• Mise à jour

    Cela me fait mal de le dire, mais Marjorie après avoir été éveillée aux jeux sm, choisit un autre maitre que moi. Elle préfère Jean l'homme qu'elle rencontre dans le cadre de son travail. Il a su trouver le bon mélange avec Marjorie, il la traite d'abord en petite fille puis en salope. Cela la rassure et lui permet de se dire que Jean n'est pas un méchant puisque ce qu'il veut c'est la traiter en petite fille. La psychologie d'une femme ayant honte, fortement honte de ses pulsions est parfois compliqué.

    Ce dialogue devrait être le dernier, elle dit clairement son désarrois, mais aussi la peur que je lui inspire et le fait que Jean même si il la traite en salope la rassure.

    Je regrette bien sur son choix, mais comme le dit l'émission, c'est le sien ! Je suis juste désolé que faisant ces jeux et en jouissant très fortement, elle se dénigre au lieu de prendre cela comme un épanouissement.

    Il ne reste qu'à lui souhaiter bon vent et bonne chance dans son choix, bonne chance pour le vivre et trouver l'équilibre avec sa vie de famille.


    Lui : bonsoir
    marj : j ai besoin mais j ai peur de vous
    Lui : oh a ce point
    Lui : ;)
    Lui : bon tu as lu mes messsages ?
    marj : oui
    Lui : bon
    Lui : tu as lu celui ou je parlais de la confiance?
    marj : oui et je ne vous ai jamais mis en doute sur ca
    Lui : ;)
    Lui : et tu sais depuis le debut je ne cherche pas a t'enfoncer
    Lui : personne ne pouvait vraiment te forcer a faire ce que tu fais avec jean
    Lui : mais tu as
    Lui : qq chose de tres particulier
    Lui : toi, tu ne joues pas
    Lui : ta "complexion", ton etre
    Lui : a envie, besoin d'etre humiliée et traitée en petite fille
    Lui : tu l'as decouvert avec moi
    Lui : et je n'ai fait que t'accompagner sur le chemin
    Lui : et maintenant tu as peur et tu es perdue?
    marj : ce qui m arrive est trop fort
    Lui : oui trop fort car tu le vis seule ... et je ne sais plus trop comment te guider, te maitriser
    Lui : ce que je sais par contre
    Lui : c'est que jean a trouvé une corde tres sensible chez toi
    Lui : et qu'il sait en jouer
    Lui : ce qui te met sans défense face a lui
    Lui : je me trompe ?
    marj : je ne pense pas jeans me traite en petite fille voous en salope
    Lui : ;) jean fait les deux n'est ce pas, au debut en petite fille puis en salope
    Lui : et c'est le melange des deux qui te fait fondre
    marj : c est vrai
    Lui : tu vois
    Lui : et ca ne peut pas s'arreter car lui a compris, veux plus de toi et l'obtiendra
    Lui : et toi tu en as envie meme si ca te terorise
    Lui : je me trompe ?
    marj : non
    Lui : tu vois ...
    Lui : apres je ne sais pas
    Lui : je pense que si je te guide , t'ordonne des choses j'ai assez de poids pour toi
    Lui : pour faire que ca change
    Lui : par exemple je peux te donner des ordres pour que tu "sois" calme avec jean
    Lui : et le repousse
    Lui : mais en meme temps, le veux tu?
    marj : la prochaine fois il m a dit qu in apprendrai a sucer a la petite fille que je suis , je sais plus ou je suis
    Lui : ;) tu vois, il te traite en salope comme moi
    Lui : et je suis convaincu que tu le feras
    Lui : sauf si ...
    marj : il me traite vraiment en fillette pas en salope , il aime ca
    Lui : les deux, tu as deja vu une fillette sucée ? une fillette branler un homme de son age ?
    Lui : mais dire qu'il te traite en fillette te permet a toi de penser qu'il ne te traite pas en salope
    Lui : non ?
    marj : je sais pas
    Lui : ;) moi je sais
    Lui : et maintenant petite marjorie, que veux tu ? car tu as un choix a faire
    Lui : soit tu acceptes jean, et qu'il devienne petit a petit l'homme qui va te faire vivre ta sexualité
    Lui : soit tu reviens vers moi et tu acceptes mes ordres qui au debut seront pour t'ecarter de jean
    Lui : soit tu demandes a ne plus le voir et tu ne touches plus jamais au pc
    Lui : ...
    Lui : mais je ne peux pas choisir pour toi
    Lui : moi tu sais que je te respecte, je respecte ta fille et je t'ai ouverte a ces jeux qui sont si importants pour to
    Lui : toi
    Lui : tu peux penser que jean veux une petite fille
    Lui : mais si tu le penses
    Lui : mardi en 8 tu le suceras (avec preservatif j'espere)
    Lui : et 15j plus tard il te baisera
    Lui : et 15j plus tard il t'enculera
    Lui : chacun de tes refus sera puni par une fessée et tu feras ce qu'il veut
    Lui : mais ce peut etre ce que tu veux
    Lui : moi je ne peux que te proposer de revenir vers moi, j'essaierai de remettre jean la ou il doit etre pour toi
    Lui : puis nous verrons si tu y arrives et la suite pour nous
    Lui : la suite que tu pourras choisir en arrétant tout
    Lui : je ne t'ai jamais retenue , tu te souviens?
    Lui : qd tu veux partir , je te laisse partir, j'attends juste la suite
    marj : j ai envie de continuer avec jean , je me sens a ma place
    Lui : ;) tu vois
    Lui : c'est bien que tu le dises
    Lui : c'est assez dur pour moi en fait
    Lui : mais c'est bien que tu le dises
    Lui : je ne penses pas etre plus dangereux que jean sourire
    Lui : mais c'est ton choix de "soumise" en quelques sortes
    Lui : n'est ce pas ?
    marj : oui
    Lui : ;)
    Lui : :$:'(
    Lui : mais en meme temps
    marj : ca me fait mal de le dire mais c est comme ca
    Lui : oui c'est tres clair en fait
    Lui : jean a trouver qq chose que je n'ai pas trouvé
    Lui : ton desir d'etre traitée en petite fille qui te rassure enormement meme si tu sais que ce n'est que pour te traiter en putain
    Lui : alors ?
    marj : je vous laisse bonne nuit
    Lui : oui attends
    Lui : je te souhaite beaucoup de plaisirs et bonne chance
    Lui : je suis ravi et touché de ce qu'on a vecu
    Lui : meme si je regrete cette fin
    Lui : je vais te retirer de mes contacts
    Lui : comme cela si tu me contactes c'est que c'est toi qui le veux
    marj : moi aussi je me sens degoutée de ce que je suis
    Lui : non
    Lui : il ne faut pas
    Lui : et c'est la ou j'espere que jean maitrisera la situation
    Lui : ne t'ai je toujours pas dit que tu etais uen femme superbe,
    Lui : une bonne epouse
    Lui : et uen bonne mere
    Lui : tu as juste des envies sexuelles differentes
    Lui : tu n'as pas a te degouter pour ca
    Lui : et si tu te degoutes, soit ca fait partie de ton plaisir
    Lui : soit tu dois arreter

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  • Mise à jour

    Le monde moderne et ses gadgets électriques offre pleins de possibilités aux petites cochonnes



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    Ca a l'air super cool la dites donc, j'aurais bien été à la place de la copine.



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  • Mise à jour

    Après l'avoir faite jouir et lui avoir donné rendez vous, il est un peu déconcerté et lui trouve un nom de soumise, mais coccinelle est ce un nom de soumise ?


    Je raccroche après lui avoir donné le rendez-vous, je regarde bêtement mon téléphone portable, j'ai pas rêvé, je lui ai donné rencart le lendemain à l'hôtel. Je repense à la femme que j'ai faite jouir sous une impulsion subite lors de la visite de ce salon.

    Je la revois, somptueuse, plantureuse, largement épanouie dans ses formes, elle a largement dépassé le stade de la femme Rubens. Et c'est cette femme est la avec qui j'ai rendez-vous demain soir. Mais elle ne va même pas passer dans la porte de l'hôtel !

    Je ferme les yeux un instant, nue, je lui ai demandé de venir nue sous son manteau, mais je suis un goujat mal léché. Une femme comme elle doit se vêtir de lainage, de vêtement ample, surement d'un petit manteau moulant en étant nue dessous qui plus est. Je suis vraiment trop con et je manque complétement de savoir vivre. Dans les jeux de soumissions, l'humiliation n'est pour moi qu'un moyen, elle est presque factice en tout les cas elle ne doit pas servir à être irrespectueux ou grossier. On peut injurier une femme amplement sans être malsain ou grossier et là je pense l'avoir été.

    Je marche pensivement dans la rue pensant à ce rendez-vous, elle ne viendra pas c'est sur, en tous les cas à sa place je ne viendrais pas. Si j'étais une femme je ne viendrais pas à une rencontre de soumission sans être sur que l'homme avec que je dois voir me respecte. Et là ... j'ai bien peur qu'elle ne puisse en être sur.

    Mais qu'importe, une fois les choses faites, il faut les assumer, ou du moins être suffisamment gentleman pour attendre une demi heure au lieu de l'entrevue et être sur qu'elle ne vienne pas. Puis après cette attente de rigueur, aller boire un bon alcool dans une brasserie de mon choix. Ce n'était pas très glorieux mais c'est tout ce que je pouvais faire. Comme a dit quelqu'un de connu, il faut boire la chatte jusqu'à la lie.

