• Ca devient plus serieux

    Mise à jour

    En voyant la réaction de ma femme, elle se tourne vers moi et comme : « ah vous ne lui ... » Sa phrase s'arrête, notre voisin de mettre lui ayant tapoter sur la cuisse, elle baisse la tête et dit, cette fois ci avec une voix claire : « Je m'excuse maître »</br Il sourit et répond : « Ce n'est rien petite soumise » Leurs yeux montrent clairement qu'ils sont amusés de cette situation, situation de deux novices un perdu.

    Je prends une grosse respiration, souffle et dit : « Bon ben autant y aller maintenant non ? » Je me lève, te regarde : « allez viens toi » On quitte la table, dans le mouvement, l'autre femme arrive à te glisser à l'oreille rapidement : « Il est super, très tendu mais super, tu verras les maitres se détendent quand ils ont plus d'expérience » Elle glousse, jette un œil pour vérifier que son maitre et moi sommes suffisamment en avant pour pas l'entendre et poursuit : « Je pourrais te passer mon mail comme ça on pourra échanger des confidences sur ta première séance plus tard, c'est bien ta première séance n'est ce pas ? » Tu n'a pas le temps de répondre, je t'appelle nous sommes à l'entrée d'un couloir.

    Il y a une porte sur notre gauche et à notre droite des sanitaires avec douches, je regarde notre petit groupe et va pour avancer quand notre voisin toussote légérement. « Oh non, pour une première fois il faut un peu d décorum, les jeux sm sont tellement fondés sur des rites, des protocoles, des cérémonies, tu as bien le bandeau ? » Je note rapidement le passage au tutoiement et bégaie presque : « Le bandeau, ..., ah oui le bandeau » Je sors de ma poche un morceau de tissu noir, tu reconnais le bandeau de corsaire d'un déguisement de nos enfants, je me place derrière toi, et très clairement hésitant je te bande les yeux. Tu entends alors notre ami dire : « Chère voisine, vous pouvez maintenant retirer votre bandeau mais si vous le gardez c'est que vous acceptez la suite et les règles que vous donnera votre mari »

    Nous y voilà, comme dans les mauvais films de série B, les romans de gare érotiques ou les nombreux blogs du net, nous vivons la scène du choix de la soumise, celle où elle doit dire que finalement elle accepte le jeux et a envie de s'en remettre à son « maitre ». Certes, le moment est connu, presque codifié comme l'a dit notre voisin, il n'est pas néanmoins sans tension, si tu disais non à vivre réellement ce que tu as écris tant de fois sur le net ? Comme tu ne bouges pas, notre voisin conclue : « Alexia accepte d'être la soumise de son mari » Vu son ton cérémonial, on s'attendrait presque à ce qu'il conclue : « Le maitre peut embrasser la soumise ».

    Je te prends par la main, plus fermement cette fois-ci, ouvre la porte de gauche et te fait marcher quelques mètres, tu m'entends ouvrir un casier puis lentement, même tendu, même dans ce lieu, même pour jouer à te domine, il ne m'est pas possible de te déshabiller autrement que lentement, prenant le temps de regarder, admirer ces formes que je voies tous les jours. Je me retiens de te caresser en le faisant : le jeux l'interdit. Tu entends des gens parler autour de nous, des bruits de pas, de mouvements, nous sommes dans les vestiaires du club. Je te passe une mini en vinyle, zyppée derrière puis un bustier noir et blanc, moulant largement tes seins, tu te retrouves à ton tour dans une tenue en montrant plus qu'elle ne cache. A moi même, je murmure : « Bon je ne me suis pas trop gouré dans les tailles » Puis je me penche pour passer à tes pieds des mules à talon, je n'ai pas voulu prendre le risque d'acheter des chaussures te faisant mal aux pieds toute la soirée. Je me redresse, te regarde, il est surprenant de voir pour la première fois, sa femme normalement si bien sur elle, mise par soi même dans une tenue de salope, dans un club sm.

