• Mise à jour

    Cela fait longtemps que je n'ai pas mis à jour le blog, mais cette petite cochonne asiatique m'en a donné envie. Il faut dire, c'est une si charmante salope sweet et sucrée. C'est aussi la co-auteur de « Petite Asiate », elle a donc une place particulière sur ce blog.

    Ce dialogue fait suite à un long échange de mails sur un site de rencontre, l'excitation venant nous sommes passés sur msn. A ce moment là, elle est prés de son frère, en nuisette sans culotte, son pied replié sous elle.


    ptite asiat : il est sur le canapé
    Lui : oh humm tiens tu viens la;)
    Lui : il te voit lui ?
    ptite asiat : oui de 3/4
    Lui : et tu as mis ton pied "sous" toi ?
    ptite asiat : oui monsieur
    Lui : humm :P
    Lui : alors tu es trempée, en chaleur et visible si qq te te regarde ?
    ptite asiat : oui ... ! j'ai honte !
    Lui : humm et moi tu m'exites au moins autant que tu l'es ;)
    Lui : c'est ton odeur de femelle qui va les attirer
    Lui : bouge ton talon lentement pour te carsesser
    ptite asiat : oui ça sent la mouille petit à petit..
    Lui : humm alors frotte bien ta chatte
    Lui : pousse un peu le talon dedans
    Lui : :P:P:P:P:P
    ptite asiat : je la frotte (et je ne suis pas si souple pour me rentrer le pied! mdr)
    Lui : ;)
    Lui : humm tu es prete a jouir ?
    ptite asiat : à jouir ? non pas encore
    ptite asiat : j'en suis assez loin.. !
    ptite asiat : (je suis plus vaginale que clitoridienne)
    Lui : oh ;) gourmande
    ptite asiat : oui j'aime la bite.. :P
    Lui : ah tu mets la barre un peu haut quoique, tu as pas un tube de colle ou de rouge a levre que tu pourrais farie entrer completement ?
    ptite asiat : y a des stylo sur le bureau, un assez lisse..
    Lui : humm assez petit pour entrer completement ?
    ptite asiat : je sais pas
    ptite asiat : je vais essayer..
    Lui : hum oui
    Lui : vas y
    Lui : fais le
    ptite asiat : je le frotte déjà a ma chatte
    ptite asiat : à l'entrée entre les lèvres pour le mouiller
    Lui : oh tout ca devant tout le monde ?
    Lui : ils ne font que te matter ?
    Lui : :P
    ptite asiat : mes parents sont partis
    ptite asiat : lui regarde la télé, louche un peu sur moi (je suis dans la pénombre, mais ça se devine je pense...)
    Lui : humm comme tu dois degouliner
    Lui : alors le stylo est entré ?
    ptite asiat : là
    ptite asiat : le début
    ptite asiat : ça rentre facilement (pas très gros)
    Lui : humm pousse le a fond
    Lui : qu'il disparaisse le plus possible
    ptite asiat : mmmh oui je l'enfonce
    Lui : humm il ne te reste plus qu'a oser mettre des ecouteurs sur ton pc
    ptite asiat : la il reste 5cm
    Lui : humm ca fait bcp
    Lui : on voit bien qu'il depasse ;) tu ne peux pas le rentrer plus ?
    ptite asiat : (il doit en faire 15 par là)
    ptite asiat : si
    ptite asiat : je le rentre encore
    Lui : oh une bite fait au moins 17cm et elle rentre facle dans ta chatte
    Lui : alors rentre le bien
    ptite asiat : il est bien enfoncé là
    ptite asiat : il reste un bout dehors pour que je puisse le récuper
    ptite asiat : récuperer
    ptite asiat : (faudrait pas qu'il se perdre dedans mdr)
    Lui : humm ;)
    Lui : alors maintenant si tu bouges ton talon le stylo bouge dans ta chatte ?
    ptite asiat : (et vous, vous vous branlez ??)
    ptite asiat : oui mais légèrment
    Lui : humm oui ;)
    Lui : oh il t'en faut plus encore ?
    ptite asiat : oui, enfin, plus gros.. !
    Lui : oh ;) et il y a plus gros sur le bureau ?
    Lui : remue doucement ton pied tout de meme
    Lui : ;)
    ptite asiat : y a pas plus gros..
    Lui : oh tu vas etre decue ;)
    Lui : cela dit tu peux mettre une main a cote de ton talon ?
    ptite asiat : j'ai déjà une main près du talon, stimulant plus vivement le stylo..
    Lui : oh ;) tu vois je n'ai pas besoin de te dire comment etre une salope
    Lui : tu le sais toute seule
    Lui : humm
    Lui : pousse le bien
    Lui : et sort le autant que tu peux
    Lui : ;)
    Lui : fait donc un peu de bruit
    ptite asiat : déjà qu'il se doute de quelque chose..
    ptite asiat : je fais de grand aller et venu
    Lui : ;) oui il est ravi
    Lui : tu devrais lui dire "tu sais frero si tu as envie tu peux regarder et te caresser, ca me ferait meme plaisir"
