• Mise à jour

    Voila le début d'une histoire, peut-être évoluera-t-elle et deviendra-t-elle un thème à part entière, nous verrons

    Cette histoire explore un thème peu traité, une relation sm avec une soumise hors norme, une femme que la société regarde comme une invalide, une femme de poids hors norme. Mais que compte-t-il à part les vices et désirs ?


    Je flânais dans les allées du salon, passant de stand en stand, regardant les étalages, les invitations à toutes sortes de soirées, toutes s'annonçant la plus lubrique du moment. Je contemplais ces hôtesses qui avaient au moins toutes trois points en commun : elles étaient superbes sexuellement parlant, elles avaient toutes des poitrines à faire douter de leur naturel et toutes semblaient ne pas savoir lire les étiquettes des vêtements. Leurs maillots étaient définitivement trop petit, à faire penser que ces charmantes femmes étaient toutes atteintes d'une myopie aiguë.

    L'étalage des myriades de sexe toys auraient pâlir d'envie n'importe quel dépôt de sexe shop, mais de ce point de vue là, j'étais un peu blasé. Il y avait certes quelques gadgets un peu moins classiques comme ce fauteuil avec un god vibrant, permettant d'attacher madame sur un gode et de la regarder jouir à loisir en sirotant un cocktail, ou bien des bijoux intimes réellement beau comme ces bagues à tétons dorées, ciselées. Suivant le dessin, il fallait tirer le téton dans une petite pompe, puis pincer le téton à la base pour poser la bague, je ne savais pas si le port était douloureux mais le résultat beau et esthètique maintenant le téton dressé comme dans une perpétuelle excitation. La notice précisait que certaines femmes pouvaient porter ces bagues au clitoris (sic). Mais mis à part ces quelques originalités, le reste était très classique, je m'étais déjà fait cette remarque après avoir visité plus d'une dizaine de sexe shops à la recherche d'un plug peu commun. J'avais été déçu : les boutiques avaient toutes le même modèle, la mondialisation uniformisante aurait elle déjà fait son œuvre dans l'érotisme ?

    Un élément nouveau était par contre la foule présente à ce salon de l'érotisme, certes qu'il y eu un salon de l'érotisme était en soi une chose nouvelle, mais un tel salon n'était plus un événement. Il y avait là une foule, et une foule diverse, aussi bien des couples dans les 25-30a cherchant des piments à leurs jeux, des couples plus âgés cherchant de la nouveauté dans ce qui était peut être pour eux devenu une monotonie. Je pouvaient voir des femmes presque mures regardant avec des sourires gourmands les hommes « exposés » sur les estrades. Ces femmes qui avait vu passé des changement radicaux dans la façon de vivre sa sexualité profitaient avec jouissance des mœurs plus ouverts que ceux de leur jeunesse où la masturbation était un péché. Cette pensé me fit sourire, qu'elle bêtise que de condamner un quelconque jeux sexuel, même si dans les jeux de domination, le sentiment de honte est un moteur puissant d'excitation, et pour qu'il y ait de la honte, il faut qu'il y ait des interdits moraux. Si tout est normal il ne peut y avoir de honte dans une pratique quelle qu'elle soit.

    Il y avait aussi de jeunes personnes, filles ou garçons regardant avec gène et malice ce qui leur semblait le comble de la coquinerie ou du vice, elles se repéraient facilement à leur gloussement et ils se repéraient facilement à leur air faussement désabusé. Décidément les filles et les garçons ne changeaient pas tant que cela. Les jupes étaient plus courtes, et le libertinage plus libre, mais il y avait encore des fondamentaux.

    Je me poursuivait ma promenade de badaud, en réfléchissant que dans la locution « relations sm », les deux mots étaient aussi important, ce qui rend les jeux excitants, jouissifs, c'est qu'ils sont certes sm mais qu'ils ont lieu dans une relation. C'est le lien entre le maitre et la soumise qui décuple la jouissance. Ce qui est excitant pour une femme c'est de se conduire en salope soumise conduite par une homme, et se conduire en salope toute seule en allant en club ou devant son pc apporte beaucoup moins de plaisir.