    Je m'approche de toi, te murmure « tu es superbe et si accessible » Je glisse une main sous ta mini vynil pour te caresser et en glisse une dans l'échancrure du bustier pour pétrir tes seins. « Oui vraiment très accessible » Je penche ma tête et t'embrasse longuement, glissant ma langue dans ta bouche, cherchant ta langue, l'aspirant, léchant tes lèvres. J'écarte doucement ma bouche, murmure, mes lèvres effleurant les tiennes en bougeant : « Mme ma soumise est prête ?, c'est comme dans tes chattes ? » Sans te laisser le temps de répondre, je peste « ah j'allais oublier » Je prend un collier et une laisse dans le casier et tes les pose, m'excusant presque :</br « Sans cela tu ne ferais pas vraiment soumise »

    Je te reconduits dans le couloir, cette fois je te fais avancer un peu puis te tourne et te retire ton bandeau, tu es face à un miroir où tu peux t'admirer, cambrée par les talons, les fesses serrées par la mini en vynil noir brillant avec le zyp voyant dans le dos, le bustier découvrant le haut de ta poitrine et soulignant tes tétons moulés à travers le tissu. Dans la glace tu nous vois aussi tous les trois guettant ta réaction et le visage excité et amusé de la soumise du voisin.

    Celui-ci suggère : « Nous commençons la visite ? » J'hésite l'air ennuyé, et puis précise : « J'aimerais lui trouver un nom de soumise, et puis ça permettra de bien marquer les moments normaux de ceux du jeux » J'hésite de nouveau puis suggère : « Voisine Ouverte, pas mal, ca fait référence à cette soirée d'intronisation et puis Ouverte dis bien ce que ça veut dire, ça me rappelle les totems scouts, Voisine Ouverte cela sonne un peu comme loutre habile ou un truc comme ça ».

    Le voisin sourit en te regardant : « Alors tu es ouverte Voisine, bonne nouvelle » Il se tourne vers moi : « Tu permets » Il glisse un doigt dans ton intimité et te caress lentement, commente : « Ouverte je ne sais pas mais excitée surement elle est trempée Voisine Ouverte » Il sort son doigt le fait lécher à sa soumise puis essaye de te le glisser dans le cul. « Ah de ce côté là c'est pas encore vraiment ouvert » Je le regarde : « Ah ca peut etre mieux, je peux voir? » Je fais à mon tour sucer un doigt à sa soumise et essaye de le lui glisser dans son cul où il rentre tout seul. Je constate : « oui tu as raison ça peut être mieux, je travaillerai l'ouverture arriere de Voisine Ouverte, on y va ? »

    Je plaque ma main sur tes fesses et avance dans le club en te conduisant par le postérieur.


    votre commentaire
  • Mais où suis je ?

    Mise à jour

    Pas de réponse à ma dernière question. Il descends simplement de la voiture et m'ouvre de façon romantique. Je descends à mon tour, replace ma robe sur mes cuisses. Il me pousse gentiment vers une façade avec une vitrine teintée et une porte rouge. La porte s'ouvre toute seule à notre approche comme si nous étions attendus. A l'entrée, une réception en bois laqué avec une hôtesse tout sourire, je le vois s'y diriger et sortir son porte-feuille. Je me dis qu'il est étrange de devoir payer si le voisin nous a invité mais finalement cet aura de mystère entourant cette soirée m'amuse et pique ma curiosité.

    Mes yeux vagabondent et tombent sur l'affiche des prix à l'entrée : "Tu ne trouves pas curieux que les hommes seuls payent plus que les couples et que ce soit gratuit pour les femmes ? ". Ta réponse est presque brutale : je te regarde sans comprendre ce comportement mais la porte s'ouvre et je n'ai pas le temps de demander ce qui t'énerve.

    Je te suis et découvre l'endroit, un bar en bois au fond de la salle éclairé par des lumières bleues pâles et tamisées. Quelques personnes mais sans plus au bar. Au fond de la salle des couloirs en ambiance rouge cette fois. Cela ressemble plus à un club privé qu'à un bar et je n'ai pas beaucoup l'habitude de ce genre d'endroit. Je me tourne vers mon homme mais il se dirige déjà vers des fauteuils confortables et profonds. Haussant les épaules pour son manque de réponses, je m'assois à ses côtés. Il ne se passe pas longtemps avant que quelqu'un nous adresse la parole.