    Lui : humm
    Lui : oui pousse le a fond pour toucher ton col
    ptite asiat : mmmh être si salope.. !
    Lui : ;) oui et grace a moi ;)
    ptite asiat : oh ouii
    Lui : tu vois je sais ce que tu aimes et ce qu'il te faut ;)
    Lui : ecrase un peu ton col avec le stylo
    ptite asiat : je le fait
    Lui : humm bien fais le bouger en cercle
    Lui : la tu peux le faire asez vite en plus ;)
    Lui : comme si tu remuais ton café
    Lui : :P
    Lui : c'est moi qui aimerait lapper le jus qui sort de ta chatte
    ptite asiat : je tournais déjà en cercle ! et oui je mouille pas mal..
    ptite asiat : il y en a dailleurs sur le siège..
    Lui : hummm tu vas jouir ?
    Lui : :P
    ptite asiat : toujours pas..!
    Lui : oh il te faut des hommes endurant
    Lui : ;)
    ptite asiat : comme mon chéri ;)
    Lui : je vois ;)
    Lui : bien et tu peux le bouger plus vite ?
    ptite asiat : pas vraiment
    ptite asiat : il faut plus gros :(
    Lui : oh tu vas etre frustree la chienne
    ptite asiat : oui :S
    ptite asiat : je calme, il insiste du regard par là..
    ptite asiat : (mdr il fait semblant de pas regarder mais regarde qand même)
    Lui : ;)
    Lui : et vas donc te branler au wc et revient
    Lui : tu laisses la porte ouverte
    ptite asiat : c'est une idée, je ne sais pas
    Lui : moi si
    Lui : obeis
    Lui : aller
    Lui : et laisse la porte ouverte avec la lumiere
    Lui : aller
    Lui : obeis
    ptite asiat : excitez moi encore un peu
    Lui : tsss qui decide la chienne ?
    Lui : ??
    Lui : ;)
    ptite asiat : mais d ici la bas l'envie sera estompée.. ! aidez moi s'il vous plait !
    Lui : sourire
    Lui : vraiment ma petite cochonne
    Lui : alors retire le stylo
    Lui : et succote le en faisant du bruit
    Lui : ;)
    ptite asiat : mmmh oui
    ptite asiat : mon gout de mouille
    Lui : humm oui et enfonce un doigt maintenant
    Lui : completement
    Lui : il sait maintenant
    Lui : et il va voir
    Lui : ;)
    ptite asiat : jm'en empeche mais j'ai envie de m'enfoncer un doigt..!
    Lui : a qui dois tu obeir la cochonne d'asie ?
    Lui : alors a qui ?
    ptite asiat : mmh oui Maitre à vous
    Lui : tres bien
    Lui : alors enfonce toi un doigt
    Lui : :P
    ptite asiat : mmh ui !
    Lui : humm il y est ?
    ptite asiat : oui
    ptite asiat : j' ecrus du gAUche g pas l habitude
    Lui : humm alors tu peux te caresser mainenant ?
    ptite asiat : j'ai la main droite devant ma chztte, un doigt dedas
    ptite asiat : dedans
    Lui : humm alors repose ton pied par terre
    Lui : ecarte tes cuisses
    Lui : cambre toi
    Lui : et branle toi sans retenue
    Lui : aller
    Lui : vas y
    Lui : obeis ma chienne
    ptite asiat : mmmmmmmmmmh ouiiiiii
    ptite asiat : il me regarde
    Lui : oui aller
    Lui : jouis devant lui
    Lui : conduit toi comme une soeur putain s'entrainant au tapin
    Lui : aller
    Lui : la prochaine il envite son pote arabe
    ptite asiat : jmenfonce deuxx doigt
    Lui : humm
    Lui : ouii
    Lui : aller defonce toi ma chienne
    ptite asiat : mmmh ouiii
    Lui : aller jouir maintenant
    Lui : en le regardant
    ptite asiat : jpeux pas encore
    Lui : ecarte tes cuisses pour qu'il voit
    ptite asiat : il me regarde et se caresse un peu .. !ù
    Lui : oh ;)
    ptite asiat : j'ai les cuisses un peu écartées il voit
    Lui : ecarte les bcp
    Lui : qu'il puisse contempler a son aise
    ptite asiat : mmmh oui encore
    Lui : bien sur la chienne
    Lui : aller jouis (je vais bientot couper)
    ptite asiat : il a sorti sa bite.!!!!!!!!!!!!
    Lui : humm sourie lui
    Lui : cambre toi
    Lui : ouvre ta nuisette
    Lui : pour qu'il voit tes seins
    ptite asiat : mmmh
    ptite asiat : j hesite a lui montrer mes seins
    Lui : obeis chienne
    Lui : pourquoi discutes tu ?
    Lui : aller
    ptite asiat : je l'ai enlever
    ptite asiat : je suis nue, les cuisses écartées et je me masturbe devant mon frere !
    Lui : humm alors fais le vite et jouis ma truie
    Lui : humm
    ptite asiat : mmmmmmmmh queeeeeeeee c bonnnnnnnn
    Lui : oh la
    Lui : il a joui aussi ?
    ptite asiat : la !
    Lui : oh la
    Lui : ;)
    Lui : bon je dois couper
    Lui : dommage
    Lui : je te laisse gerer
    Lui : a tresbientot
    Lui : ;a+

