• Cette histoire s'arrete

    Mise à jour

    Cette histoire s'arrete, la versaillaise n'ayant plus envie de la poursuivre.


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  • Une soumise prend son service

    Mise àjour

    Nous te regardons avancer lentement dans la grande salle circulaire, lire le panneau, hésiter, puis faire le tour de la salle des yeux à la recherche de ton cintre. Nous attendons patiemment et sans inquiétude, une fois la tenture passée, peu de jeune fille n'ont pas commencé le jeux. Après, oui après beaucoup ont arrêté mais pas devant leur cintre.

    Tu avances lentement vers ton nom, tu entends la maitresse de maison :</br< « Le cintre est pour les vêtements, le coffre pour les chaussures, la poubelle pour ta culotte et ton soutien-gorge si tu en as. Nous te regardons te dévêtir face au mut, rangeant avec application tes effets. Puis tu entends le maitre de maison : « Mains dans le dos, va au milieu de la pièce, cuisses écartées.

    Je m'approche de toi, fais glisser mon doigt sur tes aisselles, tes cuisses, je te regarde : « Écarte tes fesses » Je tourne autour de toi, fais descendre mon doigt du haut de ta nuque à l'ouverture de tes fesses sur ta colonne vertébrale, arrête un instant mon doigt puis le glisse dans ta lune, titillant ton anneau serré. Satisfait de mon examen, je repasse devant toi, lisse ton jeune sexe, cherche ton bouton dans tes replis. On entend la voie un peu énervée de la femme : « Alors Bernard comment est elle ? » Je soupir devant son impatiente : « Oui elle est parfaite, vous savez toujours bien les choisir, elle est lisse comme un diamant et ne se crispe pas sous les caresses » « Alors passons à la suite, nos convives vont s'impatienter » Je pince ton clito : « A genoux »

    La femme va vers ton coffre en sort une laisse et un collier gravé à ton nom, les jette à tes pieds : « Mets ça, tu es à poil c'est indécent » Elle tape du pied pendant que tu te passes le collier, puis prend nerveusement ta laisse pour te tirer vers un petit salon vert. « Dépêchons nous ils vont arriver ».

    Je m'amuse de la voir te donner les consignes comme à une de ses domestiques : « Bon mettez vous là, tenez vous droite, soyez polie envers mes invités, ne renversez rien, et surtout ne cassez rien, ces verres en cristal de Venise viennent de mon arrière grand-mère. » Ah c'est versaillaise, quelle que soit la situation elles sont si soucieuse du maintien de leur maison, de leur réputation et ce même quand elles sont baisée à poil devant un groupe, le cul dilaté par une grosse bite. Elle se dirige vers un interphone : « Maria, nous sommes prêtes, prévenez nos intimes »

    Une porte s'ouvre quelques couples rentrent dans le salon, s'installent sur les fauteuils et divan, poursuivent leur conversation mondaine sans se préoccuper de toi. Maria te fonce dessus en maugréant : « Toi la nouvelle on va voir si tu es digne de prendre ma place » Elle sort un plateau relié à deux chainettes avec des pinces, elle pose les pinces sur tes tétons, le plateau est tenu en équilibre sur ton ventre par les chainettes et les pinces serrées sur tes tétons. Elle a pris garde de poser les pinces juste sur le bout des tétons pour que ceux-ci soient plus tirés, plus torturés. Elle prend dans un placard des échantillons d'apéritif, des verres à pied, pose l'ensemble sur le plateau et de dessous l'évier elle extrait des mules à talon, elle t'aide à les enfiler. « Bon c'est pas sorcier, tu vas servir les boissons aux invités de Madame, tu ne dis rien, tu souris, et quoiqu'il arrive tu es déférente. Tu as compris la nouvelle ? » Sans attendre la réponse, elle te pousse vers les sièges du salon.

    Lui


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  • je vois cette affiche, je suis tte tremblante mais en même temps je ressens une attirance irréversible à aller plus loin, ma chatte est en feu et ce n'est pas ma cyprine que va éteindre l'incendie, mes petits seins sont tt gonflés et me stétons me font mal... je ferme les yeux et je continue en direction de la salle...

    La versaillaise


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  • Notre hôtesse te regarde avec un moue dubitative « Ah oui c'est cela, remarque vous avez été invitée pour cela n'est ce pas ? ». Elle nous adresse un grand sourire « je suis sur que cette petite va vous satisfaire pleinement messieurs, d'ailleurs je mets un point d'honneur à ce que mes réceptions soient un succès ». Son mari lui adresse un sourire cajoleur : « mais vous y arrivez très chère, nos amis nous félicitent toujours de notre acceuil.

    J'opine mais regarde le couple des mes amies en suggérant et montrant te montrant du doigt : « Certes Mlle se dit être une salope, mais est ce suffisant ? » La maîtresse des lieux se redresse, te tapote le menton de son ongle : « Effectivement, vous êtes une salope, c'est une affaire entendue, mais cela ne suffit pas ici, il faut être bien élevée et obéissante, nous verrons si vous savez tenir le rang qui est le votre. »

    Mon ami sort une clé de sa poche et ouvre la porte située derrière toi, ironique il commente : « Voyez comme les choses sont bien faites jeune amie, vous êtes juste devant l'entrée » La femme te regarde, puis nous dit, sur un ton désabusé : « Les hommes ne remarquent donc t ils jamais ce qui est important pour nous les femmes, vous ne voyez pas que cette petite à l'abricot gonflé, si cela continue cette gourgandine va tacher notre parquet. » Elle te sert le menton dans ses doigts et te dits sèchement :  « Toi tu vas te retenir sinon tu te souviendras longtemps de ta premiére punition, tu as compris ? »

    Sans attendre ta réponse, je te prends les épaules te mets face à la porte, te pousse dans le couloir devant toi. sur le pas de la porte, Mme *** appelle alors la domestique qui sert les petits fours et boisson : « Maria, vous convierez nos amis habituels dans le salon vert dans une heure environ ». Un souffle sort de la bouche de Maria : « ah il y a donc une nouvelle ... » Mme *** la regarde irritée : « Et que cela vous fait il ? Vous ne pensiez pas rester le seul trou de cette maison tout de même » Maria baisse les yeux et murmure : « Non Mme, bien sur Mme » Mme **** poursuit : « Alors prenez soin de votre service et n'oubliez pas, dans une heure environ au salon vert » Cette fois-ci, rappelée à ses obligations, la domestique répond avec déférence : « Bien Mme, comme Mme le veut » Mme hausse les épaules : « Évidement comme je le veux »

    Peu intéressé par cet épisode de gestion domestique, je pose ma main sur ton cul, te fais avancer, tu te retrouves devant une tenture sur laquelle un panneau en bois est accroché, tu peux y lire : « Les soumises comme tout être humain sont libres, elles peuvent franchir ce rideau ou sortir par la porte discrète et sure à droite » Mon ami et moi même retenons notre souffle attendant ton choix, ce choix qui permet à la soumise de s'abandonner dans les suites des jeux. En te voyant hésiter, je me demande comment tu réagiras à la prochaine étape où dans une salle circulaire, tu verras des cintres accrochés au mur avec un coffre en bois dessus, chacun attribué à une femme dont le nom est gravé sur le coffre, tu remarqueras alors un cintre et un coffre portant ton nom et tu ne pourras manquer un panneau pendant du plafond sur lequel est écrit : « Les soumises sont priées de mettre proprement tout leurs habits sur leur cintres et de prendre garde à ne rien laisser traîner ».

    Lui


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  • Je me retrouve toute troublée avec ces adultes qui me questionnent, me titillent au figuré comme au propre, je sens ma vulve tte gonflée, mes tétons durcits qui pointent au travers de mon sg et de ma robe, et cette femme qui me provoque et moi qui réponds....sans réfléchir, prise dans ce tourbillon....euhh loppe madame...

    La versaillaise


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