    C'est à cet instant de mes réflexions que je la vis, certes on voyait de tout à ce salon mais là elle était hors norme. Elle avait comment dire un volume hors norme, mais vraiment hors norme. D'ailleurs les visiteurs passaient à coté d'elle en le regardant ironiquement. Pourtant, elle examinait avec attention et connaissance les jeux sexuels qu'elle touchait, parcourait avec un brun de nostalgie les tenues érotiques étalées sous ces yeux et surtout elle parlait avec assurance mais grande déférence aux hommes auxquels elle demandait des renseignements sur leur matériel, celui en plastique sur les stand ...

    Je passais près d'elle, et sa façon de dire « Merci monsieur », tout en douceur, politesse et en baissant presque les yeux me subjugua. Cette femme nue à genoux, exposant ses mamelles plus que généreuse disant le même « Merci monsieur » redresserait surement le plus coupé des eunuques. Le salon reprenait de son intérêt par cette rencontre de poids, il me restait une décision à prendre, comment l'aborder ? Par un classique « je vous offre un verre ? » suivi un peu plus tard par un « je vous raccompagne ? », ca semblait incongru dans un salon de l'érotisme, le lieu permettait-il un « je veux vous baiser maintenant, suivez mois », non trop rapide et rien ne disait encore qu'elle aimait les ordres, son merci n'était qu'un indice.

    Je la vit reposer un god fist avec déception après avoir vu l'étiquette, l'occasion se tentait, j'achetais rapidement l'objet, ne cherchait pas à le faire emballer, mais demandait un sac plastique, le mis dedans et rattrapa ma désormais déesse callypige. J'arrivais près d'elle et osait un « Madame le gode que vous désirez est dedans », cette presque référence était incongru par le lieu et par la personne à qui je le disais qui avait tout sauf le physique gracile du petit prince, mais qu'importe l'important devenait sa réponse et non plus ce que j'avais dit.

    Elle me regarda avec étonnement, regarda autour d'elle, non cela n'avait pas l'air d'un gag ou d'une caméra cachée, elle ouvrit le sac et vit le gode long en forme de main qu'elle n'avait pas pu acheter. Un ensemble de possibles s'ouvrait à elle et j'attendais lequel elle allait choisir. Je la vis rosir et j'entendis, cette fois-ci, à ma destination, son charmant « merci monsieur ». Je la regardais avec attention attendant une suite logique, mais elle se tut. Dans ce jeu qu'est une rencontre de séduction, la balle me revenait, restait à savoir quoi en faire.

    Le plus simple est justement de faire le plus simple, je lui pris donc le poignet, jetait juste un « suis moi » et je marchais rapidement à la recherche d'un petit coin, du petit coin en fait. J'arrivais enfin au coin des besoins pressant, le mien en était un justement, au vu des couples h/f, h/h ou f/f sortant des toilettes, la « dame pipi » du lieu exerçait une certaine tolérance sur l'usage des locaux, salon de l'érotisme oblige. Je jetais un coup d'œil à l'intérieur, et regardais ma compagne, ca ne rentrerait pas, du moins pas à deux. Un couple de jeunes femmes fluette sortirent toutes souriantes d'une cabine, oui les lieux étaient faits pour ce calibre de goélettes mais pas pour le somptueux paquebot dont je tenais le poignet. Elle du comprendre mon dilemme, tourna la tête vers une estrade sur laquelle une danseuse faisait une exhibition de plus, nous étions derrière cette estrade surélevée, et nous pouvions en écartant les protections plastiques nous glisser dessous. L'avantage de la proposition était la place sous l'estrade qui ne manquerait pas et le bruit de la musique qui couvrirait tous les nôtres, et comme les toilettes étaient devenus le lieu normal des ébats, aller sous l'estrade avait un côté déviant, et donc plaisant.