    C'est notre voisin que je connais peu mais mon mari le côtoie beaucoup ces deniers temps. Il n'est pas seul et si je connais peu le voisin, je connais très bien son épouse. Pour moi c'est un choc car je m'attendais à la voir ... elle. Je regarde la femme qui l'accompagne avec un peu trop insistante, cherchant à comprendre. Cet homme oserait sortir en soirée avec nous avec sa maîtresse ??? Il a vraiment du culot. Que devrais je dire à sa femme ? Me voilà dans une situation délicate.

    L'atmosphère me pèse je ne sais pas quoi dire. Je vois mon mari regarder partout. je détourne les yeux de la compagne de notre voisin oubliant un instant mes réflexions pour suivre son regard. Les serveuses sont peu vêtues leur tenue mettant en valeur leur féminité. Il s'agit visiblement d'un club privé ou d'un bar à hôtesse. Drôle d'endroit pour une soirée à moins que ... notre voisin n'ait des idées derrière la tête... C'est à ce moment que j'ai un hoquet de surprise en voyant la jeune femme se mettre à quattre patte et approcher son visage de l'écuelle. J'en reste bouche bée ... Je me doutais bien que c'est endroit respirait le libertinage mais de là à voir une femme s'humilier ainsi je suis choquée. Mes yeux fixés sur la femme je la vois écarter ses cuisses, sa minijupe largement remontée sur ses hanches à 4 pattes, elle exhibe ses lèvres intimes de façon à ne rien cacher. Ma respiration s'accélère je rougis jusqu'au oreilles et en même temps une douce chaleur envahit mon bassin. Cette position et cette exhibition me rappellent des photos mais il ne s'agit pas ici de photos ; cette femme s'exhibe réellement devant nous.

    Je ne peux m'empêcher de repenser à ces dialogues où ces hommes me soumettaient pour mon plaisir et je me vois un instant à la place de cette femme. Le souffle court, j'essaie de reprendre pied. Que faire ? pourquoi m'a t'il amené ici ? Serait-il à la recherche de nouvelles expériences ? Il est vrai que de ce point de vue, notre couple est des plus sage. Mais s'il me connait (enfin s'il connait ce que je veux lui montrer de moi) il devrait savoir que je n'aime pas ce genre de chose. Puis un déclic, les logs dont il m'a parlé ! Serait-il possible qu'il ai connaissance de mes échanges ? Je le regarde mais il me fuit il sait que j'ai vu. Il attend ma réaction .... et je ne sais pas quoi faire prise au piège entre la femme sage que je voudrais être et la femme de mes fantasmes.

    Le silence se fait lourd, de plomb. Je n'ai toujours rien dis comme si je n'avais pas vu cette scène et pourtant, tout le monde autours de la table l'a vue et tout le monde sait que je l'ai vue. Je cherche toujours le comportement à adopter en pleine panique.

    Le voisin semble un habitué des lieux. Il prend la parole (ce qui soulage tout le monde) pour nous faire un cour sur les clubs libertins que je n'écoute que vaguement. Je finis pas essayer de me convaincre que c'est lui qui nous a invité et qu'il affectionne ce genre d'endroit exotique. Il n 'y a peut-être rien de plus derrière tout cela et peut-être mon mari est-il tout aussi gêné que moi.

    Je regarde à nouveau mon mari qui boit les paroles de notre interlocuteur. A priori, il s'intéresse au libertinage du XIXème siècle.... J'aimerais pourtant que l'on aborde d'autres sujets plus communs. Ma réflexion est de nouveau interrompue par la première prise de parole de l'amante de notre voisin. Je ne distingue pas ce qu'ils se disent mais un mot me parvient un seul et quel mot ! Mes yeux s'écarquillent et aussitôt je sens entre mes lèvres intimes comme un aiguillon qui réveille mon entre-cuisse. Ce mot que tant d'hommes m'ont fait utiliser envers eux lors de ces chatt. Ce simple mot qui réussit à m'émoustiller qui signifie l'acceptation de l'appartenance... Elle l'a prononcé, notre voisin pratique la domination et cette femme inconnue lui obéit.

    Elle se tourne vers moi je ne la regarde plus du tout de la même manière. Cette femme représente mes fantasmes mais ce que je me refuse à être dans la vie réelle. Pourtant ses propos sont totalement anodins en apparence. Je bredouille montrant ainsi mon trouble à tout le monde et réponds "oui ... la première fois... L'endroit est vraiment très... très ... comment dire... surprenant" Je me sens ridicule les joues roses ne trouvant pas mes mots presque intimidée.


