons enfoncé plus de 3 doigts en moi. Et pourtant, je sens qu'il étire mes chairs intimes, je gémis plus fort, essaie de serrer mes cuisses liées. Non je reste offerte à son vice de me dilater, je sens qu'il appuie fort pour enfoncer profondément ses 4 doigts alors que je pousse des « ahhhh » sans signification que la sensation de me faire dilater le vagin. Il insiste et je ressens maintenant qu'il veut m'ouvrir plus mais mon vagin me fait mal, son élasticité ne permet pas d'en prendre plus sans douleur.

    Le souffle court, grimaçante, je sens alors en plus des doigts en moi, d'autres doigts qui attrapent mes lèvres intimes. Pas de doute, je reconnais ces doigts si soyeux, je fonds de plaisir. Je la sens m'ouvrir les lèvres et déposer un produit inconnu sur la main qui pousse toujours en moi. Puis, un délicieux frisson de plaisir monte de mon clito et me fait gémir « ohhh ouiiiiii ». Je sens une succion et je sais que cet aspiration ne vient pas de mon mari mais des lèvres de la soumise. Je découvre ce plaisir buccale prodiguée par une femme et l'excitation est à son comble. Dans le même temps, je sens un autre doigt appuyer entre mes fesses ouvertes par la position qui exhibe autant mon anus que mon sexe. Les vagues de plaisirs proviennent de trois endroits de mon bassin : du vagin, du clito et de l'anus. Je suis au bord du tourbillon de plaisir lorsque les 5 doigts pénètrent enfin mon vagin me dilatant comme jamais.

    Cette dilatation si forte des parois de mon vagin engendre, au moment de la pénétration des 5 doigts, une irrésistible vague de plaisir qui parcourt tout mon corps qui se tend me cambrant dans mes liens. Je hurle presque un cri bestial tellement l'orgasme attendu est violent. Mon bassin se soulève, les contractions orgasmiques de mon vagin distendu, la tête en arrière les seins tendus vers le ciel, je jouis sur la main de mon maître. Plusieurs spasmes de jouissance me font gémir, tendue comme la corde d'un arc mais je sens toujours en moi les doigts qui restent en place. Peu à peu, la vague de plaisir s'estompe doucement. Je respire fort reprenant mon souffle. Mais je sens toujours la pression sur les parois de mon vagin malgré la jouissance que je viens de subir. Pire encore, je sens que la main continue de pousser plus avant dans mes entrailles. Comme s'il ne voulait pas en rester là, comme si cet orgasme n'était qu'une étape. Je gémis en me mordant les lèvres sentant ma chatte remplie, la main est maintenant complètement en moi. Le gel aidant à glisser mais mon sexe me fait mal ainsi dilaté. Pourtant cette sensation de remplissage me fait tourner la tête.

    J'oublie tout ce qui m'entoure, ne vois pas les gens qui me regardent. Les terminaisons nerveuses de mon sexe me donnent une image virtuelle de ce qui est en moi au creux de mes reins. Je visualise la main enfoncée jusqu'au poignet. Écartelée, sur la chaise gynéco, la main dans ma chatte se crispe se serre, le poing se referme en moi me dilatant encore par l'intérieur cette fois. Je pousse un cri surprise par les mouvements dans mon corps. Je me cambre de nouveau tirant sur mes muscles qui ne bougent pas. La main bougent en moi jouent en moi, fermant le poing l'ouvrant, mes chairs intimes distendues me renvoient une sensation obscène de dilatation, d'intrus dans mon corps qui stimule l'intérieur de mon sexe sans sortir comme si un monstre jouait en moi par l'intérieur. La sensation est tellement forte, tellement nouvelle et tellement sexuelle que je repars en criant la voix hachée par des interruptions provoquées par le poing dans ma chatte, en tirant sur mes cuisses en tendant mes seins. Au bout de quelques pressions internes, je cambre mon bassin empalée sur le point en jouissant pour la deuxième fois, à peine quelques minutes après mon premier orgasme.

    Je retombe le bassin dans le vide, essoufflée. Je sens la main sortir doucement me quitter. Une sensation de vide en moi mon vagin grand ouvert comme jamais. Je réalise doucement ce qui vient de m'arriver. Mon maître me présente sa main, je réalise que je viens de recevoir cette main en moi. Jusqu'à présent, je l'avais imaginé en moi en fonction de mes sensations mais là, je la vois, pleine de jus de ma chatte. Puis mon regard s'élargit et constate la foule amassée qui m'a regardée jouir par deux fois sur cette main. Leurs regards portés entre mes cuisses qui doivent exhiber mon vagin dilaté ouvert de façon obscène. Mon maître et aussi mon mari, tourne autours de la table et me caresse de sa main qui vient de ravager ma chatte. La mouille se répand sur mon visage me faisant renifler mon propre sexe.

    Puis tu t'adresses à moi, mettant en évidence devant tous mon nom et le fait que je viens de prendre mon pied. J'entends les moqueries et la honte, l'humiliation bien que me blessant me procure un plaisir vicieux. Et surtout, tu insistes sur le fait que je vais en vouloir encore. Et, après de tels orgasmes, je réalise rapidement que tu as raison, qu'une relation sexuelle « normale » ne peut pas me donner le même plaisir... Puis ta bouche dépose un baiser sur ma bouche. Un frisson me parcourt de nouveau d'autant plus que ta main s'active de nouveau sur ma chatte offerte. Et ce ne sont pas des caresses, tes doigts jouent avec ma chatte d'une façon possessive, brutale comme jamais tu ne m'as touché. Tes doigts étirent mes lèvres intimes, les pincent alors que ta langue s'enfonce vulgairement dans ma bouche. Tes dents me mordent pendant que tes doigts pincent mon clito. Ces attouchements machos font raviver une certaine envie entre mes cuisses. Et surtout la claque sur ma cuisse me fait tressauter, mouvement typiquement dominateur et possessif.