    Je la tirais vers l'estrade, ecartait un pan de tissus, et avançait rapidement, nous nous trouvâmes dans une forte pénombre, le martellement des talons de la danseuse sur l'estrade jouant des castagnettes dans nos oreilles. Nous étions dans l'enchevêtrement classiques des barres métalliques d'un échafaudage, les possibilités de position se simplifiaient : je lui mis la main sur le coup, la poussait contre une barre verticale, elle écarta presque naturellement les cuisses je ne n'eus qu'à remonter sa robe pour sentir sa chair sous ma main. Avec n'importe qu'elle autre, ce geste aurait suffit à me faire sentir des lèvres, un sexe, un vagin, mais avec elle il me fallut insérer ma main, fouiller, faire ramper mes doigts dans un mouvement d'approche; presque un préliminaire pour qu'une humidité m'annonce la proximité de l'endroit recherché et qu'enfin mes doigts effleure la chaire délicate, humide, molle des lèvres s'ouvrant. Sous ma main son cou battait et aucun mot ne sortait de sa bouche, il fallait donc continuer : je sortis le gode du sac, puis de l'emballage, murmurais « écarte bien les cuisses ma », je ne terminais pas ma phrase hésitant encore à la traiter en soumise de pleins droits. Murmurer était idiot d'ailleurs, le trépignement au dessus de nos têtes me permettait de crier à pleins poumons.

    Je la sentis descendre un peu sur ses genoux, les écartant largement, la question de son assentiment ou de son désir ne se posait plus, je rendais accessible son antre et mis la main tendue du gode fist contre ses lèvres. Exécutant des mouvements de rotation j'introduis lentement l'engin dans son trou entendant les bruits de succion caractéristiques des femelles excitées. Une fois l'appareil introduit, il ne restait plus qu'à le pousser, fort, profond pour la remplir complètement, pour satisfaire son désir de dilatation. La facilité de cette étape m'indiqua que la donzelle n'était pas à son coup d'essai et que le fist était probablement une pratique délicieuse pour elle.

    Sans parler, que dire lorsque aucun mot n'a été dit au préalable et que dire lorsque tout l'espace sonore est emplit par une sorte de crépitement de mitrailleuse, j'actionnais le gode, prenant soin de le pousser profondément, le sortant presque complétement pour l'enfoncer à nouveau le plus possible. La respiration de l'inconnue, la sensation de sa sueur glissant le long de son cou m'appris que mes mouvements prenaient effet, j'accélérais alors le rythme me calant par réflexe sur le rythme de la musique au dessus de nos têtes. La sueur fut bientôt accompagnée de gémissement, de petit cris, je pouvais dire sans préjuger de rien « aller laisse toi aller, crie pour jouir, fais moi ce plaisir », la danse au dessus de nos têtes étaient maintenant accompagnée par la danse du bassin et par les cris de la femme jouissant devant moi. Le dessous de l'estrade fut petit à petit envahie d'une odeur de mouille et de chaleur, et le cou de la dame se détendit sous ma paume : elle avait jouit.

    Je voulu jouer le jeux jusqu'au bout, la laissait avec le gode en elle, sortit un feutre de ma poche, écrivit dans le noire mon numéro de téléphone sur un biceps et dit juste « maintenant tu as ma marque jusqu'à ce que tu l'effaces, si tu veux jouer encore à ce genre de jeux et réaliser ce que je te dirais, téléphone moi avant demain 23h ».

    Pour conclure, car il faut bien conclure je l'embrassais longuement, prenant le temps de sentir sa bouche bouger sous la mienne, j'imprimais mon baiser jusqu'à ce que je sente le moment où ses lèvres bougeaient au rythme des miennes, où sa langue n'avait plus comme mouvement que celui imposé par la mienne : elle avait accepté mon emprise.


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  • Mise à jour

    Est ce la plus salope ou la plus sexy ?

    Je ne sais pas mais elle semble bien savoir jouer avec un ballon !

    Quoiqu'il en soit, en Otarie ou en salope, dans une piscine, un lac ou un sauna, Aline est toujours aussi splendide !



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  • Mise à jour

    Marj a osé son premier acte vraiment réel, elle a visité un homme et à fait ce qui lui avait été ordonné, moment troublant du premier acte d'obéissance réelle.


    Compte rendu
    De : marjorie
    Envoyé : mardi. 10/11/09 22:53
    À : Lui


    Bonsoire maitre

    je suis bien une salope , j ai fait ce que vous avez demandé , je suis rentrée chez lui et j ai soulevée ma jupe et je l ai coincée a la cinture, j ai ouvert mon chemisier , il m a regardée avec des yeux rond , il s est assis dans son fauteuil , ma regardé , je n osais pas bougeais , il m a fait signe d approcher mes jambe tremblaient , il m a dit qu il m attendait depuis 2 semaine mais qu il n en esperait pas tant.

    il m a pris par la main tirré vers lui pour que je m assois sur ses genoux, il a commencée à caresser ma poitrine puis ma chatte , je l ai sentis bander sous mes fesses, je lui ai tout de suite dit que j acceptais les caresses mais pas plus qu autrement je partais , il m a répondu comme tu veut déjà t avoir comme ca je n y pensais pas.