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  • Mise à jour

    Voici un texte envoyé il y a quelques temps par un lecteur du blog.


    Je me demande bien pourquoi Walt Disney a laissé le scénario de cet épisode inédit du Justicier de la nuit dans ses cartons, qui eut instruit de manière égayée le public familial... J’espère que vous apprécierez le sens de l’initiative de l’héroïne, véritable femme sujet et non fille objet.

    Le postillon fulminait à l'adresse des pierres éparpillées le long des mauvais chemins de Californie ; l'un de ces rocs venait de briser net une roue du coche. Les souples à-coups de l'éventail de Dona Isabella de Gobapina, l'unique passagère, luttaient contre la moiteur de cette nuit d'août 1807. Les cliquetis de sabots ferrés précédèrent trois cavaliers empoussiérés surgissant des ténèbres. Le cocher salua la providentielle irruption :
    - Messieurs, vous êtes nos sauveurs ! Pouvez-vous aller quérir d'urgence le maître charron, juste après cette colline ?

    Sans un mot les quidams immobilisèrent leurs montures à quelques mètres de la calèche, mirent pied à terre. L'épaisseur presque palpable d'un lourd silence s'installa. D'un ton peu assuré le roulier se risqua à amadouer les sourires carnassiers.

    - Mes seigneurs, je me permets d'insister : nous avons plusieurs heures de retard et les lanciers Los Angeles peuvent à tout moment s'inquiéter du sort des missives que je transporte.

    Un grand échalas, sec comme un coup de trique, glissa sa dextre vers la fonte de sa selle, extirpa une lourde pétoire qu'il amorça sous le museau de son interlocuteur.

