• Il y a vraiment une différence entre une soumise et une salope

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    Je la vis venir à mon cour de nouveau dans une tenue digne d'elle, Lynn remettait des tenues féminines soulignant son corps, ses charmes, des tenues de femme portées par la jeune fille qu'elle est. Elle se promenait dans le lycée en mini jupe, haut moulant, charmante, sensuelle, et sexuelle, dégageant cet érotisme primaire des jeunes filles ne maitrisant pas encore les effets de leur séduction. Je la laissait ainsi pendant les trois quarts de la semaine, l'admirant, la regardant faire des efforts de tenue, prenant des poses lascives, équivoques durant mes cours, s'en était presque amusant. La consigne avait été donnée aux autres de laisser Lynn tranquille, de ne pas l'aborder, de ne pas la toucher. Les garçons veillaient scrupuleusement à ce qu'elle ne soit pas déranger. Le gamin avait bien essayé une fois de s'approcher d'elle, l'intervention « persuasive » des garçons l'avait dissuadé de toute initiative déplacée.

    Puis le jeudi soir, à la fin de mon cour, alors que tous les élèves sont encore présents dans la salle, j'élève la voix : « Lynn à mon bureau s'il vous plait » Le ton autant que le volume de ma voix se font retourner les élèves et, alors qu'aucun élève n'aime venir au bureau du professeur sur un ordre, je vis s'approcher Lynn, somptueuse un magnifique sourire aux lèvres. Je lui tendis une enveloppe lui murmurant : « Je compte sur toi demain soir » L'enveloppe contenait juste une invitation pour la soirée de vendredi chez moi.

    Vendredi soir, vers 19h j'attendais un peu fébrile que Lynn sonne, fébrile non pas de savoir si elle allait venir, cela je sais qu'elle le fera, non plutôt de savoir si les jeux vont pouvoir reprendre. Lynn va t elle se laisser guider, va t elle accepter la promenade le long de ses fantasmes et rêves coquins pour devenir soumise ? Je méditais pensivement sur cette question lorsque la sonnette retentit.

    Je lui ouvris la porte, je la regardais tremblante, faible, désirable dans son incertitude et son inquiétude. Je lui pris la main, referma la porte, la regarda puis lui dit doucement : « Ce soir, tu n'auras aucune contrainte, aucune douleur, aucune punition » « Je veux te faire prendre du plaisir, t'exciter te faire jouir dans la douceur et la tendresse » « Viens » Je la conduisis dans la pièce de ma maison réservée à mes jeux du corps, en fonction des besoins, la décoration et accessoires de la pièce peuvent changer. Ce soir, il y avait juste un tapis en laine épaisse devant l'armoire vitrée et une table basse avec deux écrins sur le coté, j'ai légèrement monté la température pour qu'elle n'ait pas froid lorsqu'elle sera nue. Je mets Lynn devant la glace de l'armoire lui masse doucement le cou, le lui embrasse et commence à la déshabiller lentement, embrassant, caressant les carrés de sa peau mis à nu.

    Je la regarde enfin nue, admirant son reflet dans la glace, je colle son dos contre mon buste , lui caresse les seins, glisse ma paume sur son sexe. Je tend la main vers un des deux écrins sur la table, en sort un rosebud, je le passe sur les lèvres de Lynn le lui faisant lécher, le fais glisser sur sa fente maintenant humide pour l'introduire doucement entre ses fesses puis dans son orifice intime. Je joue avec ce délicat bijou, le fait tourner, le glisse puis ouvre le deuxième écrin. C'est une chaine dorée de tour de cou avec deux bout de chaines se terminant par un une goutte brillante avec une fixation sur téton. Je prends le temps de poser ce bijoux, regardant l'effet qu'il a sur ma mutine soumise qui ne l'est pas encore. Dans l'armoire je prend la robe noire mi-cuisses dénudée dans le dos que m'a conseillée mon ancienne soumise, elle a pris soin de me noter les tailles des habits de Lynn pendant que celle-ci se faisait masser. Puis je m'agenouille devant elle pour lui passer une paire de chaussure à talon, tenue par une large boucle autour de la cheville.