    Maitre il m a fouillée comme ca collée a lui mes jambes essartées , il parlais tout le temps des mot doux , Monsieur j ai jouie, il a jouie aussi sous mes fesses j ai sentis que c étais humide.

    comme il s en contentais c est moi qui lui ai demandée encore, il m a fait me lever en m appelant petite , petite mais une chaise devant nous , pose tes main dessus , je lui tournée le dos , il m a fait écarter mes jambes, m a masser le clito , je tenais plus je me tortillée , l entendre m appeler petite et me faire prendre comme une pute je savais plus ou j étais et j ai jouie violament d un coups

    je suis bien restée comme ca plusieur minutes , il me regardait et me parlait comme a une enfant , jusqu au moment ou il a dit tu en veut encore salope , j ai sursautée il n avait pas dit un mot grossier jusque la, j ai dit oui c est sortie tout seul.

    il m a fait mettre debout jambe écartée et m a prise avec 2 doigts , c est parole aller de la tendresse a l insulte je me sentais a la fois jeune fille abusée et salope heureuse , je ressentais de la honte et de la fiertée et surtout pour la premiere fois je suis une salope cette pensée m a fait jouir

    apres il est redevenu doux s excusant presque de ses paroles , je lui ai dit que je ne lui en voulais pas , j ai rajustée ma tenue , il m a attrapée par la main et ma dit merci , j ai été profondément troublée.

    je suis ressortie completement deboussolée mais heureuse

    marjorie votre salope mariée


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  • Mise à jour

    Est il possible de mieux exprimer que marj, l'envie qu'une femme a de sentir salope, d'être une salope, d'être une petite fille obéissante ?

    Son mail fait suite à un long dialogue msn où pour une fois je ne l'avais pas faite jouir comme une salope.


    long dialogue sans jouissance‏
    De : marjorie
    Envoyé : sam. 07/11/09 05:56
    À : Lui


    bonjour maitre

    c est vrai que parler estt res important pour moi , quand je vous parle je suis ce que j ai toujours rêvée d être, et avec vous je peut tout dire car je me sens comme une enfant à l école devant vous, quand vous parlez d éducation c est ce que je ressens avec vous , je me suis trop sentie salope dans mes phantasme , mais vous m avez éduquée, et j ai appris a vivre en salope

    Pour ce qui ai arrivée avec le vieux monsieu,r je me rend compte que ca devais arriver , ma tenue et mon état devant les homme , ma position de dépendance et d infériorité que j accepte , j ai même eut de la chance que ce ne soit pas arrivé plus tôt.

    Quand j ai senti ca main sur moi ca a été une libération, j ai tout de suite acceptée sans lutter comme une salope, et je dois dire que je le désirais au fond de moi.

    mardi je ferai ce que vous m avez demandé , d'ailleurs je n ai pas le choix , je dois retourner chez lui et je ne pense pas , maintenant qu'il m a faite jouir qu'il se contentera de ma présence que dans le cadre de mon travail, ce que vous m avez demandez ne fera qu accélérer les choses et montrer mon consentement et mon état de salope.

    A vrai dire j attend mardi avec impatiente.

    marjorie votre salope mariée


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  • Mise à jour

    Voilà comment notre gentille marjorie s'offre à un homme de rencontre : parce qu'elle est en manque et qu'elle n'en peux plus d'avoir envie d'être une salope.

    Ce qu'exprime marjorie dans ce texte est touchant, elle n'est pas soumise par jeux ou par plaisir mais parce qu'elle sent profondément son besoin d'être humiliée, rabaissée, dominée, elle se sent profondément soumise et salope. Nous sommes là dans une autre dimension que celle des femmes voulant jouir sur des jeux libertins, non, marjorie vient me parler sur le net, obéit et se conduit en salope car c'est ce qu'elle est, cela correspond à son état intérieur.