    Le lendemain je suis à ,20h devant l'hôtel des trois pervenches, commençant ma demi heure de rigueur. Au bout d'un quart d'heure je commence à passer mentalement en revue les brasseries que je connais quand je vois au bout de la rue une personne venant vers l'hôtel, oscillant, balançant un corps imposant sur ses jambes. Aurait-elle une sœur jumelle, ou la ville contiendrait elle un nombre important d'obèse peut-être. Je regarde plus attentivement, attend, avec le temps elle s'approche pour s'arrêter juste devant moi occupant tout mon espace visuel. Je ne peux pas faire comme si elle n''était pas là, ce n'est clairement pas une coccinelle.

    Un moment je peste, non mais c'est qui cette pétasse qui vient comme ça à une invitation grossière, elle est bête ou quoi, ou alors elle n'est jamais invitée, oui ca doit être cela. Je lève la tête pour lui dire de renter chez elle, que j'ai mieux à faire que de la baiser et que mon cognac attend quelque part sur un comptoir. Et puis en me regardant avec des yeux sérieux, je l'entendis me dire avec sa si douce voix :
    « Bonjour monsieur, je vous prie de m'excuser d'être en retard »

    Avec un naturel déconcertant, elle regarde vers le bas attendant ma réponse. Comme lors du salon, je reste interloqué, fasciné presque par son ton doux, poli, déférent, elle semble avoir naturellement une attitude d'adoubement, naturellement elle se place comme une personne attendant les décisions d'un plus puissant qu'elle. Il y a tant de façons d'être soumise, qui vont du simple jeu libertin à des tortures masochistes, en passant par une domination sèche sans aucune caresse ni rapport sexuel. Elle intrinsèquement, elle a fait le choix d'être sous la coupe d'un autre, sans rien demandé, sans rien exigé, attendant juste qu'il satisfasse ses désirs.

    Je regarde son visage avec ses yeux baissés attendant patiemment que j'indique la suite des opérations, son attitude ne dénote aucune nervosité, aucun agacement, elle attend juste que je décide. Peut-être trouverait elle normale d'attendre ainsi une heure si tel était mon bon vouloir. Mais comment avait-elle réalisé cela ? J'étais venu pour ne pas la voir, juste par principe et me voilà la regardant avec attention, tendresse, cherchant comment l'entendre à nouveau. Décidément c'était une charmante coccinelle pachydermique. Coccinelle serait-ce un bon nom de soumise ? Je réglérai cette question plus tard, nous n'allions pas resté plus longtemps sur le trottoir.

    Je lui tapota la joue :
    « Pour une première fois, ce n'est pas embêtant, suis moi »

    Je me retourna pour entrer dans l'hôtel, je savais qu'elle me suivrait. Normalement, je prends la chambre avant pour ne pas avoir à effectuer les formalités de « check in » mon amie poireautant debout dans l'accueil. Les femmes mariées surtout ne supportent pas ce moment. Mais là, convaincu qu'elle ne viendrait pas, je n'avais rien préparé et je du passer au bureau de l'hôtel. L'employé effectua la procédure d'entrée en ne quittant pas des yeux ma coccinelle, plus il la regardait plus son sourire s'agrandissait. Je me retins de lui foutre mon poing sur la gueule : « et celui la tu l'as vu aussi ? » Mais un maitre n'est il pas d'abord maitre de lui ?

    Possédant enfin la clé de qui sera dans une minute notre espace intime, je me tourne vers elle, lui montre l'escalier :
    « Passe devant »

    Derrière elle, la regardant monter, je me surprends à regarder son somptueux postérieur, à guetter ses oscillations, à être à l'affut de l'apparition des ces mollets sous son manteau. Ah oui le manteau, elle doit être nue dessous, c'était un ordre, son premier. Je devais être vraiment troublé pour ne pas avoir pensé plutôt à vérifier son obéissance.

    Enfin nous arrivâmes devant la porte, retrouvant enfin mes réflexes, je claquais des doigts :
    « c'est ici pour toi »

    J'ouvris la porte :
    « Entre »

    Je la suivis et sans la regarder :
    « dos au mur, ouvre ton manteau »

    Et enfin je vis.


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  • Mise à jour

    Alors là, notre splendide et superbe Aline m'époustoufle, serait-ce abracadrabrantesque ? N'est-elle pas merveilleuse comme cela sur ce lit ? Et qui faut il envier ? La jeune fille avec elle ou le photographe ?

    En tous les cas si Aline sait aussi bien faire la cuisine, la couture, le ménage et recevoir qu'elle ne baise, heureux l'homme qui arrivera à la conserver. Il ne faut pas dire heureux l'homme qui la mettra dans son lit, car en ce qui concerne Aline il doit être plus difficile de la conserver que de la mettre dans son lit.



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