    Mais ce qui me fait écarquiller les yeux, c'est la phrase lancée au voisin : « Ta voisine ouverte est à toi » la main de mon mari mais être offerte à un autre est plus difficile à accepter. Je me souviens du regard de l'homme plus tôt dans la soirée au moment où j'ai été nommé « voisine ouverte ». A cet instant, il savait déjà que je serai ouverte aussi pour lui. Alors que je commence à gémir en direction de mon mari, le voisin passe entre mes cuisses. Ses doigts me touchent sans gêne, pose sa main sur mon pubis, ma vulve, descends entre mes fesses. Je me crispe. Je n'ai pas le moyen de me plaindre. Mon mari et maître discute avec le voisin sans m'écouter. Ils parlent de mes orifices devant tout le monde de façon profondément humiliante. Je ferme les yeux de honte mais ces propos humiliants m'excitent malgré moi. Je me mors les lèvres en voyant le voisin sortir son sexe, je sais qu'il va me prendre, qu'il va se défouler en moi et qu'il en rêve depuis le début de la soirée.

    Je retiens mon souffle quand la soumise du voisin se retrouve appuyés sur le lit les fesses en arrière, son visage proche du mien. De nouveau, elle essaie de me rassurer en me disant que j'ai été parfaite. Elle me propose de nouveau d'échanger après avoir subi les assauts de nos maîtres respectifs. Elle me parle comme s'il était naturel que je sois la soumise de mon maître. Alors qu'elle me parle, le voisin vient enfoncer sa queue dans mon vagin distendu qui ne résiste évidement pas. Cela ne me provoque aucun désagrément mais je suis crispée que ce soit le voisin qui me prenne et ceci sur la demande de mon mari.

    Moi, l'épouse fidèle, il me donne à un autre homme. Plus j'y pense et plus je recommence à couler sur la queue du voisin. Je suis en train de coucher, non de me faire baiser par un autre homme devant mon mari. J'entends soudain la soumise pousser un petit cri, elle explique à haute voix que mon mari est en train de l'enculer. Il la sodomise et pas moi. Malgré l'affection que je porte à ma nouvelle « amie », je suis prise d'une rage soudaine envers elle car la première sodomie de mon mari est pour elle. Elle ferme les yeux avec un sourire pervers comme une victoire sur moi.

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  • De la soumise et du maitre qui éduque qui ?

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    Je respire à fond, regarde autour de moi, me remémore les salles traversées, par quoi allons nous commencé ? Non ce n'est pas possible je ne vais traiter ma femme comme cela, je ne vais pas la baiser comme une truie ou comme un putain, ça c'est bon pour les femmes la pétasse du voisin pas pour mon épouse chérie. A propos de cette femme, je la regarde, elle est à nouveau collée au dos de mon épouse, et comme il n'y a qu'une raison pour que quelqu'un d'autre que ma femme mette sa main à cette endroit, je suis obligé d'accepter qu'elle est entrain de caresser doucement ma fameuse épouse chérie, bougeant doucement ses doigts glissés dans l'entrecuisse. L'avantage de cette mini jupe, c'est qu'on est courant de tout ce qui se passe dessous.

    Effaré par la situation je me demande comment se fait il que ma femme ne lui a pas encore donné une gifle, mais que ce soit mon épouse, qu'elle soit chérie ou pas, il me faut admettre que Voisine ouverte adore ces caresses, adore n'est peut être pas le bon mot, elle a les yeux mi-clos, remue doucement son bassin attendant la suite et probablement le plaisir. Je me souviens rapidement d'une phrase lue dans les logs des dialogues de ma femme : « Le plus dur dans la soumission n'est pas l'humiliation ou la douleur, le plus dur est de se découvrir soumise » Découvrir que son épouse est une soumise qu'elle adore ça et qu'elle en montre une excitation bien supérieure à celle de nos relations de couples n'est pas facile non plus.

    Mon voisin toussote, je le regarde, il me montre discrètement voisine ouverte qui commence à jouir, en ce lieu, en ce moment il n'est plus possible de l'appeler mon épouse chérie. J'hésite un instant puis réagit, gifle voisine ouverte, aurais je jamais osé un tel geste sur mon épouse, tire un coup sec sur la laisse pour lui faire sortir le cul des doigts envoutant. « Qu'est ce que tu as petite salope, tu vas jouir comme çà comme une putain ? » Voisine ouverte me regarde un instant, un instant je revois ces yeux, ce regard qui a capturé mes sens quand nous commencions à nous fréquenter, depuis combien d'années n'ai je pas vu ce regard ? Et il faut que ce soit ici. Ben oui, c'est justement parce que nous sommes ici que j'ai la chance de revoir ce regard.

    Ce regard plus que tout autre chose, me donne envie de continuer, offrir l'occasion à voisine ouverte de me regarder d'autres fois comme cela devient une motivation, une excitation. Je ne peux plus marchander entre une éventuelle éducation bien pensante et un désir de vice, l'évidence est là par ce regard qui me frappe comme un fouet. Pourtant je balance encore, vais je moi-même faire subir les pires outrages à voisine ouverte. Un bref regard à mon voisin et sa soumise me donne la solution.