    - Aie donc l'obligeance de nous remettre ta recette ainsi que le coffret du courrier dont tu as la charge. Quant à Mademoiselle, il conviendrait qu'elle se délestât de ses ressources sonnantes et trébuchantes…

    Dona Isabella se raidit mais les rapières des deux autres acolytes dissuadaient toute tentative de rébellion. Conservant une noble dignité elle tendit sa bourse. Brusquement, le cocher porta la main vers sa ceinture ; un coup de crosse brutal le frappa au visage ; désarticulé sous le choc il s'affaissa sur l'herbe desséchée du bas côté.
    - Vos bijoux, belle dame…

    Les malandrins convergeaient vers la jeune femme. Maladroitement elle délaissa ses bagues, fit glisser le bracelet d'or, dégrafa le collier orné de joyaux délicatement ouvragés. La voix à la douceur affectée de l'homme au pistolet s'éleva à nouveau.
    - Le carence de voyageurs nuit au bénéfice escompté. Nous allons donc être contraints de nous payer en nature...

    Le canon glacé de l'arme frôla le sillon parcourant la naissance des seins qu'une respiration oppressée animait. D'un geste vif la main gauche du truand agrippa le haut de la robe, l'étoffe déchirée exposa aux rais de la pleine lune la blancheur d'une poitrine ronde et ferme où trônaient de larges aréoles. La terreur paralysait toute tentative de réaction, des gouttelettes de sueur perlaient le long de ses appâts. Les beaux yeux noisettes se fermèrent.

    Elle n'eut pas le temps de se demander s'il convenait de balancer entre résistance opiniâtre et soumission passive car une mâle clameur tonna :
    - Laissez cette demoiselle où il vous en cuira, foi de Braquos, le Justicier qui dégaine plus vite que son ombre !!

    La sécheresse d'un claquement fit tressauter les globes parfaits que venait d'exhiber le bourreau, désormais à genoux. Une lanière de cuir serpentant autour de son avant-bras, il se releva, empoigna sabre et navaja dissimulée dans sa botte. Une balle fracassa l'épaule d'un acolyte qui s'essayait à récupérer le fusil fixé à la selle de sa monture. Un homme coiffé d'un foulard de pirate percé au niveau des yeux faisait face aux deux bretteurs encore debout, une cape repliée sur la saignée de son bras droit, pistolet fumant glissé dans une élégante bande de tissu nouée sur le flanc gauche ceignant un costume de fine soie noire. Un fleuret jaillit de son gantelet de cuir.

    Ses deux adversaires se fendirent en postures qui connotaient les soudards défroqués. Le brigand le plus proche fut en un tournemain enveloppé de la cape. Son crâne résonna d'un violent heurt de la coupelle cuivrée qui gardait la poignée de l'épée : projeté sur le dos il se mua en paisible descente de lit. L'homme à la navaja fut plus coriace, alternant feintes vicieuses et assauts directs des deux armes. La prestance de gaucher de son adversaire esquivait tout en souplesse chaque coup porté en une parade digne d'un danseur de cour. La fine lame cingla le bras qui portait le coutelas.

    Semi-désarmé le lascar recula pour se donner le temps de récupérer une assiette stable et assurer sa garde. Son jeu d'escrimeur se fit de plus en plus défensif, il soufflait comme un boeuf. Acculé contre un rocher, un moulinet projeta son glaive selon une gracieuse parabole. La rapière du vainqueur s'enfonça légèrement sous la pomme d'Adam, descendit vers la ceinture qu'elle trancha net. Le pantalon chut jusqu'aux chevilles.
    - Tu mériterais mille fois que je débite l'instrument du sordide délit que tu allais commettre à l'encontre d'une sublime incarnation de la beauté…

    Braquos porta deux doigts à ses lèvres, émit un sifflement modulé. Un splendide hispano-arabe à la robe noire s'approcha d'un pas hiératique, semblant glisser sur le sol. Son propriétaire se saisit de la corde enroulée au pommeau, la découpa avec le couteau subtilisé, saucissonna les truands à un arbre au tronc noueux puis vérifia que le malheureux cocher n'était qu'assommé.

    Dona Isabella occulta son buste tant bien que mal, non sans scruter son sauveur : grand, mince, aux attaches fines, une discrète moustache ornant l'ourlet sensuel de la lèvre supérieure.
    - Je vois enfin de près le célèbre Braquos dont les frasques font pâmer la gent féminine de toute la contrée. Je vous remercie infiniment de votre miraculeuse intervention. Je suis l'invité de Don Alexandro de la Viagra : il saura vous récompenser.
    – Avoir tiré de ce mauvais pas une aussi charmante voyageuse suffit à mon bonheur. Mais je vous chaperonnerai avec grand plaisir à l'hacienda de vos amis. Les lanciers vont surgir sous peu et ils comptent bien m'héberger dans la même geôle que ces goujats. Si vous préférez notre compagnie à l'escorte de la soldatesque montez en croupe sur Erecto, mon fidèle destrier…

    Le séant de notre héros rallia la selle, son bras délié à la fermeté d'airain souleva la jouvencelle pour la caser sur ses arrières. La jeune fille posa les mains sur les hanches du cavalier. Le doux balancement du trot de la monture était propice aux frôlements de la pointe des seins le long des dorsaux qu'elle percevait à travers la chemise. Les paumes de la belle bifurquèrent sur les cuisses lorsque le cheval fit un écart pour éviter un crotale. Petit à petit l'homme sentit qu'un index effronté prenait possession de son entrejambe, folâtrait doucement sur le pantalon des clochettes au sommet, de la cime à la base ; les globes somptueux s'écrasèrent contre son dos ; un souffle chaud à l'irrégularité chaotique taquinait sa nuque. Un discret mouvement de poignet tendit le licou, le pas du docile équidé se figea. Les doigts experts furetèrent au contact direct du vit, exploraient la colonne charnelle, cajolaient la boule sommitale, titillaient la fente entrouverte.
    - Mmm ! Il semble que les dignes représentantes de l'aristocratie féminine soient d'une courtoisie des plus exquises…
    - … qui ne demande qu'à s'exprimer lorsqu'elle trouve un terrain favorable. Surtout quand certains… comment dire… arguments sont bien au-delà des canons usuels, dignes de combler les reliefs de la géographie vénusienne. Si Dona Isabella ne se prend pas, elle consent à se donner à toi…

    Braquos virevolta adroitement pour se placer face à l'adorable dévergondée. Ses longues mains délestèrent de la robe et du panty le corps de liane qui s'offrait, plièrent avec soin les effets et les déposèrent sur le col de l'étalon. Il contempla longuement le visage aux pommettes saillantes, le nez retroussé, l'amande des yeux soulignée par des cils interminables, le pourpre d'une bouche gourmande frémissante de désir. La tension des mamelons agrémentait les courbes prometteuses de la gorge, une taille d'hyménoptère surplombait le galbe des hanches prolongé par la fermeté de deux cuisses veloutées sans le moindre défaut, qu'elle écarta encor pour arborer une chair rosée de coquillage sertie par l'écrin troublant d'une toison d'ébène. Le cavalier se dressa sur les étriers pour déployer les amples proportions de sa grand vergue. Tel le fourreau gainant un sabre, l'amazone coulissa de sa moite intimité sur le membre dressé, pouce par pouce.
    - Santa Maria !! Mon jardin d'Eden a quelques difficultés à prendre possession de ce sceptre charnel. Ouiii ! Quel cierge herculéen, laisse-moi en faire suinter la cire Ô Don Braquos !

    Leurs lèvres se scellèrent fougueusement, les mains gantées parcoururent ses épaules, sa croupe charnue, lui ceinturèrent le râble. Maître de ses sens l'homme laissa de Gobapina mener l'impétueuse cavalcade à sa guise, ralentir, accélérer, jouer des reins pour s'empaler jusqu'à la garde puis arpenter le dense obélisque. En contrepoint de leurs halètements de félins en rut, le chapelet plaintif des jappements des coyotes s'égrenait au loin. Une félicité d'hystérique fit arquer la femme lorsque les flots de sève jaillirent en vigoureuses saccades, ses mollets se crispèrent aux flancs de l'amant travesti. Le cheval, blasé (était-il dressé à servir de terrain de divertissements érotiques ?) n'avait pas bronché une seule seconde… Isabella réintégra une tenue décente, recouvrit son buste encore palpitant de l'éventail ; attributs rengainés, Braquos se replaça face à l'encolure du pur-sang qu'un coup de talon lança au galop.

    Le domaine des de la Viagra était à deux jets de sabots. Le maître des lieux accueillit sa protégée à bras ouverts, saluant le justicier qui fit cabrer son étalon avant de se fondre dans la nuit. Une heure plus tard Don Diego, hors d'haleine, rejoignit la confortable demeure.
    - Fou d'inquiétude, j'ai galopé ventre à terre à votre recherche. J'ai croisé les lanciers : vous auriez échappé à un sort plus que funeste… Je vous rends votre pécule et les parures que ces braves soldats m'ont remis, ainsi que votre malle de voyage.
    - Le providentiel Braquos m'a sauvée et… heu… prise sur sa monture. Je ne l'en dédommagerai jamais assez !
    - Allez vous remettre de ces émotions, Dona Isabella. Nous tenterons de vous faire oublier cette pénible épreuve.

    Une servante indienne conduisit la demoiselle à ses appartements et lui prépara un bain parfumé à la fleur d'oranger. Alanguie par la tiédeur de l'eau, la tension de son corps moulu s'apaisait lorsqu'elle entendit se refermer la porte de la chambre voisine. Elle se sécha, choisit méticuleusement une paire de mules et son négligé le plus vaporeux, reconstitua les torsades du chignon, agrafa une lourde paire de boucles d'oreilles, maquilla discrètement son visage. Isabella toqua contre l'huis.
    - Je souhaiterais vous remercier de votre sollicitude.
    - Entrez, mais tout le mérite en revient à Don Braquos.
    - C'est précisément à son propos que je désirerais m'entretenir avec vous…

    Don Diego était en robe de chambre, assis devant un secrétaire ciselé de marqueteries en bois précieux. Il reposa la plume d'oie dans l'encrier et joignit les doigts.
    - Je suis tout ouïe, parlez-moi donc de notre héros du cru. S'il n'avait pas préservé de la flétrissure la jeune fille qui m'est si chère je serais en droit de jalouser ses exploits nocturnes.
    - Je n'en suis pas certaine car je suis en train de me demander si vous n'auriez pas quelques particularités en commun dont je tiens à m'assurer…
    - J'ai tendance à être infidèle à Morphée, m'adonner aux devinettes me fera passer le temps.

    La signorina s'approcha d'une démarche ondulante à quelques centimètres de son hôte.
    - J'ai remarqué que vous êtes tous deux gauchers.
    - Tare certes partagée par une minorité mais qui doit être l'apanage de quelques centaines de californiens.
    - Yeux clairs et coupe identique de moustache de gentilhomme…
    - Le choix se rétrécit, mais les rejetons de patriciens suivent comme un troupeau la mode capillaire…
    - Hanches étroites de danseur, fesses musclées, épaules découplées, finesse des poignets, taille d'environ six pieds.
    - Vous feriez un redoutable procureur, si cet état était ouvert à la gent féminine. Mais je pourrai vous citer une dizaine de nobliaux de la contrée dignes de ce portrait.
    - Et le parfumeur serait une fréquentation commune ?
    - Je vous l'ai déjà dit, nous autres, modestes seigneurs, avons les mêmes mœurs.
    - Sourire et voix ironiques étrangement jumelles. Or je doute fort que l'austère Don Alexandro ait un fils caché.
    - Qui sait ? Mais, quitte à vous lasser, je vous répète que les jeunes nobles sont coulés au moule.
    - Vous êtes prêt à souiller la réputation de votre géniteur pour vous protéger de vous-même… Alors, vous ne me laissez guère le choix : certaines caractéristiques anatomiques ne sauraient échapper à la perspicacité féminine.

    Dans un rire perlé l'effrontée posa les doigts près de l'aine de son interlocuteur, écarta les pans du vêtement, délivra une turgescence hors norme, se laissa couler entre ses cuisses.
    - Mon tout beau, l'orée de la soirée m'a donné l'occasion de jauger le sosie de ce splendide bougeoir !!
    - Si j'ose m'exprimer ainsi, je suis démasqué… et ne vois qu'un moyen de couper court à votre conversation inquisitoriale. Néanmoins, soyez rassurée : votre bouche lascive ne sera pas livrée à l'oisiveté !
    - Mon charmant confesseur, jésuite accompli, ne m'autorise point à deviser lorsque mon palais enveloppe un quelconque objet à savourer !!

    La main assurée de Don Diego subtilisa la chemise de nuit éthérée, pesa sur la nuque de la belle intruse. La pulpe charnue des lèvres sillonna la tige, laissa la place à une langue goulue dont les vibratos remontèrent jusqu'au prépuce, décachetèrent l'écarlate de l'apogée. De licencieuses caresses massaient tout en finesse les grelots congestionnés de désir. Un regard de catin énamourée soulignait les inflexions de chacune des subtiles gâteries de babines véloces picorant le chibre.

    Les voluptueuses inhalations interprétèrent une sarabande perverse où tour à tour la hampe était engloutie puis découverte. L'évidente accoutumance à cette pratique libertine fit se consacrer l'aristocratique hétaïre au pinacle lorsque celui-ci trépida : l'une après l'autre les éclaboussures du nectar de Mars irriguèrent le gosier hospitalier - mais restèrent toutefois captives de ce vorace étui buccal.

    Le jeune homme empoigna le buste plantureux pour y étancher le suc résiduel à même l'épieu. Yeux mi-clos la friponne effleurait l'objet de sa concupiscence de ses tétons hardiment dardés. Sa senestre se livrait à un manège des plus licencieux au bénéfice de la béance ténébreuse du delta dévoilée par l'écart de jambes de biche.
    - Ma belle, ayez l'obligeance de rester accroupie mais en me tournant le dos. Nul n'ignore que votre côté pile est l'égal de votre façade aguichante et - je le confesse - comblerait mon tempérament cavalier, car nous autres gentlemen-farmers avons quelques rustres traditions…

    Ses phalanges cramponnèrent la croupe, en firent diverger les sphères dont la ligne médiane hébergea de tendres allers et retours intensifiant la raideur préalable aux effusions sodomites. La chute des reins de la fougueuse pouliche se cambra pour recevoir les hommages prédits. Un cri étranglé agréa la progressive ingérence de la verge dans l'étroit vestibule.

    Paumes cajolant flancs puis velours de la gorge, de la Viagra éloignait sa monture de la source de leur jouissance conjointe, l'embrochait, ressortait, plongeait à nouveau dans les profondeurs du méat. Les épidermes distillaient une suée huileuse. A la lueur vacillante de la bougie, un miroir au cadre paré de volutes baroques reflétait l'expression dissolue du visage de la femme, les soubresauts des seins répercutant les cahots infligés avec maestria à la petite caverne. Les énergiques jets de semence annoncèrent le prévisible échappatoire, qui avait toutefois été ajourné par la friandise que venait de concéder de Gobapina…

    Nuit après nuit Don Diego paya de sa personne et ainsi sauvegarda l'anonymat de Don Braquos. Les mâles comestibles présents sur le domaine et quelques visiteurs firent pour leur part l'objet des frasques de l'ardente donzelle. Son goût insatiable pour l'expérimentation la poussa à vérifier que la langue de Pinardo, le fidèle serviteur muet, était apte aux caresses buccales ; même Don Alexandro, veuf qui portait encore beau, eut son contingent de siestes libidineuses. Après le retour d'Isabella en Espagne l'hacienda s'enlisa dans sa léthargie routinière...


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    Forcément quand on a le cul nu dans le sable, ca finit par gratter, et elle en profite en plus la cochonne.

    Et souvenons nous de l'adage : qui s'endort avec le cul qui gratte, se réveille avec le doigt qui pue. Très léger comme adage, n'est ce pas ?



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    C'est drole, Aline quand elle fait du vélo, elle a besoin de se masser les tétons, d'habitude dans ce cas là c'est plutôt les jambes qu'on se masse non ?



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    Voilà Aline qui abuse, certes après un peu de vélo, on peut se reposer mais de la à se trémousser langoureusement sur le sable ...



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