    Et elle le fait d'autant mieux, d'autant plus qu'elle se sait respecter, respecter dans ce qu'elle est, dans ses envies et son plaisir.

    Et donc n'en tenant plus d'envie, étant en chaleur comme une femelle, elle a jouit avec un homme qu'elle rencontre dans son travail, elle a tenu à l'avouer et à accepter la punition que cela entraine forcément. Punition dont l'objectif n'est pas de la faire souffrir mais bien de l'accompagner sur le chemin qui est le sien.

     


    marj : bonsoir
    Lui : ca va ?
    marj : oui ca va et vous
    Lui : oui surtout quand tu es là
    Lui : tu restes un peu ou tu ne fais que passer ?
    marj : je peut rester il y a foot
    Lui : sourire
    Lui : et quand il y a du foot tu mouilles ?
    marj : j en ai honte mais c est vraie
    Lui : sourire
    Lui : mort de rire plutot
    Lui : tu es une vraie chienne de pavlov qui salive quand elle voit la gamelle arriver ;)
    marj : vous vous moquez mais si je reconnais que les soir de foot c estun peu ca
    Lui : ;) oui je me moque
    Lui : c'est trop non ? une femme qui mouille par reflexe
    Lui : je ne pensais que ca pouvait exister, tu dois etre vraiment tres salope pour ca ;) ou tres en manque ;)
    marj : oui mais ca se controle pas
    marj : en manque plutot
    Lui : oui j'ai vu, tu as voulu jouer toute seule mais cela a été moins bon?
    marj : oui mais j en avais besoin
    Lui : je sais, tu étais en manque comme une droguée du vice ;)
    Lui : mais je comprends que cela a été moins bien
    Lui : ce qui est "fort" dans nos jeux c'est la relation et l'obeissance
    Lui : toute seule ces deux composantes te manquent
    Lui : n'est ce pas ?
    marj : oui c est vraie j ai ce besoin de me sentir rabaissée et salope
    Lui : hummm et en conclues tu quelque chose d'autre ?
    marj : que je suis dependante
    Lui : oui :P
    marj : j arrive alutter qu un certain temps
    marj : apres je ressens le besoin de venir
    Lui : oui et tu reviens la chatte trempée, soumise, vaincue, humblement en soumise?
    marj : oui il regarde la télé et j ai qu une envie etre une salope
    Lui : hummm tu n'en déduis rien de plus ma salope à moi ?
    marj : si j ai encore besoin de vous
    Lui : ;) et rien de plus ma salope a moi?
    marj : d etre soumise de me faire baisser
    Lui : ;) bon et vis à vis de tes réticences pour une rencontre réelle ?
    marj : je les ai toujour si on en arrive a ca je pourrai plus m eloigner de vous je le sais
    Lui : humm tres tres bien petite salope pavlovienne
    Lui : et tu as prevu tes accessoires ?
    marj : non il est dans le salon c est dangeureux mais je suis en nuisette et robe de chambre ,
    marj : je pense a venir depuis que je suis rentrée du travail
    Lui : oh ;) tu as tres envie alors
    Lui : tu as mouillée sous ta robe sans culotte alors ?
    marj : oui j etais mouillée avant de me changer
    Lui : ;) tu es toujours sans culotte ?
    marj : oui soit pour mes regle autrement je me sens si libre sans
    Lui : ;) hummm dommage que tu ne veuilles pas continuer, tu es prete pour avoir d'autres regles de vie ;)
    Lui : et tu te fais toujours humiliée ou toucher par les hommes que tu rencontres dans le cadre de ton travail ?
    marj : j ai eut un rapport au travaille , la personne agée si gentille qui me faisait des compliment
    Lui : tu veux dire que tu t'es faite baisée par une des personnes que tu visites ?
    marj : baisée n est pas le mot j ai jouie sur ses doigts
    Lui : ;) sourire ben voyons tu veux dire que tu as ete chez lui, t'a levé ta juppe et il t'a branlé comme une putain en chaleur ?
    marj : je peut pas dire le contraire c est ca
    Lui : sourire et c'est un monsieur gentil et agé ? ca veut dire quoi agé ?
    marj : 68ans
    marj : dependant