    6 commentaires
  • Il ne faut pas utiliser sa carte bleue n'importe où

    Mise  à  jour

    Je t'ouvre la porte de la voiture, t'aide à descendre et te pousse par le cul vers la porte d'entrée murmurant : « Il a beaucoup insisté pour que nous venions, tu sais comme il est le voisin » La porte s'ouvre m'évitant de donner plus de détails, je vais pour régler quand ma femme demande : « Tu ne trouves pas curieux que les hommes seuls payent plus que les couples et que ce soit gratuit pour les femmes ? » Je me retourne énervé, je viens de réaliser que j'ai payé avec ma carte bleue, payer avec ma carte bleue dans cet endroit que je ne connais pas et qui est pour moi l'enfer du vice. Je demande agacé : « Quoi ? » La porte du bar s'ouvre et nous pouvons entrer sans poursuivre une fois de plus ce début de conversation.

    L'ambiance est douce et tamisée, je soupire intérieurement, j'avais peur de rentrer directement dans une salle de « tortures ». J'avise un coin avec 4 fauteuils de libre, y conduits ma tendre et chère, je m'y affale ma compagne à coté de moi. Je regarde discrètement autour de nous. Une voix me sort de mon inspection : « Ah vous êtes là »

    Notre voisin s'assoie devant nous, une femme plantureuse prend place à coté de lui. J'ai beau faire un effort, elle ne ressemble pas du tout à ma voisine, et de toute façon il m'est impossible d'imaginer la femme de mon voisin dans la tenue de ma vis à vis dont les vêtements cherchent plus à montrer ses formes généreuses qu'à cacher quoique ce soit.

    Je reprends mon inspection alentours, vois une serveuse arrivée vers une autre table, décidément les femmes de cet endroit attache plus d'importance à montrer ce qu'elles ont comme avantage qu'à se couvrir décemment. Elle pose sur une table une bouteille de château Latour-Martillac, grand cru classé de Pessac-Léognan. La serveuse verse comme il se doit un peu de liquide dans un verre à Bordeaux, au moins ils savent vivre ici. J'écarquille les yeux, après l'assentiment de l'homme, l'employée du bar pose par terre une gamelle pour chien et une adorable jeune femme blonde aux cheveux somptueux se met à quatre pattes pour commencer à laper son vin. L'homme qui lit un journal en dégustant son vin, tapote la cuisse de la femme avec son pied, celle-ci se cambre, met ses mains dans le dos, écartent ses cuisses et reprend sa dégustation comme auparavant son minou et son intimité largement visible. Je ferme les yeux : « C'est pas possible, là elle va se lever, me foutre une baffe et partir »

    Je réouvre les yeux, rien ne se passe, rien ne s'est passé, il y a un léger flottement, je n'ose tourner la tête vers celle qui est tous les soirs dans mon lit et par le fait la mère de mes enfants. Je regarde mon voisin qui a un regard ironique, s'amuse-t-il ? que dire ? « Ah cette année, cher voisin votre pelouse est magnifique » ou « Vous avez vu ? La mairie a encore changé le ramassage des poubelles » ou pire « Votre épouse va bien ? »

    Mon voisin sentant ma gène commence : « Ici vous ne craignez rien, les gens fréquentant les clubs sont discrets par nature et par obligation, tous ont besoin de la discrétion de tous pour pouvoir jouer ici, ils sont très tolérants, sachant que tous ont débuté un jour terrorisé à l'idée de ce qu'ils faisaient, et ils sont très complaisant pour peu qu'on respecte les us et coutumes du lieu» Il respire et poursuit : « D'ailleurs il ne faut pas s'y tromper, les libertins du XVIII-XIXéme siècle n'étaient des licencieux, mais des personnes réfléchissant à d'autres formes de sociétés, d'autres formes de relation entre les personnes, ce n'étaient pas les amoureux de vices qu'agardé l'imaginaire collectif ».

    Je le regarde l'air le plus intelligent possible comme un élève écoutant son professeur, d'ailleurs n'est ce pas ce que je suis ? La voisine de notre voisin ouvre la bouche, se retient au dernier moment, se tourne vers notre ami tête baissée, il lui murmure quelque chose, elle répond un murmure : « Merci maitre » Ma femme l'a-telle entendu comme moi ?