    Je m'adresse à la compagne du voisin : « Toi attache voisine ouverte sur le lit de gynco, attache bien ses bras au montant du lit, écarte bien ses cuisses avec les étriers, et attache les fortement dessus. Evidement tu remontes son espéce de cache sexe de catin de bordel » Je prononce ma phrase d'une traite, sur un ton plus ferme, plus doux, il ne m'est plus nécessaire de crier, je suis le maitre de voisine ouverte qui est ma soumise obéissante, en quelques heures de présence dans ce club, c'est une évidence clairement établie. Je vais me promener autour de la pièce sans plus me préoccuper de l'installation de voisine ouverte.

    Elle monte avec des gestes mécaniques sur le lit comme si ce n'était pas encore tout à fait elle qui agissait, l'autre femme devenue mon assistance installe tranquillement, confortablement voisine ouverte sur lit, elle lui parle, lui masse les tempes, les seins, les cuisses en l'enserrant au moyen de large bande de tissu à velcro. Rapidement voisine ouverte se trouve immobilisée, cuisses écartées, la mini relevée, elle ferme les yeux, halète presque déjà doucement. Sa, presque complice va pour l'embrasser, pour aspirer sa bouche avec ses pulpeuses lèvres lorsqu'un coup de cravache violent la rappelle à l'ordre. Mon voisin a emprunté une cravache à un maitre présent et l'avertit par ce geste à ne pas dépasser la tache qui lui a été assignée, à ne pas sortir de sa condition de soumise. Immédiatement elle s'agenouille, baisse la tête et dit clairement, à haute et intelligible voix : « Je vous prie de m'excuser maitre, je vous prie de me punir » Mon voisin sans lui laisser le temps de se préparer assène 4 coups de cravache sur chacun de ses seins.

    Je prends mon temps pour revenir vers le lit où voisine ouverte est exposée aux yeux de tous comme une vulgaire poupée dans les vitrines de noël, je m'approche doucement, palpe doucement les seins de voisine ouverte et demande à celle qui l'a installée : « Elle mouille notre voisine ouverte cochonne » La soumise regarde son maître pour vérifier qu'elle a le droit de parle puis : « Votre voisine ouverte est prête et je crois que oui, elle est complètement prête » Ma question est superflue, n'importe quel homme en jetant un regard à la femme attachée sur le lit sait qu'elle est dans un état d'excitation maximum, proche de l'hystérie. Ses seins sont gonflés, ses tétons dressées de façon obscène, son ventre monte et descend grâce à de profonde inspirations, son sexe est luisant, sa mouille semble couler comme un ruisseau de sa chatte, son clito qui pourtant n'a rien d'extraordinaire pointe entre les replis des chairs des lèvres, sa tête est renversée en arrière, son regard presque extatique comme une offrande humaine lors des sacrifices maya. Oui voisine ouverte n'attend plus qu'un prêtre officie pour lui permettre enfin de libérer son plaisir.

    J'enfonce très lentement un doigt qui évidement rentre sans aucune difficulté, je le pousse le plus profondément possible, sentant, palpant largement le col de voisine ouverte, je le ressort légèrement pour caresser cette zone si tendre, si pulpeuse à l'entrée du vagin. Les réactions de voisine ouverte sont celles attendues : elle gémit de plus en plus fort, commence à se crisper, tire sur ses liens. Je renter un deuxième, puis un troisième, puis un quatrième doigt; limant doucement voisine ouverte la cochonne, la remplissant plus que je ne l'ai jamais fait auparavant, je pousse mes doigts, essayent de les enfoncer bien au fond. Le cinquième doigt fait difficulté, la chatte de voisine ouverte semble ne pas vouloir s'ouvrir suffisamment pour l'accueillir. L'autre soumise s'approche renverse du gel sur ma main, prend délicatement chacune des lèvres de voisine ouverte en un pouce et un index, tire dessus pour ouvrir, colle doucement sa bouche au bouton presque turgescent de voisine ouverte pour l'aspirer. Elle reléve la tête pour me murmurer tout bas : « Pourriez vous stimuler son anus ? » Je pose la pulpe d'un doigt sur la rose serrée de voisine ouverte qui se cambre, s'arque les membres entravés, mes cinq doigts rentrent d'un coup jusqu'aux carpes.

    Voisine ouverte pousse une sorte de cris entre le beuglement et le gémissement, je sens son vagin se contracter fortement comme pour expulser mes doigts, elle jouit secouant sa tête, son bassin, tirant par saccade sur les liens, elle jouit, jouit encore, cela semble être un instant d'éternel bonheur. Je laisse mes doigts en place, les poussant encore si possible, ses cris ont avertis les clients du club qu'une salope est entrain de jouir, des couples maitres(esse)/soumis(es) convergent petit à petit vers le lit de délicieux supplices de voisine ouverte.

    Je pousse encore sur ma main trempée de la mouille de voisine ouverte et du gel, elle s'enfonce petit à petit complètement dans les entrailles sexuelles de voisines ouvertes qui semblent concentrée uniquement sur ce qui se passe dans son vagin comme si elle n'était plus que cela. Je peux maintenant serrer mon poing, l'ouvrir, le serrer à nouveau dans le tonneau à foutre de voisine ouverte qui s'ouvre de plus en plus. L'effet est immédiat, elle se remet à gémir, à trembler, à remuer ses liens, elle va jouir à nouveau devant tout le monde, quelques minutes à peine après la première fois. Certaines soumises autour d'elle la regardent avec envie.