    je me redresse admire une nouvelle fois Lynn puis lui dépose un châle en laine blanche sur les épaules : « Ce n'est pas parce que je te veux séduisante que tu dois tomber malade » Je te prends par le bras pour t'emmener dans ma voiture et te conduire dans un restaurant discret en ville. Je m'amuse de ta démarche un peu tordu du fait du rosebud planté en toi. Je passe mon repas à te parler doucement chaleureusement du lycée, de tes envies, de tes projets, le temps s'écoule entre la plaisante conversation, les mets du repas et le grave grand cru classé conseillé par le sommelier du restaurant. A l'issue du repas, j'effleure doucement la main de Lynn, sur laquelle l'effet du repas, de ses bijoux intimes et des regards des autres personnes présentes dans le restaurant sont visibles. Ces seins tendent la robe, les gouttes se discernent sous le tissus. Peut-elle être encore plus désirable ? J'exerce une faible pression sur sa main et lui dit : « Viens la soirée n'est pas finie » Nous quittons le restaurant sous le regard envieux des hommes présents et sous les yeux courroucés des saintes familles machin.

    Je conduis ma protégée devant la porte d'un hamann, sauna, jackouzi échangiste, je prends mon temps pour sonner à la porte du club, je veux que Lynn ait parfaitement conscience de ce que nous faisons, qu'elle puisse se rétracter et tout arrêter si elle en a envie mais que si elle reste c'est en l'assumant pleinement. Ne la voyant pas bouger, je sonne, règles les formalités d'entrée , tend à Lynn son paréo et linge de bains pour la conduire vers le vestiaire. Je fais glisser sa robe, lui retire ses chaussures, hésite un instant puis lui laisse ses bijoux. « mets ton paréo Lynn même ici on ne promène pas nue dans les couloirs, enfin au début ... » Je me prépare à mon tour savourant d'avance l'effet que Lynn fera lorsqu'elle descendra en tenue d'Eve dans le jaclouzi.

    Mon attente n'a pas été déçue, une fois que j'ai déroulé de son corps son paréo et que je lui ai tendu la main pour l'aider à descendre dans le jackouzi, Lynn est devenu le point focal des regards des célibataires barbotant en attente de chair fraiche. Il y a des moments qu'il faut savoir savourer, je pris donc tout mon temps pour faire descendre Lynn dans l'eau et la coller contre moi pour la caresser, la câliner l'embrasser. Tendrement sans chercher à la brusqer mes mains, mes doigts courent sur son corps, jouant avec les grains de sa peau, caressant ses mamelons frémissant, glissant sur ton bouton sensible maintenant, glissant en elle ses cuisses s'ouvrant naturellement à l'arrivée de mes doigts. Lorsque sentant enfin son trouble, je fus sur de son consentement, je la retourne vers les autres personnes presentes dans le jackouzi.

    je vois les regards ironique de certaines femmes sur le collier de Lynn et le regard envieux de quelques mâles. Je lui murmure en faisant coulisser le rosebud : « A ton avis petite Lynn, crois tu qu'ils bandent tous pour toi ? » Sans avoir une réponse claire à cette question, je vis quatre hommes s'approcher de Lynn, essayer de la toucher, de la caresser. Un avantage de ce genre de lieu est le respect obligatoire par les autres des envies de chacun, un signe de ma part suffit à les refréner et je pu continuer à caresser Lynn alors qu'elle, à moins d'un mètre de quatre hommes la désirant, pouvait ressentir le désir animal que suscitait son corps. Les mains des hommes s'agitant sous l'eau indiquaient clairement qu'ils étaient entrain de se caresser en regardant Lynn de plus en plus émue, chaude excitée. Ma main glissée entre ses cuisses, je caressais Lynn puis la fit jouir devant les 4 hommes pour finalement leur proposer : « on monte ? » Leur acquiescement étant certain, je fis sortir Lynn de l'eau pour la conduire rapidement dans une des alcôves du club où nous suivîmes les hommes aux sexes raides.

    Par où commencer ? je pris la main de Lynn, la fis glisser lentement sur le torse des hommes, lui faisant caresser un à un ses vits tendus n'attendant qu'une chose : la pénétrer profondément. J'installai Lynn à 4 pattes sur le lit de l'alcôve, la cambrant, lui écartant les cuisses, j'installai n'est pas le mot exact, Lynn pris la position seule, tant elle avait envie de sentir en elle ces bites inconnues. Le premier rentra d'un coup pendant que je faisais signe à un des trois autres de venir se faire sucer. Les quatre hommes honorèrent Lynn, la prenant, la baisant sans retenue et avec délectation, la baisant, l'enculant se faisant sucer tour à tour. Les cris, gémissement et réactions de Lynn montraient sans ambiguïté le plaisir, les jouissances qu'elle prenait à ses attentions et caresses.

    Les hommes une fois partis, je tenais contre moi une Lynn alanguie par le plaisir, profitant tranquillement de l'après plaisir, mes mains effleurant son sexe et ses mamelons. « Tu vois petite Lynn, une salope est une jeune fille libre, prenant plaisir de son corps quand elle en a envie, et surtout dès qu'un homme le lui demande, comme tu as fait avec ce gamin que tu as sucé en mouillant ta petite culotte de salope » Je continuais à la caresser tout en lui parlant doucement. « Une soumise apprend la retenue, la patiente, se met à disposition de son maitre pour s'offrir quand il le lui demande, elle ne se donne pas comme une vulgaire femelle à n'importe quel male qui passe. » « Une soumise connait son prix, elle sait son infinie valeur qu'elle a acquise de part l'attention de son maitre, elle sait soumettre ses envies et désirs aux envies et désirs de son maitre, qui ne la galvaude pas comme un vulgaire mouchoir en papier qu'on utilise puis jette au caniveau » « Et ce prix se découvre aussi dans la douleur et les punitions » « Et maintenant adorable Lynn veux tu continuer à devenir ma soumise ? »


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  • Soirée entre filles

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    La semaine passe, difficilement, durant une semaine j'ai du oublier toute sensualité, toute féminité.. J'ai du mal pour ce devoir, jeudi je vois une de ses anciennes soumises, Alexia, dans les couloirs. « alors ça avance ? » « non pas vraiment j'ai du mal.. » « bon écoute, j'ai déjà étais à ta place, et fais face aux même difficultés, passe chez moi après les cours et je pourrai t'aider si tu le veux. » « oui merci beaucoup Alexia, à tout à l'heure. »

    Le soir venu, je me présente chez elle, toujours en tenue garçon. Après un petit temps, une collation et une boisson sucrée, elle me propose de voir le devoir. « Mais avant, changes toi. » « Je ne peux pas, Maitre ne veut pas.. » « Je lui ai parlé, il t'autorise à t'habiller à ta guise ce soir. » « Ah bon, c'est gentil, merci ! » « Montes et prends ce que tu veux pour te vêtir » « Ok à tout de suite »

    Je monte dans la chambre, va vers l'armoire, je ne fais pas la difficile et prend ce qui arrive, un short noir assez court et un débardeur rouge, avec un assez gros décolleté Je me déshabille, une fois nue, Alexia rentre dans la pièce, je suis une peu gênée et j'essaye de me couvrir les parties intimes. « Désolée de rentrer comme ça je passe prendre un truc, un de mes amis, présenté par la Maitre vient d'arriver, c'est un masseur. » « Ah bon.. ? » « Oui, il masse très bien tu verras. Eh ne te cache pas, tu sais j'ai déjà vu une fille nue : moi ! Ne met pas de dessous, tu seras mieux » Elle redescend, j'écoute ses conseils et va la rejoindre..

    Une fois en bas elle me présente ce masseur. Nous faisons connaissances, il fait très professionnel. Je parle à Alexia de mes soucis, elle me propose d'appeler le professeur pour lui dire que je préfère des jeux plus tendres, plus coquins, moins hard, elle se fait mon avocate pour dire qu'il ne faut pas qu'il me rejette, que je suis parfaite, que j'ai envie de continuer et que il ne doit pas être si dur avec moi. Une fois le coup de fil finit, elle revient me dire qu'il accepte tout cela et qu'il a, par bonté, annulé même le devoir car j'étais tout de même en situation très difficile. De plus il eu la gentillesse de m'offrir un massage, au soins du masseur.

    Je suis si contente que ce soit arrangé, que mon professeur m'autorise ce tendre massage.. Je ne peux refuser ce cadeau et j'accepte le massage. Je suis allongée sur le lit, Alexia supervise les gestes, le masseur commencent par les parties exposées, mais très vite je dois enlever le haut. J'enlève le débardeur et je m'allonge de nouveau, mes seins s'écrasent sur le matelas, il me masse si bien le dos.Puis me demande de me retourner pour me masser devant, il masse mon ventre, mes surtout la poitrine, cela me fait un bien fou.

    Alexia demande de me retourner, car ce sont mes fesses qui ont besoin de massage après la correction. Il me baisse l'arrière du short puis me malaxe les fesses avec douceur, remontant parfois sur le dos et redescendant.. Je n'ai plus envie de réfléchir ou bouger, j'y suis abandonnée. « Enlève ton short, ce sera plus simple.. » J'ose pas trop, mais je m'y sens trop bien, timidement, je suis de dos je fait descendre le short à mes chevilles. Je m'allonge. « non, de l'autre côté maintenant » Je m'exécute, un peu interloquée, mais je me retourne. Il me masse la poitrine, puis descend vers mes cuisses mais je les garde très serrées : « non je n'ai pas le droit »

    Alexia : « Maitre t'autorise, t'ordonne de te laisser faire par son masseur attitré.. » Je ne répond pas verbalement, j'écarte les cuisses pour lui laisser accès à mon intimité.. Il masse mes cuisses, l'aine, puis mes lèvres, qui apparemment sont déjà mouillées, dû aux caresses. Puis ses doigts s'attardent sur mon clito, le massent, le caressent, le font grossir. Je commence à avoir chaud, à mouiller, à gémir. Puis deux doigts rentrent en moi, facilement, doucement, mais profondément.. Puis il les fait bouger, tourner, il me doigte et me caresse le clito comme jamais on me l'avait fait... c'est si bon !! Ce fut si bon ! J'ai jouis trois fois, ou quatre, ou cinq... je ne sais plus, juste avec ces doigts.Mais la soirée n'alla pas plus loin.Il finit ce pourquoi il était venu, mon bien être, puis parti.

    Une heure ou deux après avoir discuter avec Alexia, je rentrai chez moi, j'étais aux anges ! Le week-end passa pas assez vite à mon gout, mais lundi arriva, et, enfin, je me présente en tenue habituelle, comme une vraie jeune femme, au lycée..


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  • Petite asiate à besoin d'aide

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    Cette chère petite éléve a bien du mal à s'acquiter de son devoir, l'un ou l'une de vous pourrait il l'aider ?

    Soit en envoyant un mail à bernardomg.blogg@hotmail.fr soit en laissant un message sur le blog. Le sujet du devoir est :

    « Qu'est ce qu'une salope, qu'est ce qui différentie une salope d'une soumise »


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  • Une apprentie appartient à son maitre seulement

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    Je la regarde arrivée, superbe, sensuelle et si découverte malgré ces habits, il est agréable de voir l'effet de l'obéissance sur une jeune fille ayant envie. Sa robe la colle, lui moule ses formes féminines relevées par les talons qu'elle a mis cette fois ci.

    Je lui souris : « Cette fois ci, pas besoin de vérifier que tu n'as pas de soutien, tes seins libres se proméne librement sous ta robe soulignant tout cela » Je passe la main sous sa poitrine, la soulève doucement, joue avec les tétons : « Et si tes mamelles pointent comme cela ma jolie petite apprentie, tout le lycée va savoir que tu es excitée, reprend toi pendant mon cours. Je la regarde dans les yeux, murmure : « J'attends, montre moi que tu as obéis complètement ». Elle relève doucement sa jupe, je lui tapote la joue :  « Plus haut, montre montre moi clairement et avec fierté que tu m'as obéis ».

    Elle decouvre laregement son intimité devant moi, cambrée me regardant le regard brillant, me mettant au défi. Je fais claquer ma règle sur une cuisse y laissant une marque rouge qui sera visible une fois sa jupe rabaissée. « Qu'est ce que ce regard fier et excité ? Baisse les yeux, apprends à te maitriser et excuse toi » Elle murmure un vague merci. La règle retombe, plus fort, un peu plus bas, faisant une deuxième marque visible. « Parle clairement, distinctement, répète Lynn votre apprentie soumise vous prie humblement  de l'excuser » L'heure avance, on entend le brouhaha des élèves à l'extérieur de la classe. Pour stimuler cette apprentie encore timide, ma règle claque encore mais cette fois-ci sur une cuisse, la peau entre les cuisses haut dans l'entre jambe. Je l'entends enfin dire positionnée correctement, cambrée, jupe largement relevée, yeux baissés : « Lynn votre apprentie soumise vous prie humblement  de l'excuser ». La porte de la classe s'ouvre, elle ne peut s'empécher de me regarder apeurée, lentement je lui permets : « Descend ta jupe, donne moi ton devoir et va t'assoir »

    Elle pause sur mon bureau une feuille blanche, va à sa place. Une de ses amies s'assoie prêt d'elle, je l'observe murmurer vivement à Lynn en montrant sa tenue, ses seins et les marques rouges visibles sur ses cuisses. La réaction de Lynn m'amuse, elle répond à peine faisant mine de se concentrer énormément sur son livre de philosophie Il lui faudra encore du temps avant d'assumer puis être fière de sa soumission.

    La journée se termine, au moment où tu vas sortir de l'établissement, les deux garçons que tu connais bien maintenant s'approche : « suis nous » Il te conduise dans les sous sols, frappe à une porte, l'ouvre, entrent dans un petit couloir qui débouche sur une grande salle avec parquet, un éclairage tamisé, au fond un bar et aux murs des photos de jeunes filles en position de soumise. Je l'attends installés dans les divans de ce salon privés, les garçons positionne Lynn un peu étonnée d'être là à deux mètres de moi, un des deux me mentionne : « Bon ca y est le morveux est calmé, il ne dira plus rien » Il termine sa phrase par un « quelle conne » et un gros soupir. Sans lever les yeux de mon ouvrage, je lance juste :  « A poil, en position de soumise, et tu pourras regarder au mu les photos où tu reconnaitras surement de tes connaissances »

    La jeune fille blonde présente lors de ta première séance entre dans la pièce, te vois et dis : « Ah la voila » Elle s'approche de toi, te regarde puis crache : « Non mais tu es con ou quoi ? Tu as rien compris, tu le fais exprès ? » « Tu penses être quoi ? Une pute, une fille qu'on baise quand on veut ? » « Tu as pas de fierté ? Tu es une sorte de greluche qui pense qu'à son cul ? » Elle t'attrape la tête, la secoue : « Tu as du prix désormais, tu vaux bien plus qu'un petit tour de manége dans les chiottes pour vider les couilles d'un connard puceau ! » « Tu es maintenant la soumise de ton maitre, ton con ne se donne plus comme un cadeau de belle mère à la braderie de Lille ! » Elle crie presque : « N'oublie pas ce que tu es maintenant, sinon tu ne le seras plus et tu passeras tes cours à le regretter, et n'oublie jamais les soumises ne sont pas des fantoches sans caractère, elles en ont tellement qu'elles peuvent se soumettre à un homme ! » Elle termine sa diatribe en venant s'assoir à coté de moi.

    Je te regarde te demande : « Tu as compris, vraiment compris qu'une soumise n'est pas une sorte de canapé sur lequel tout le monde passe, qu'elle obéit à son maitre et pas tous les blaireaux de passage, qu'elle maitrise ses envies pour satisfaire son maitre ? » « Tu l'as vraiment compris ? » « Alors va te mettre à genoux devant le miroir la bas, mains sur la tête, tu vas recevoir une vraie punition ».

    J'attends que Lynn se soit mis en place, je dépose devant elle sa feuille blanche avec ses traces de mouilles : « La prochaine fois, ne te fous pas de moi, tu écris au minimum deux pages, le thème de ta prochaine punition est « Qu'est ce qu'une salope, qu'est ce qui différentie une salope d'une soumise » Puis je pose autour de ton cou une ficelle à laquelle pend une pancarte sur laquelle est écrit : « Je ne suis pas une salope pour tout le monde, mais une soumise » Je m'écarte, puis prend un fouet : « Prosterne toi devant la glace Lynn ». Je fouette largement Lynn, ne tenant pas compte de ses pleurs, de ses remarques, de ses demandes, elle doit comprendre à qui elle appartient.

    Une fois son cul rouge, strié de coups, légèrement sanguinolant, je range le fouet, va chercher un plug volumineux, le lubrifie, l'enfonce d'un coup dans ce jeune cul à éduquer, puis jette devant Lynn un god slip en latex, le god étant parsemé de petits piquots.

    Je la redresse en la tirant par les cheveux, la regarde dans la glace : « Jusqu'à vendredi tu viens en pantalon, basket, pull et sg, je veux te voir en garçonne sans charme, tu porteras en permanence de ton levé à ton coucher le plug et le gode slipe, cela te permettra de méditer sur ta conduite, je veux ta punition vendredi à 16h sur mon bureau.

    je sors de la pièce, laissant au garçon le soin de vérifier ton départ.

    Lui


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  • Une signature personnelle

    Mise  à  jour

    Une fois chez moi, je me remémore tout ce qui c'est passé aujourd'hui, j'ai encore mal aux fesses, la peau sensible.. Je n'aurai pas du désobéir... Je pense avoir retenue la leçon..! Le soir arrivé, je m'allonge sur le ventre sur mon lit, prenant une feuille et un stylo pour le devoir que je dois faire... Je suis vêtue d'une chemise de nuit, sans dessous, après une bonne douche, je me sens bien !

    'Pourquoi une soumise obéit-elle et que ressent-elle en obéissant' bonne question ça... rroooh, des questions comme ça, que veut-il que j'y réponde?? je ne sais pas... Puis je commence à écrire, me basant sur plusieurs idées : "obéir.. je pense que toute personne à besoin d'une entité supérieure pour la guider, l'épauler, la soutenir, moi j'en ai besoin sexuellement.. tant qu'on ne s'en rend pas vraiment compte, on peut supposer que nous en avons pas besoin, une fois essayer, la découverte, la nouveauté, le plaisir m'envahit, puis être possédée, dirigée, utilisée, au fond j'aime ça, ça m'excite !" "le ressenti.. le plaisir et la soumission, être un objet, j'adore ça.. et ce que ça me fait.. supposons que je soit en nuisette sur mon lit, si je pense à ce que je pourrai subir en devant vous obéir, ceci me ferai mouiller... en imaginant tout cela, je pourrai me mettre à mouiller, je pourrai avoir envie de me mettre nue, commencer à me caresser, passer mes mains sur mes seins, descendre sur le ventre, puis arriver à mon sexe déjà trempé, et même ouvert... alors là je pourrais commencer à me caresser le clito, puis ensuite me doigter, passer deux doigts entre mes lèvres, les enfoncés en moi, puis 3doigts en pensant à un gros sexe qui me pénètre, et continuer jusqu'à jouir, tout en ce sentent possédée, obéissante...

    je jouis.....

    je m'arrête quelques minutes avec ma main entre mes cuisses. je retire mes doigts, ils sont tout mouillés, je passe deux doigts sur la feuille, comme une signature, ma mouille se dépose sur la feuille, j'écris : "voilà ce que ça me fait..." on peut voir deux traces, la feuille mouillée, un peu dure une fois séchée...

    Le lendemain matin en m'habillant, je repense au moment de tendresse offert pas mon professeur, ce qui me change beaucoup de ce qu'il m'a fait subir, mais je ne comprends pas trop pourquoi.. ceci influe sur mon habillement, je m'habille comme demandé, pas de soutien-gorge, pas de culotte, je met mon haut, puis je met ma jupe, mais cette fois-ci, une mini jupe bien courte, je mouille déjà à sentir le courant d'air sur mes lèvres et l'effet que cela produira sur le professeur.. puis je met des chaussures à talons, j'ai le dos bien cambré, les fesses rebondis, je n'ai pas intérêt à me baisser...

    J'arrive à 7h45 au lycée, je vais dans le couloir, et la ce satané garçon m'interpelle "eh Lynn, j'ai à t'parler ! tout d'suite, suis moi" "non, j'ai pas que ça à faire, laisse moi tranquille" "suis moi ou j'dis à tout l'monde que tu t'aies fait baiser dans les toilettes !" pensée : "sale con !" je le suis, il m'emmène dans un couloir vide.. "écoute, je viens d'avoir 17 ans et je n'ai jamais eu de p'tite amie et jamais de relation sexuelle.." "ouai et alors? patiente, je dois y aller" "non reste ici ! On à encore dix minutes, suce-moi !" "non dégage je veux pas !" "tu fait des trucs avec des autres et pas avec moi?? suce moi ou je dis à tout l'monde et à tes copines que t'es une salope !"

    je n'ai plus trop le choix, je suis prise au piège.. je me rapproche de lui, il baisse un peu son jogging, je le vois super excité, très pressé, je me met à genoux devant lui, j'extirpe sa bite de son slip, elle est pas très grande.. je ferme les yeux et j'avale sa bite, elle est douce... Je fais quelques allers retours, je fais glisser mes lèvres sur sa bite, sur son gland.. Je sens qu'il se crispe, se contracte, il pousse un petit râle légèrement aigu et met une main sur ma tête, il pousse ma tête, de ce fait j'aspire toute sa bite, je l'ai au fond de la gorge et je sens deux giclées ...

    Dans quoi me suis je mis, j'ai du sucer ce "garçon" que je connais depuis longtemps, je l'ai vu grandir dans le quartier.. Puis je l'ai fait jouir en 3min, et encore... ah la la les puceaux... Je me relève, il est tout rouge.. "m..mm...merci.." "pfff tu es content j'espère !"

    "oh c'est bon prend pas un air désagréable ! il était bon mon sperme hein dis moi !! et si tu dis un mot à quelqu'un je dirai à tes parents que t'es une salope !" "c'est bon je dirai rien..." " Puis t'es bien habillée, ça me fait bander ! T'es bonne comme une salope !" je rougis et ne répond rien..

    Je me dois de ne rien dire .. ! Il est bientôt 8h00, je me dirige vers ma salle...

    Petite Asiate


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