    Puis elle se tourne vers ma réguliére avec un sourire désarmant et mondain : « C'est la première fois que vous venez ? Vous trouvez le lieu comment ? »


    votre commentaire
  • Elle voyage aussi

    Mise  à  jour

    Ma sueur froide rapidement passée, mon regard se perd sur le paysage sentant ta main câline, un peu trop peut-être....

    Mes pensées vagabondent, je me mets à penser à ces dialogues lorsque tu n'es pas là. Impossible que tu es la moindre idée de ma façon de prendre du plaisir depuis si longtemps sur des scenarii érotiques avec ces h inconnus qui aiment m'insulter m'humilier. Je ne dois pas penser à cela.....

    La main se fait plus pressante plus proche mes cuisses se crispent, que fait-il ? ce n'est pas l'endroit pour approcher de si près mon intimité...

    Que dirait-il s'il savait ? et moi que dirais je, ces dialogues sont parfois tellement crus, tellement obscènes. Peut-il simplement imaginer comment ces h me parlent ? Non je ne dois pas lui parler de ça c'est mon jardin secret, la partie la plus intime de mon âme. Et puis avant lui je l'ai caché à tellement de monde. Je me masturbe de cette manière depuis si longtemps, aussi loin que je me souvienne depuis que j'ai des besoins sexuels. Il est arrivé après, il ne peut pas interférer lorsqu'il n'est pas là

    Les phares d'une voiture en face me font sortir de ma réflexion intime, j'en viens à me demander où nous allons. Il ne m'a pas beaucoup parlé de cette soirée

    Un frisson remonte de mon pubis lorsque tes doigts effleure le tissu de mon string. Je repousse délicatement ta main gênée que tu me touches sans rien me dire même si ce n'est pas un refus catégorique. Enfin, tu me parles je me détends, le silence me pesait. "une remise de médaille ? pour un blog ?" à ce mot des images de blog traverse mon esprit malheureusement uniquement à caractère sexuel. Je le chasse rapidement... "oui bien sûr mais pourquoi sommes nous invités ?"


    votre commentaire
  • Le voyage

    Mise  à  jour

    Content de ma réplique ma main se fait caressante sur ta cuisse pendant que je conduis tranquillement vers le lieu de la soirée. Effectivement je n'ai rien trouvé de graves, quelques logs des enfants sans gravité et beaucoup de logs msn.

    Je te regarde à la dérobée à la lumière des réverbères songeant "elle aurait donc une activité de chatte soutenue avec des hommes différents, elle est assez discrète finalement sur ses désirs intimes puisqu'il m'a fallu scruté le disque dur pour connaitre son âme".

    Ma main remonte plus haut, arrivant à la douce peau interne des cuisses prés de l'aine, elle a un mouvement de recul mais je laisse mes doigts errer en effleurant cet endroit délicat.

    Au début, j'ai été choqué, non pas par le caractère sexuel des échanges mais par le fait d'être passé à coté de cela, de n'avoir pas vu qu'elle désirait autre chose dans son intimité et je n'avais pas su le voir ni lui donner ce plaisir la. Une question qui m'a beaucoup hantée était "mais finalement, le faire en cachette, avec un amant est peut être aussi la source de son plaisir, peut etre meme indispensable à son plaisir et les mêmes jeux avec moi qui est là tous les jours n'auront peut etre aucune saveurs". Et il n'y avait qu'une solution pour répondre a cette question.

    Les quelques semaines de réflexion ont abouti à cette situation : je suis dans ma voiture en smooking loué lui caressant l'antichambre du secret de ses cuisses en lui ayant demandé de se mettre en tenue de soirée.

    Mes doigts ont fait quelques passages furtif sur le tissu du string quand je me gare dans un parking disant "j'espere que ce ne sera pas trop ennuyeux, c'est une histoire de remise de médaille pour le meilleur blog d'un site de blog, il m'a juste dit de venir habillé et à fortement insisté". Je l'aide à descendre de notre voiture replacan ma main là où elle devrait etre plus souvent : sur les fesses de madame. Je la regarde avec l'air le plus innocent que je peux "et au fait tu sais ce que c'est un blog ?"


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique