• Cela fait mal et cela fait jouir

    Cela fait mal et cela fait jouir

    Mise à jour

    Je vois le corps de la soumise du voisin secoué tout près de moi et je comprends que tu l'a prends vraiment fort à grand coup même si c'est par derrière. Je ne vois pas mais j'imagine ton sexe, celui de mon mari, dans le cul de cette petite salope. Pendant ce temps, le voisin s'amuse à enfoncer son sexe profondément en moi. Il ressort. Regarde ma vulve et me reprend. Toujours écartée, je le subis. Petit à petit, mon corps se remet à ressentir une sensation entre mes cuisses malgré les deux orgasmes. La soumise du voisin arrête d'être secouée. Je vois le mouvement de mon mari, il vient de jouir.

    De nouveau la honte, la frustration qu'il ait sodomisée cette femme inconnue et qu'il en éprouve du plaisir. Le Voisin comme s'il sentait mon trouble me rappelle à lui en me baisant plus fort, faisant bouger le fauteuil gynécologique avec mon corps dessus. Mes petits cris lors de ses coups me trahissent. Alors que mon plaisir remonte, le voisin se plante en moi au plus profond et jouis dans ma vagin distendu. Il ne se préoccupe pas de mon plaisir juste du sien. Je le sens me quitter, frustrée.

    Puis la conversation s'engage entre les deux hommes nous rabaissant moi et la soumise à de simples femelles à disposition. Mon mari et maître demande à la soumise de me détacher. De nouveau je sens ses mains, son corps si proche, et pourtant elle vient de se faire sodomiser par mon mari. Elle libère mes jambes dont les muscles sont douloureux car j'étais fortement écartée. Je pose mes pieds par terre me redresse et constate les dégâts de mon sexe grand ouvert avec stupéfaction mais aussi satisfaction. Les mains de la soumise m'aident à me remettre d'aplomb, tendrement. J'en frissonne.

    Un claquement sec sur sa cuisse la fait tressauter. Je regarde et distingue la cravache et la remarque du voisin s'adresse autant à moi qu'à elle. Surprise je la vois se rebeller alors qu'elle est habituellement si soumise. Depuis le peu de temps que je la connais, elle a un comportement agressif, brusque. Ses yeux lancent des éclairs presque comme une tigresse. Je ne la reconnais pas. Cela ne dure qu'un instant, je découvre cette personnalité sauvage en moins de quelques secondes. Car, rapidement, elle baisse la tête soumise et demande la punition. Elle se retourne toujours offrant son postérieur à son maître son visage proche du mien renouvelant cette complicité entre soumises.

    Hélas, le voisin ne l'entend pas de cette oreille et je le vois lui tirer les cheveux pour la jeter par terre violemment. Quel monstre me dis-je en le voyant la gifler et lever le bras pour la frapper. Elle s'offre acceptant son sort et pourtant, ses dernières paroles sont pour moi. « Je t'embrasse », aussitôt je repense à ce baiser doux et mielleux de ses lèvres, un frisson de plaisir me parcourt alors qu'elle prend les coups de son maitre. Le Voisin semble satisfait de la punition infligée à la soumise. Il se retourne vers moi et la paume de sa main vient écraser mon sexe qu'il vient de baiser. J'ai un sentiment de peur mêlé d'excitation, va-t-il me punir moi aussi ?

    Mais mon maître interrompt la discussion. Mon maitre et néanmoins mari s'approche, caresse mes cheveux éparses, décoiffée. Sa main dans mes cheveux, je sens ses doigts se refermer sur mes cheveux les tirer. Je descends du fauteuil mais il continue à tirer me forçant à descendre une grimace sur le visage je tombe à genoux sur le sol froid. J'entends le terme « à 4 pattes », cette image de soumise humiliée à 4 pattes me parcourt, enfin je vais pratiquer cette position humiliante. Sans me faire prier d'avantage. Je pose mes mains au sol, mes seins tombent sous mon corps. Je suis à 4 pattes.

    Je marche difficilement, la soumise du voisin a plus d'aisance dans cette démarche plus habituelle pour elle. Je me concentre pour la suivre lorsqu'elle me parle à voix basse. Elle me rappelle mon état dans la salle au fouet. Aussitôt je repense à cette femme et à sa maîtresse. De nouveau, mes fantasmes remontent dans ma tête, j'ai toujours rêvé de ça et elle le sait. Je ne réponds pas mais mes yeux en disent plus, perdus dans cette vision de mon corps criant sous la douleur du fouet. Je recommence à couler fort entre mes cuisses. Elle m'explique qu'elle va prendre l'initiative. Je commence à appréhender les règles complexes qui unissent le maitre et sa soumise. Elle accélère soudain comme un chien le ferait pour guider son maître et je comprends vite là où elle nous amène.

    Prise entre l'anxiété et l'envie, je la remercie mais lui en veut aussi. La soumise est déjà prêt des fauteuils lorsque que j'entre dans la pièce. Mes yeux suivent les liens prévus pour ce qui se pratique ici. Mon souffle est court de nouveau très excitée. Il n'y a plus personne, plus de cris de femme blessée et cela me manque presque. Mon regard ce porte là ou était la maitresse qui m'avait défiée mais elle n'est plus là. Je rejoins ma compagne de soumission et m'assois troublée à côté du fauteuil de mon maître. Les maîtres ont soifs et commande à boire non sans oublier de me rabaisser devant le serveur. Je ne suis plus Voisine Ouverte mais Petite chienne ouverte. Celui-ci ne réagit même pas et j'en suis presque déçue. C'est tellement bon d'être humiliée devant les autres.

    Mon maître s'adresse à moi me demandant d'aller entre les deux anneaux qui pendent du plafond. Mon sang ne fait qu'un tour et mes glandes internes se remettent à lubrifier mon sexe. La simple idée d'aller là, à cet endroit me rend folle. Je me redresse, tremblante d'excitation et croise le regard de la soumise du voisin. Elle sourit l'air de me dire « tu vas obtenir ce dont tu as envie ». Debout, je me place docile entre les deux anneaux. J'essaie de rester calme obéissante mais déjà mes seins sont tendus ma chatte en feu. Le maitre approche, je respire fort. Il passe mes poignets dans les anneaux me mettant les bras en l'air. Combien de fois ai-je rêvé de me retrouver ainsi. Il tire fort sur mes bras me forçant à me mettre en appui inconfortable sur la pointe des pieds. Mon corps est tendu, mes seins gonflés pointés par la position. Sa main parcourt mon corps fébrile, je gémis lorsqu'il touche mes seins et mon sexe dont je ne peux masquer l'excitation qui coule entre mes cuisses. Je l'entends me parler me dire que je vais m'ouvrir maintenant. J'espère effectivement être prise maintenant ainsi attachée.

    Je le vois alors décrocher un fouet à longue lanière de cuir du mur. Je respire encore plus fort, je transpire mon corps laisse échapper des gouttes de sueurs. J'ai envie mais je sais que ce n'est plus un fantasme que cela va certainement me faire mal. Pourtant mon sexe dégouline. Je sens le contact de la lanière dans mon dos et un frisson part de mon cou pour aller faire pointer encore plus mes seins. Lui aussi, comme la soumise, a remarqué mon état dans cette salle et il a lu tous ces dialogues ou je me faisais fouettée, maltraitée. Il sait. Je respire maintenant la bouche ouverte, tendue. Je le vois lever le bras, je me mords les lèvres alors que je vais enfin découvrir cette douleur qui me fait tant fantasmer. Mais le serveur l'interrompt me frustrant pour la 2ème fois.

    Mon maître ou mon mari, je ne sais plus dire, prend sa coupe et me regarde droit dans les yeux. Il déverse enfin dans son regard tous les reproches. Il sait que j'ai fait ça des centaines de fois et là, il m'a sous la main, pour me punir réellement. Et moi, je crève d'envie de vivre ce fantasme mais je ressens aussi de la peur car je vois dans ses yeux qu'il ne retiendra pas ses coups. Il va me faire mal pour que je comprenne la vraie réalité des choses. Sur la pointe des pieds, je commence à fatiguer les bras douloureux qui supportent mon corps. La bouche ouverte, j'halète. Comme un dernier geste avant de passer à l'acte, il verse la coupe dans ma bouche sèche mais le liquide se répand et coule sur mes seins, mon ventre puis entre mes cuisses. L'effet est immédiat ma peau hyper sensible est survoltée par ce liquide qui coule sur moi. Enfin, il recule.

    Je ferme les yeux, cette fois ça y est je vais vivre ce qui me fait jouir dans mes fantasmes. Je ne regarde pas. Les yeux fermés, le corps tendu, j'attends de ressentir le premier coup. Et je ne suis pas déçue. La lanière vient mordre mon dos, j'ouvre les yeux et pousse un cri en me cambrant. J'avais imaginé tellement de fois cette douleur mais c'est bien pire que je ne l'imaginais. Il a frappé fort, la lanière est venue s'enrouler autours de mon corps et brûler ma peau. Une vive douleur sur toute la longueur du contact. Ça fait mal, vraiment mal comment ai-je pu espérer vivre ça ?

    Je n'ai pas le temps d'analyser que déjà le fouet vient s'abattre sur mes fesses. Je me tends en tirant sur mes bras et en criant fort dans la salle, le même genre de cri de femme blessée qui m'avait excitée à notre première visite dans cette salle. Je ne sais pas retenir mes cris comme d'autres soumises. Je sens une brûlure sur mes deux fesses et mes hanches. Une douleur qui résonne sur mes fesses. Je repense à ces photos, imagine la marque laissée par le fouet. J'ai mal aux fesses et pourtant mon sexe lâche des flots de cyprines. Mes cuisses sont inondées mais il semble que l'excitation ne monte pas que pour moi. Mon maître se laisse aller et enchaîne les coups claquant fort plusieurs fois d'affiler. Il ne me ménage pas comme je l'avais lu dans ses yeux. Il frappe durement et fort avec élan.

    À chaque coup la douleur traverse mon corps qui balance essayant vainement d'échapper à la morsure du fouet, mes pieds ne pouvant m'aider à fuir. Chaque coup sur mon dos est un supplice qui me fait maintenant hurler de douleur. Je ne peux réprimer les larmes qui coulent sur mes joues. Je voudrais l'implorer d'arrêter, je sens chaque coup de fouet comme une marque indélébile sur ma peau. Soudain, les coups s'arrêtent mon corps retombe juste porté par mes bras car mes jambes ne me supportent plus. Pourtant mes cuisses sont dégoulinantes des sécrétions de ma vulve ouverte. Je respire à peine sentant encore la douleur sourde de chaque coup, mes yeux embués ne distingue plus grand-chose. Mais je reçois des claques fortes sur mes fesses qui viennent raviver la douleur des morsures du fouet. Je n'ai pas la force de répondre à sa question mais ce que je viens de vivre va bien au-delà de mes rêves.

    Toutefois, ce n'est pas encore terminé, sans que le vois il vise entre mes cuisses. Le cuir vient frapper l'endroit le plus sensible de mon corps. Je me cabre comme une jument blessée, me redresse brutalement pris dans un étau. Je n'arrive pas à crier tellement la douleur est intense, je ne fait que pousser un son étrange du fond de la gorge. Tout se passe très vite, la douleur envahit mon sexe et dans le même instant, mon vagin se contracte et part dans un orgasme violent qui se répercute dans tout mon corps. Une seule vague, brutal m'emporte avant que je ne retombe suspendue. Je ne sais plus où je suis, je souffre et je viens de jouir.

    Je sens que mes bras sont libérés je tombe au sol incapable de me porter seule. Par terre, je sens des mains me soulever et un sexe s'enfoncer dans ma rivière intérieure. Un sexe que je devrais reconnaitre mais je ne sais plus qui me prend. La douleur est encore présente, sourde brûlure. Il ne faut que quelques instants de pénétration pour que je sente un flot puissant et chaud de sperme inonder mon sexe. Je suis utilisée comme une poupée, mon corps sans muscles, juste un trou pour satisfaire celui qui me prend. Je suis entre deux univers, celui du plaisir et de l'abandon et celui de la souffrance et de mon corps épuisé. Et pourtant, je me sens comblée, assouvie.


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