    Je ressors lentement ma main, faisant attention de la faire tourner, d'être délicat pour ne pas brusquer voisine ouverte dont les chairs semblent complètement distendues. Puis un à un, je retire mes doigts, libère ma main. Je la fais bouger devant les yeux de voisine ouverte qui semble prendre conscience avec des yeux écarquillés et effarés de l'immense plaisir qui l'a submergé sans qu'elle puisse le contrôler, des hommes et femmes rassemblés autour d'elle, du lit, des liens.

    Je pose ma main sur son visage, repend sa mouille sur ses joues, sa bouche, ses paupières, je prends une voix douce mais audible autour de moi. « Alors voisine ouverte, tu as joui comme une cochonne ? » A l'évocation de ton nom, certains sourient, une femme rie franchement. Je poursuis : « Alors c'est ça, tu as joui comme une femelle n'attendant plus que cela, comme une femme ne pensant plus qu'à cela ? Et cela a été si fort n'est ce pas, si puissant, tu en rêvais depuis tellement longtemps sans moi » « Et maintenant, ça ne peut plus s'arrêter sinon cela deviendrait fade, tu vas en vouloir encore, tu en veux encore, et je t'en donnerai petite voisine ouverte, et tu es tellement belle quand tu te transforme en chienne en rut. » Je te masse les tempes en te parlant, termine ce monologue intime en posant mes lèvres contre les tiennes, ma main te caressant comme je ne l'avais jamais fait, pinçant, tirant tapotant tes lèvres, ma langue fouillant ta bouche, aspirant tes lèvres, les mordillant, puis les mordant de plus en plus fort pour les tirer avec les dents. Je termine cette délicate caresse en pinçant son clito pour le secouer puis claque une cuisse en disant au voisin : « Ta voisine ouverte est à toi »

    Le voisin sourit, tapote les mamelles de voisine ouverte en ricanant : « Charmante voisine ouverte, voyons cela » Il va se placer entre les étriers, palpe le pubis, le cul de voisine ouverte pour choisir son trou, puis me demande : « Je crois que voisine ouverte n'est pas très ouverte du cul, je laisse se trou là alors ? » « Oui je te remercie de ton intention voisin, je préfère être le premier à enculer à fond ma chienne. » L'importante question du trou à utiliser pour baiser voisine ouverte étant réglée, le voisin sort sa bite pour vider son foutre dans l'eponge a foutre de voisine ouverte.

    Ne pouvant rester inactif, j'empoigne la soumise du voisin, la fait se mettre au bord du lit, les coudes repliés appuyés sur le lit, son visage proche de celui de voisine ouverte, elle lui sourit : « Tu es parfaite je suis sur que nous aurons beaucoup de choses à nous dire quand nous aurons partagé les bites de nos maitres » Elle fait un mouvement de la tête vers son maitre commençant à baiser voisine ouverte : « Tu verras il baise bien, il prend son temps pour bien t'enfoncer et peut te travailler longtemps » Sa remarque se termine par une crispation de la bouche et un oups, elle se tourne vers moi : « Je vous prie de m'excuser de mettre un peu crispée quand vous m'avez enculé monsieur » Elle fait un clin d'oeil à voisine ouverte : « waouhh ca doit faire longtemps qu'il avait envie d'enculer une femme, dommage que tu ne sois pas la première à en profiter » Elle se tait et ferme les yeux pour profiter de son enculage.


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  • La pente est luisante de cyprine

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    Nous sommes à peine partis que tu t'arrêtes brutalement. Tu te retournes moi devant toi habillée comme une traînée. Jasmin et Coquelicot ?? C'est ridicule ... à quoi peuvent bien servir ces mots. De toute manière, je me dis que je ne vais retenir que Coquelicot. Après tout, si ça dérive j'arrête tout tout de suite... L'autre mot ne sert à rien. Le voisin me demande si j'ai compris avec mon nouveau nom qui me blesse à chaque fois que je l'entends. Je réponds doucement « oui j'ai compris » Le voisin pervers me regarde de la tête au pied. Il se lance encore dans une de ses explications jouant au professeur. Mais il insiste en me jetant un regard concupiscant entre mes jambes en insistant lourdement sur le mot « ouverte ».

    Il me regarde comme une femme qui accepterait de coucher avec n'importe qui et avec lui sans doute. Cette idée me traverse, obscène. Je rougis jusqu'aux oreilles et regarde sa maitresse furtivement. Celle-ci doit avoir l'habitude de s'offrir mais aussi d'être offerte. J'aimerais tellement lui poser toutes les questions qui me courent dans la tête. Nous nous engouffrons plus loin dans les couloirs.

    Des hommes tendent leur bassin devant un mur. Rapidement, se présentent à mes yeux une scène obscènes juste derrière ce mur. Des trous dans le mur sortent les sexes des hommes derrière lesquels nous venons de passer. Deux femmes à genoux attrapent les sexes tendus et les suce pour les faire jouir sur leur corps. Sous mes yeux, une des femmes fait jouir un homme en dirigeant le jet vers ses seins couverts de sperme blanchâtre. La seule question qui me vient à l'esprit devant cette scène surréaliste, c'est combien d'hommes a-t-elle déjà fait jouir sur elle. Mes yeux suivent la semence du mâle qui glisse sur ses seins descend sur son ventre. Bien que je me sente dégoutée, ne pouvant imaginer qu'une femme puisse tomber aussi bas, je n'arrive pas à décrocher mes yeux de son corps couvert de sperme, de sa bouche qui déjà avale un autre sexe. Je sens que je ne pourrais pas résister à une envie qui monte d'entre mes cuisses mais je ma bats en sachant que je ne suis pas seule, que mon mari me regarde, lui montrer que cette scène m'excite m'est impossible.

    Mon mari m'arrache à cette vision en m'attirant. Je secoue la tête m'éloignant comme si cela n'était qu'un rêve. Mais devant mes yeux se profilent d'autres images que je n'avais vu jusqu'à maintenant qu'en photo sur le web. Mes yeux laissent de côté les soumis pour s'attarder sur les femmes offertes, sans pouvoir contrôler mes pensées je me projette à leur place. Puis je m'interromps découvrant devant moi ce dont j'ai si souvent fantasmé, des femmes liées les bras en l'air. Ma respiration s'accélère, mon trouble se répand en liquide chaud entre mes cuisses. Je regarde celle qui a la barre entre les chevilles, combien d'hommes dans mes fantasmes m'ont attachés ainsi avant de me faire subir leur vice. Je respire fort.

    Un mouvement au font de la salle, je détache mes yeux de la pauvre femme suspendue les jambes ouvertes pour découvrir un homme qui se lève, sort son sexe et prend sans autre forme de procès la fille cuisse écartée dans la balançoire. Cette vision résonne en moi, elle est ouverte elle aussi.... Et j'en frissonne. De nouveau, mon mari est obligé de tirer sur ma laisse pour me faire bouger, pour arracher mon regard de ce qui se passe ici. Je sens que je quitte presque à regret ses femmes attachées.

    Mais cette fois, c'est mon oreille qui est sollicitée, des claquements... des gémissements... des cris. Mon sang ne fait qu'un tour, j'ai tellement fantasmé sur ces pratiques que je n'ai aucun doute sur ce qui se passe derrière. Je prends peur, je m'arrête. J'ai peur d'être confrontée à mes fantasmes. Je panique. Je sans la main de mon mari nouvellement appelé maître sur mes fesses nues. Ses attouchements me ramènent sur terre. Il essaie de me rassurer mais mon cœur bat à tout rompre. Le voisin lui aussi essaie de me dire des choses sur le respect entre la maitre et sa soumise mais je ne l'écoute pas. Je ne l'écoute pas car je sais que, ce que je vais voir, c'est ce qui m'excite le plus dans mes dialogue et parfois même c'est ce qui me fait jouir.... La main se fait plus pressante, la force de l'homme qui est mon mari m'entraîne.

    A peine entrée, un claquement attire mon regard, je découvre avec horreur et délice le dos et les fesses d'une femme marquée par la morsure du fouet qu'une maîtresse en cuir lui inflige. Cette vision maintes fois imaginée par mon corps me fait frissonner de la tête au pied. J'halète presque et des crispations de mes cuisses et de mon vagin accompagnent le fouet. Sa peau est marquée par des stries rouges. Je n'ose pas imaginer la douleur que cette femme ressent et qui pourtant, ne crie pas. Entre mes cuisses serrées, mon vagin se liquéfie. Je savais que voir une telle scène m'exciterait. Je le sais depuis toujours que ces scènes de correction violente me donnent du plaisir et l'envie de me masturber mais jamais je n'ai envisagé des les pratiquer. La fouetteuse me pointe du doigt, j'entends à peine ce qu'elle dit, mais c'est comme si elle me désignait pour aller prendre la place de la pauvre fouettée. Mon cœur s'arrête un instant mais le voisin la calme. Et pourtant j'halète, j'ai chaud, je suis en feu.

    Elle prononce mon nom en se moquant et, en me jetant un regard de défi frappe les fesses de la soumise qui se crispe en se tordant. Je suis comme hypnotisée tout mon corps tremble. Mon mari s'approche sa main passe entre mes cuisses et je sais qu'il ne peut que constater mon état d'excitation. Il me fouille doucement, ses doigts jouent avec mon clitoris tendu gonflé de sang, un doigt s'enfonce facilement mon vagin dilaté grand ouvert. Vicieux il continue à profiter de Voisine ouverte car oui à cet instant je suis ouverte, pourquoi le nier.

    Ses doigts passent entre mes fesses touchent mon anus qui est lui aussi dilaté par la chaleur et l'excitation de mon bas ventre. Je me laisse faire, je me laisse toucher ... ouverte. Puis un frisson part de ma nuque et parcourt mon corps jusqu'au bout des seins, des doigts, des orteils. Un baiser de la maitresse du voisin dont j'ignore même le nom, le baiser d'une femme... Elle me parle doucement tout doucement « laisse toi aller, tu sais que tu en a envie.... Tu sais que cela t'excite .... Accepte ce que tu es .... Accepte le plaisir oublie tes tabous .... Tu ne joues pas à Voisine ouverte, TU ES voisine ouverte... depuis toujours tu le sais »

    Mes yeux rivés sur le spectacle du fouet qui lacère la peau, mon mari jouant avec mes organes, et la jolie soumise me susurrant tout en me caressant, mes jambes tremblent presque au bord de l'orgasme devant tant d'émotions refoulées. Je ne suis plus moi-même, je ne me contrôle plus. Encore une fois, vous m'arrachez au spectacle et aux mains qui me touchent. La dernière salle est presque décevante. Bien sûr des couples font l'amour, mais rien à voir avec le spectacle précédent.

    Mes seins sont tendus mes mamelons pointant outrageusement, ma jupe courte ne cache pas ma peau luisante de mouille entre mes cuisses. Tout mon corps est en feu et mon sexe réclame le plaisir. Je me sens tellement obscène, tout mon corps exulte l'envie de plaisir comme une chienne qui serait en rut et qui chercherait à se faire saillir. Cette visite m'a mise dans un tel état. Je croise le regard perdu de mon mari qui réfléchi, le sourire moqueur du voisin et la bouche en cœur, le regard pétillant de sa soumise.


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  • Visite guidée

    Mise à jour

    Je te regarde un instant, ainsi tu n'es pas partie, tu as donc envie que le jeu se poursuive. Je prends fermement la laisse et va pour avancer, quand je m'arrête brusquement : zut j'ai encore oublié quelque chose. Je me tourne vers toi et prends cette voix un peu ridicule des officiers dans les films de guerre : « Certes ce soir tu dois te taire Voisine ouverte mais tu as droit à deux mots : jasmin coquelicot Le premier pour dire que la soirée va bien mais qu'il ne faut pas qu'elle devienne plus dure, le deuxième pour demander qu'elle s'arrête immédiatement. » Je murmure pour moi : « au moins ces mots tu ne risques pas de les dire sans le vouloir ». Je te regarde dans les yeux et demande sèchement : « Tu as compris Voisine Ouverte ? » J'attends que tu répondes pour repartir.

    Quand le voisin pince sans rire ajoute : « Normalement, si la soumise prononce le mot d'arrêt, la relation entre le maître et la soumise s'arrête aussi » Il glousse. « Mais dans votre cas on fera une exception, et puis maintenant que j'ai une Voisine ouverte je ne voudrais pas la perdre ». Je hausse les épaules et reprend notre marche, je note juste qu'il a dit « Voisine ouverte » sur le bon ton, dénigrant juste ce qu'il faut en te matant largement comme une femme facile.

    Nous arrivons rapidement devant un mur devant lequel se tiennent des hommes comme si ils pissaient, un pas de plus nous amène à une porte vitrée donnant accès à derrière le mur. Deux femmes à genoux sucent activement les bites dépassant de trous fait dans le mur, finalement les hommes ne pissent pas mais ce font sucer : c'est plus agréable il faut le reconnaître. Une des deux a le buste couvert de sperme qui coule sur ses seins et son ventre. Un homme pas loin de la porte semble attendre qu'elle soit suffisamment arrosée pour la rappeler. Au regard et à l'entrain des deux femmes il est difficile de dire qu'elles sont malheureuses !

    Je regarde furtivement ma femme, elle a du voir des scènes comme cela des milliers de fois sur le net, en rêver, être troublée, se caresser et même très certainement en jouir, mais comment réagira t elle en réelle ? Supportera t elle son vice et ses fantasmes ? Acceptera t elle la réalité d'être une salope et d'aimer cela ?

    Nous poursuivons notre chemin dans les couloirs nous voyons quelques cages dans lesquelles sont enfermés ou des femmes ou des hommes. Certains ont des positions de soumis, à genoux mains dans le dos tête baissée, d'autres pas. Une est même tranquillement assise cuisses écartées en sirotant un cocktail de fruits. Nous entrons dans une salle où des femmes sont pendues par les mains, suivant leur maitre leur position est plus ou moins confortable, les pieds touchant bien le sol ou juste sur la pointe des pieds, une seule a en plus une barre lui écartant les chevilles. Les hommes et leur maitres contemple avec plaisir leur pendule vivant. Au fond de cette salle, il y a une balançoire d'amour : une femme oscille dessus nue cuisses largement écartées en hauteur, elle offre ainsi son con et son cul. Autour de la balançoire sont placés des fauteuils sur lesquels discutent tranquillement un groupe de personnes, il semble que lorsqu'un a envie, il se lève, va baiser la femme dans la balançoire et reviens s'assoir.

    Nous quittons cette salle pour aller vers une autre d'où s'échappe des bruits secs et des gémissements. Je te tire pour y aller, tu sembles plus rétives, je m'approche de toi, caresse tes fesses sous la mini, la soulevant largement. Je t'embrasse dans le cou : « Allons voisine ouverte chérie, ce n'est qu'un jeu, rien ne dit ce que nous ferons ! ». Voisine ouverte et chérie sonnent bizarrement ensemble, et finalement n'irait il pas très bien ensemble, ne serait il pas le signe d'un amour profond ? Je te regarde fixement, tendrement en tirant la laisse, la soumise du voisin s'approche de toi et te murmure : « Si il ne veut pas te perdre, il doit en premier tenir compte de ton plaisir et de tes désirs, les maitresses des jeux ce sont les soumises en fait ». J'approche ma main de ton collier, attrape l'anneau auquel est attaché la laisse et te tire dans la pièce.

    Étant donné le lieu, on aurait envie de dire « rien que de très classique ». Des anneaux aux murs permettent d'attacher des êtres humains et de les fouetter, cravacher, fesser, quoi de plus normal finalement ? Un homme attaché de face se fait cravacher par sa maitresse, son membre dressé montre clairement l'état d'excitation dans lequel le met se traitement, sa maitresse en profite pour l'insulter largement sur cette érection non maitrisée. A côté de lui, une femme attachée face contre le mur se fait fouetter par une dame en combinaison de cuir, bottes à haut talon. Les marques sur son dos et ses fesses montrent clairement la violence de la correction, la soumise pourtant ne dit rien, accepte les coups sans broncher. Notre voisin va saluer la vigoureuse fouetteuse. « Ah elle a encore progressé, maintenant tu la corriges sans la bâillonner » « Oui elle, c'est une très bonne élève et elle aime les endorphines ». Elle montre du doigt ma femme : « C'est une nouvelle, elle veut commencer avec moi ? » Le voisin réplique doucement : « Ah elle débute, et Voisine ouverte n'est pas ma soumise » Moqueuse elle complété : « Voisine ouverte c'est son nom ? Rien que le nom mort de rire » Elle ponctue sa phrase d'un coup de fouet sur sa soumise qui se cambre sous la douleur.

    Là je suis inquiet, ça fait beaucoup, je m'approche de la femme que je tiens au bout de la laisse, la regarde, je frotte mon nez amusé contre le sien, glisse une nouvelle fois ma main sous la mini. Je sens son sexe encore trempé, dégoulinant, je cherche discrètement son clitoris, son état me rassure ou m'affole, l'heure n'est plus à l'analyse détaillée. Je la caresse rentre un doigt profondément, je veux l'exciter plus, lui donner du plaisir pour lui donner envie de continuer. Je glisse un doigt aussi vers sa rose serrée de derrière qui réagit mieux qu'au début de la soirée se laissant caresser, masser Je sens les fesses de ma femme bouger et à ma grande surprise je vois la soumise du voisin presque collée à ma femme lui caressant tendrement les fesses et la nuque en lui murmurant dans l'oreille. Ma femme aurait elle un apprentissage par une paire ? Elle se laisse bercer par ma masturbation, les douceurs de notre nouvelle amie et le spectacle qui s'offre à elle.

    Le voisin nous sort de notre torpeur : « On va voir la dernière salle ? » Celle-ci est plus soft, moins sm, des couchettes sur les bords de la salle ronde, au milieu un sorte d'immense pouf sur lequel des couples baisent plus ou moins tranquillement, dans un coin un lit de gynécologie. Je réalise soudain que nous avons fait le tour du club, que nous seulement cela a plu à ma femme, mais la fortement troublée, l'est elle autant que dans ces chattes, je ne sais pas mais elle est complètement ouverte, excitée, disponible. Finalement son nom de soumise lui convient bien. Je m'imagine parler de cela lors de notre prochaine réunion de famille chez ses parents, dire au café : « Ah belle maman vous avez une fille extraordinaire, qui est à la fois une bonne mère, une adorable épouse et ce qui ne gâche rien une incroyable salope soumise » Me répondrait elle : «Cher gendre j'attendais ce moment avec impatiente, moi même je m'y suis mise tardivement mais quel plaisir ».

    La sensation des regards sur moi ma ramène à la réalité, la visite est terminée, il faut passer à des choses plus concrètes. Je n'ai pas le choix, il faut que je trouve ce qui va faire le plus jouir ma femme. Je la regarde, est elle vraiment ma femme ou seulement Voisine ouverte une apprentie soumise désirant comme une folle être traitée en salope ?


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  • Et pourtant elle le fit malgré sa décence

    Mise à jour

    « Soumise », « Maître ». Ces mots prononcés aussi distinctement me perturbent. Et leurs regards amusés ne laissent aucun doute sur l'effet qu'ils ont voulu donné. Les joues roses, perturbée, je tourne la tête vers mon mari. Non, il ne m'a rien dit, rien du tout. Je n'ai plus aucun doute maintenant sur le lieu et sur les intentions de mon mari et du voisin. Pourquoi me suis-je laisser entraîner là-dedans ? J'aurais pu quitter ce lieu au moment où cette femme s'est mise à 4 pattes en montrant son postérieur, mais je ne l'ai pas fait. Pourquoi ? Peut-être parce ce sont mes fantasmes et que j'ai envie de les assouvir ici et maintenant ou peut-être parce que j'ai envie de lui faire plaisir, ou tout simplement parce que je n'ai pas assez de courage....

    Il me regarde enfin depuis un long moment comme s'il avait décidé de prendre les choses en main et son ton est surprenant : « allez viens toi ». Ces mots claquent à mes oreilles. Je me lève comme tout le monde et la maîtresse du voisin s'approche très près, et me parle doucement à l'oreille, son souffle si proche. Aussi bizarre que cela puisse paraître, ses mots me réconfortent car, je comprends que l'expérience sera nouvelle pour moi mais aussi pour lui. De plus, ce côté bavardage en cachette des hommes nous rapprochent, je me sens aussi tôt prise d'affection pour cette femme inconnue. Je n'ai pas le temps de lui demander de l'aide pour savoir comment s'y prendre que nous sommes obligées de rejoindre les hommes.

    Arrivée dans le couloir, j'entends le voisin parler de jeux SM et ces mots ont aussitôt un écho au creux de mes reins. Je m'arrête mes jambes tremblent, je me mords les lèvres puis vois mon mari sortir le bandeau des enfants, le comportement de mon mari, l'objet qu'il montre, tout cela pourrait nous faire rire en temps normal mais il s'agit effectivement presque d'un rituel et personne ne rit. Il vient poser le bandeau sur mes yeux, je respire profondément en proie de nouveau à d'affreux doutes. Les mots du voisin arrivent à mes oreilles mais je ne le vois plus. « Chère voisine, vous pouvez maintenant retirer votre bandeau mais si vous le gardez c'est que vous acceptez la suite et les règles que vous donnera votre mari ». J'ai le choix... je peux le retirer et partir mais que dirait mon mari, me le pardonnerait-il ? En ai-je vraiment envie ? Que vont-ils me faire ?

    En proie à toutes ces questions, à ne pas arriver à trancher entre le fait de vivre ce que j'ai tant de fois écrit en chatte et le fait de refouler ces obscénités que mon éducation réprouve, je laisse l'opportunité au voisin de prendre la parole et de décider à ma place. « Alexia accepte d'être la soumise de son mari ». Mes épaules s'abaissent comme si j'étais finalement soulagée de ne pas avoir à choisir, que le choix soit fait pour moi. Ainsi les dés sont jetés....Je sens la main de mon mari m'attirer, les yeux bandés, je reconnais sa main. J'entends que tu marches autours de moi que tu ouvres quelque chose. Puis tes mains se posent sur moi.