    marj : il me faisait des compliment depuis que je m habille comme une pute
    marj : je vous en avais parlée
    Lui : oui ;) et tu m'avais parlé d'un homme t'ayant insultée
    Lui : ce ne sont pas les meme personnes ?
    marj : non lui est plus jeune et mariée
    marj : l autre est veuf
    Lui : ;) il a quel age ,
    Lui : ?
    marj : 47 ou 48 un profiteur du systeme
    marj : capable de travailler
    marj : mais qui fait le malade
    Lui : non je parle du veuf ?
    marj : 68
    Lui : ;)
    Lui : il bande encore ,
    Lui : ?
    marj : oui mais il m a pas prise
    Lui : comment tu sais cela ?
    marj : juste ses doigts
    marj : je suis pas aveugle
    Lui : ;) bien
    Lui : tu es une vraie salope
    Lui : tu jouis avec moi comme une femelle mais tu n'oses pas une rencontre
    Lui : et tu offres ta chatte de femelle en manque à un homme gentil
    Lui : tu es vraiment une salope
    marj : j etais en manque depuis longtemps et je crois qu il la vue
    Lui : oui tu dois arriver chez lui n'ayant envie que de cela, les seins gonflés, la chatte humide, sentant la femelle en manque, je me trompe ?
    marj : je suis comme ca depuis 2 semaine mais c est le seul qui l a vue
    Lui : ;) sourire ca lui donne du merité
    Lui : il t'a faite jouir plusieurs fois ma chienne marjorie ?
    marj : arreté j ai honte de moi
    marj : 2 fois
    Lui : non tu dois tout me dire, compris petite salope ?
    marj : oui
    Lui : bien alors je continue
    Lui : deux fois lors de la meme visite ou des visites differentes?
    marj : la meme c estla semaine passé
    Lui : eh ben ma jolie salope, tu devais etre en manque, il t'a faite jouir deux fois de suite ? il n'a caressé que ta chatte et ton clito ?
    marj : les deux
    marj : les fesse et les seins
    Lui : ;) donc il t'a plottée comme une putain gratuite en manque en bandant et tu as jouis tres fort
    Lui : c'est bien cela ?
    marj : oui
    Lui : et tu n'oses pas le reel avec moi alors que tu te fais branler par un autre homme et que tu vas recommencer a le faire bien sur, tu n'as pas honte ma salope ?
    marj : lui j ai rien a craindre , il as profitée mais il m a dit merci je pourrai refuser
    Lui : sourire
    marj : vous si jecommence can arrettera plus je le sais
    Lui : et tu n'as pas repondu a ma question "tu n'as pas honte ?"
    marj : biensur que j ai honte mais je pouvais plus tenir
    Lui : parfait
    Lui : tu as jouir fort avec lui ?
    marj : oui surtout la deuxieme fois
    Lui : ;) il l'a surement vu, tu t'es sentie tres salope en faisant cela ?
    marj : je me suis sentie femme salope ce faisant baiser comme une pute ,je me suis sentie moi
    Lui : ;) et tu as pensé à quoi en jouissant avec cet homme?
    marj : que pour la premiere fois j etais la salope que je reve d etre en plus un vieux qui a apprecié et ma parlée tout le temps
    Lui : humm tu es vraiment une salope parce que tu te conduis en pute gratuite et parce que tu as peur du reel avec moi
    Lui : tu mérites une punition
    Lui : tu es prete à l'assumer ?
    marj : oui
    Lui : bien
    Lui : tu retournes le voir quand ?
    marj : mardi
    Lui : bien alors tu vas te conduire en plus salope que la derniere fois comme je vais te l'indiquer ok ?
    marj : vous le voulez vraiment
    Lui : oui , pourquoi cette question ?
    Lui : ?
    marj : pour rien maitre
    marj : j ai eut peur de vous avouer ce que j ai fait
    Lui : oui tu as raison, tu te conduis en salope en chaleur en te refusant a moi
    Lui : mais tu vas te conduire petit a petit en putain gratuite avec cet homme
    Lui : cela t'eduque aussi
    Lui : alors prete a lire ton ordre pour mardi ?
    marj : oui maitre
    Lui : bien petite salope marjorie
    Lui : alors des que tu auras passé sa porte tu releveras ta juppe
    Lui : et tu la bloquera dans la ceinture de la juppe
    Lui : puis tu ouvriras largement ton chemisier
    Lui : et tu iras vers lui
    Lui : tu dois jouir 3 fois avec lui
    marj : maitre je le ferai , je vous remercie cet homme n est pas dangeureux
    Lui : ;) et mardi soir je veux un compte rendu
    Lui : tu as compris ?
    marj : oui
    Lui : qd je dis que tu jouis trois fois, c'est trois fois avec ces doigts et rien de plus
    Lui : pas sa bouche ni son sexe
    Lui : tu as compris ?
    marj : oui maitre
    Lui : bien
    Lui : et nous verrons apres
    Lui : mais si nous reprenons nos jeux tu devras me rencontrer ou j'arréterais tout contact
    Lui : nous en reparlerons
    marj : maitreje vous ai toujour tout dit
    Lui : oui
    Lui : c'est ton état de soumise salope qui le demande
    marj : c est vraie que ca me manque
    Lui : obeis, envoi ton compte rendu et nous en reparlerons
    Lui : compris la chienne ?
    marj : oui maitre
    Lui : bien
    Lui : et maintenant je suis sur que tu es trempée, je me trompe ?
    marj : je le suis
    Lui : et les lecteurs du blog vont aimer lire ce que tu es devenue, une salope soumise, dependante au sexe et à son humiliation
    Lui : ils vont aimer ta confession et ta punition je suis sur
    marj : maitre si je peut ne pas etre sur le blog , c est dur de s y voir surtout maintenant apres que j ai été baisée
    Lui : oui mais je veux que tu assumes jusqu'au bout d'etre ma soumise eduquée et conduite par moi
    Lui : veux tu continuer à etre cela ?
    marj : oui
    Lui : alors tu dois obeir et accepter d'etre sur le blog, vas tu obeir et accepter ?
    marj : oui
    Lui : oui qui ?
    marj : oui maitre
    Lui : bien alors repete ce que tu dois faire mardi chez l'homme retraité
    marj : je dois soulever ma jupe et la retenir avec la ceinture ouvrir mon chamisier et jouir 3 fois
    Lui : oui jouir 3 fois par quel moyen ?
    marj : sur ses doigts
    Lui : bien et apres ?
    marj : je dois vous faire un rapport
    Lui : bien
    Lui : quand je 3 fois, c'est 3 fois seulement compris ?
    marj : oui maitre
    Lui : tu trouveras surement tous les pretextes pour cela, je te fais confiance
    Lui : bien
    Lui : tu repars bien ma chienne dépendante
    Lui : ca doit sentir la mouille dans ta piece la non ?
    marj : je sens pas mais surement je me sens mouillée au fesses
    Lui : ;) oui tu te caresses là ?
    marj : oui
    Lui : :@ tu le fais sans avoir demandé l'autorisation ?
    marj : je pouvais pas me retenir
    Lui : ce n'est pas la reponse à ma question, tu le fais sans avoir demandé l'autorisation ?
    marj : oui
    marj : je suis venue j etais deja a la limite
    Lui : tu dois etre reprise ma salope
    Lui : tu as joui depuis qu'on parle ?
    marj : non je me caresse doucement
    Lui : bien excuse d'avoir commencé à te branler sans autorisation
    marj : maitre votre salope mariée marjorie s excuse de se braler sans autorisation
    Lui : bien , tu as encore de beau reste ma chienne
    Lui : alors tu coules de ta chatte à ton cul ?
    marj : oui
    Lui : bien te rappelles tu que tu ne peux jouir comme tu veux quand tu es avec moi ?
    marj : oui et c est pour ca que je me caresse doucement
    Lui : bien , tu dois avoir les doigts trempés alors, prete pour verifier si ton cul est devenu glissant par la mouille ?
    marj : oui maitre
    Lui : bien alors met un doigt à l'entree de ton cul et pousse le dans ton cul d'enculée
    Lui : aller
    Lui : obeis petite chienne salope qui jouit avec n'importe qui
    marj : le foot est fini
    Lui : oh deja ?
    Lui : il va falloir que tu quittes alors ?
    Lui : je t'envoie un mail

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