    Je tremble. Ma respiration s'accélère. Tu me déshabille lentement, je sens mon corps être mis à nu mes seins lourds en poire, mes fesses rondes mais fermes. Cet effeuillage me trouble et chauffe mon entre cuisse, je le sens. Mais surtout ce qui me perturbe le plus, ce sont les voix, les bruits de pas... tu me mets nue alors que des gens passent par là et cette exhibition m'excite au plus haut point bien que je ne vois rien. J'imagine les regards sur mon corps. Je devrais avoir honte de me montrer ainsi mais j'ai tellement rêvé d'exhibition qu'au contraire mes seins se dressent les mamelons pointés vers l'avant montrant mon trouble et mon désir. Je sens que tu me passe une jupe très courte dans une drôle de texture, du vinyle ! Je n'ai rein dessous, la matière recouvre mes fesses et mon pubis mais je sens bien qu'elle est tellement courte que finalement elle ne cache pas grand-chose. Puis tu referme sur mes seins un bustier les pressant et les remontant sans doute pour les mettre en valeur. Je sens l'air aussi entre mes seins, il doit être ouverte et exposé ma poitrine. Je ne me vois pas mais je m'imagine dans une tenue de traînée de salope comme on m'a si souvent appelée dans mes chatte.

    Je sais que ce genre de tenue s'accompagne souvent de talons hauts et je ne suis pas surprise lorsque tu m'en passe aux pieds. Bien sûr les talons font cambrés mes reins, je me sens habillée mais nue, je me sens entrer dans la peau de la femme de mes fantasmes. Tes mains confirment ce que je pressentais, tu atteints trop facilement mon sexe et mes seins. Je gémis lorsque tu pétris mes seins que tu sais très sensibles et tes doigts sur mes lèvres ne peuvent que constater mon état d'excitation. Puis tes lèvres viennent se poser sur les miennes et m'électrisent. Bien sûr ce n'est pas notre premier baiser mais c'est le premier où j'ai les yeux bandés et que je suis habillée comme une salope. Nos langues se mêlent et je te réponds mélangeant nos salives j'ai envie de toi maintenant. Ne te voyant pas je tends mes lèvres et ma langue mais déjà tu me parles doucement « Mme ma soumise est prête ?, c'est comme dans tes chattes ? ».

    Cette révélation me frappe comme un coup de couteau j'en reste bouche bée. Ainsi, tu sais, tu les as lus. Alors tu sais tout ce que je suis capable de faire avec ces hommes. Je sais pour ma part que je suis allé très loin et je commence à craindre de vivre réellement ces fantasmes. Le souffle coupé je m'apprête à chercher des excuses, à me défendre mais tu ne m'écoute pas et passe le collier autours de mon coup. Et la laisse s'accroche en un petit clic. Décontenancée, je finis par renoncer à t'expliquer l'inexplicable. Tu me fais ressortir et rejoindre nos « amis » Le bandeau me quitte. Je me découvre enfin face au miroir.

    Je me vois telle une salope le peu de tissu ne fait que montrer encore plus mes formes généreuses. Je constate que mes seins sont gonflés, mes mamelons sont tendus de façon obscéne sous le tissu. Je me vois comme une traînée excitée. Mes joues sont roses, j'ai honte de moi, je baisse la tête mais ne dis rien, acceptant ma tenue de soumise. Je t'écoute lancer le sujet sur le nom de soumise. Je me souviens que certains homme avec qui je chattais aimait me donner des noms tous plus humiliants les uns que les autres : les classiques chienne, pute, salope quelquefois pisseuse, punie, trou voire des prénoms sans doute le prénom de l'épouse de l'homme frustrée qui souhaite faire de sa femme sa soumise.... Comme moi ce soir .... Puis j'entends ce que tu prononces : « Voisine Ouverte ».

    Je ne peux m'empêcher de redresser la tête et de gémir « noooon ». Voisine passe encore mais ouverte, cela sous-entend tellement de chose, je me sens humiliée. Et ce sous-entendu de mon nom, le voisin ne se gêne pas pour en profiter et vérifier par lui-même. Je le vois approcher et sa main passe entre mes cuisses mes yeux te fixent, t'implorant de l'arrêter mais je vois que ça te plait qu'un autre homme me touche. Son doigts glissent facilement entre mes lèvres trempées et ressort luisant. Puis je vois sa soumise venir poser sa langue sur son doigt et goûter à mon jus, cela me donne une vague de chaleur et un flot de mouille encore plus important entre mes cuisses brulantes. Puis sa main s'approche de nouveau et essaie de passer entre mes fesses, de réflexe je les sers crispée je grimace « non pas là » fais je. Tu sais très bien toi mon mari que je refuse d'être touché de ce côté, que je trouve cela dégoutant.

    Et pourtant, combien de fois mes amants virtuels m'ont torturée ou prise par là. Devrais-je vivre cela aujourd'hui ? Je me souviens que tu as lu mes dialogues. Je m'en mords les lèvres. Il retire enfin son doigt. Puis je te vois présenter ton doigt à cette femme, elle te lèche et tu la pénètre par derrière. Un sentiment de jalousie me terrasse, la première femme à qui tu mets un doigt dans le cul, ce n'est pas moi mais elle.

    A moins qu'il y en ai eu d'autre avant moi .... T'entendant dire que tu travailleras mon ouverture arrière ne me laisse pas d'illusion sur ce qui va m'arriver. Ce soir je subirai par là. Crispée, apeurée, ta main ferme se pose sur mes fesses et me poussent vers l'avant, vers ma première expérience de soumission.


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