•  Mise à jour

    Je roule lentement sur le parking du centre commercial, une pluie fine a commencé à tomber et je suis nerveux de retrouver vite ma nouvelle chienne. Je tourne un peu avant de m'arrêter à proximité du lieu convenu avec mon ami, Anne est-elle bien là ? A-t-elle acceptée de suivre mon ami et de lui obéir ? Cela dit vu son état et ses anneaux, elle n'a plus guère qu'un choix : celui d'être la gentille petite chienne de notre couple.

    Je descend de la voiture, ouvre de la fourgonnette pour que le chien sorte et m'accompagne, il part en jappant, furetant partout puis je l'entends aboyer près de grille. Je souris intérieurement, il a trouvé lui aussi la chienne surement, je m'approche, je vois mon chien reniflant avec méfiance Anne, les canins auraient ils peur des anneaux ? Il renifle doucement la nouvelle chienne, je vois sa truffe glisser sur le cou, les seins, s'arrêter sur son sexe. Un rien perplexe je m'approche, Anne pourrait-elle sentir la femelle dans ses conditions ? Je me penche, effleure à peine ses lèvres, oui aucun doute, elle dort mais elle a joui avant. Elle est vraiment incroyable et étonnant qu'elle ne soit pas soumise depuis bien longtemps.

    Je la détache de la grille, puis la recouvre de mon manteau pour la porter dans mes bras dans la voiture, son statut de soumise annelée la rend précieuse, il ne faut pas l'abimer. Je la dépose doucement dans le coffre de la fourgonnette, le chien saute à coté d'elle et se couche contre son ventre. Il est vraiment câlin mon chien et sait accueillir les nouvelles chiennes.

    Je passe un coup de téléphone à ma femme pour la prévenir de notre arrivée et pour lui demander de préparer du café chaud pour réveiller Anne à son arrivée. Il faut dés le départ, lui donner les règles de sa nouvelle vie, lui expliquer comment elle doit se conduire, ce qu'elle doit faire et ce qui arrivera si elle ne respecte pas les consignes. Tout cela doit être clair dès le départ. Son panier est déjà prêt dans la pièce du chien, le reste doit lui être expliqué. Je gare la voiture dans le garage de notre pavillon, ouvre la fourgonnette, fait sortir le chien et tapote les joues de la chienne :
    « eh oh réveille toi, ca y est tu es chez toi, ta nouvelle vie commence »
    Je la secoue plus fermement, tire sur le collier, enfin elle se réveille, les yeux endormis elle me regarde :
    « Qu'est ce que ... »
    Je la tire à l'extérieur du fourgon pour la conduire au salon.

    Ma femme l'accueille avec un grand sourire :
    « Elle a jouit dans la nuit mais elle est transit notre chienne, on va lui donner une douche, un café et nous verrons après » Elle prend la main d'Anne, la tire vers la salle de bain où elle la douche à l'eau chaude, arrête l'eau, sèche, frictionne la chienne qui n'a rien fait d'autre que de se laisser faire. Anne reprend des couleurs et commence à regarder autour d'elle, se réalise nue, bichonner comme une jument. Ma femme lui claque les fesses :
    « vient au salon, un café t'attend ».

    La nouvelle chienne entre dans le salon, nous voit assis tranquillement dans un canapé sirotant une tasse de café, voit une table avec une tasse et des fauteuils de libre, ne sachant exactement que faire elle se dirige vers la table, prend la tasse, jette un œil à un fauteuil et va pour s'y assoir. Un claquement sec la rappelle à l'ordre et elle voit l'objet qui désormais sera un des plus important de sa vie : une cravache en cuir bordeaux tressé. Ma femme vient de la frapper contre l'accoudoir du divan :
    « Que fais tu ? Bois ta tasse tu en as besoin mais personne ne t'a autorisée à t'asseoir »

    Anne gênée de cette situation nouvelle pour elle, reste debout devant nous, fixant la cravache et buvant son café serrant sa tasse à deux mains. Je lui souris, je pense à elle, à ce qu'elle doit ressentir, sa transformation si rapide, son traitement chez le docteur, la séparation de son mari et maintenant la voici debout devant ses maitres nue ses anneaux si visibles buvant un café pour se réveiller.

    Je ronds le silence :
    « Tu as été superbe jusqu'à maintenant et si j'en juge par ta réaction seule sur la parking, tu es très exitée par ce que tu vis »
    Je montre des yeux le sac plastique contenant le passeport et le carnet de santé :
    « Tu vois, tu nous appartient désormais, tu ne réutiliseras plus jamais ton passeport, ni ton carnet de santé, c'est nous qui les gardons et les utiliserons quand il y aura besoin »
    « Tu n'as plus besoin de porte feuille, porte monnaie, carte bleue, sac à main, tous cela, ce sont des attributs de femmes, toi tu es devenue une chienne, notre chienne »
    J'indique du doigt une feuille blanche sur une table avec un crayon à coté :
    « Va signer, c'est ta lettre de démission, c'est la dernière démarche, après nous n'aurons plus de compte à rendre à personne te concernant »

    Anne hésite un instant, elle essaye d'aligner quelques idées, certes elle est nue, annelée, mais doit elle être « sans rien » ? Doit elle abandonner toute identité, tout bien personnel ? Elle jette un regarde un peu perdu autour d'elle et se voit dans une glace de plein pied. Elle voit une femme jolie, angoissée, serrant dans ses mains une tasse à café, portant un collier, deux gros anneaux traversant ses seins, deux plus petit avec un cadenas pendant à ses lèvres, elle ouvre la bouche ne sachant que ressentir et voit son piercing sur la langue. Elle réalise que de toute façon, ainsi transformée elle ne peut plus qu'être une chienne et va lentement signer sa feuille de démission.

    Je me lève, la prend par les épaules, je ne peux résister à la serrer contre moi en lui murmurant : « Tu es magnifique, angoissée mais magnifique, tu verras, tu serras bien ici »
    J'ouvre un écrin et sort un médaille dorée sur laquelle est gravée : Chienne Anne, 19/10/2009, je tiens délicatement la médaille et l'attache au collier de notre chienne. Puis je conduis Anne face à la glace.

    Ma femme soupire, fais de nouveau claquer la cravache et se moque :
    « Tu es vraiment tout guimauve avec nos nouvelles, on croirait des photos de David Hamilton. »
    Elle s'approche du dos de la chienne :
    « La première chose mais ce n'est pas une règle tellement c'est évident, tu ne dois pas perdre ta médaille et la porter en toutes circonstances même si on te change de collier, compris la chienne ? »
    Ses derniers mots sont dits avec dureté, un mépris que contredit le regard intense qu'Anne peut voir dans la glace. La cravache ne tarde pas à s'abattre sur la cuisse :
    « Compris ? »
    Anne murmure faiblement :
    « Oui »
    La cravache s'abat de nouveau :
    « Oui qui ? »
    « Oui Madame, Maitresse, que dois je dire ? »
    La cravache frappe une troisième fois au même endroit :
    « Oui maitresse, »
    Anne regardant la glace, se voyant, voyant ma femme juste dans son dos et moi dans le canapé, répète docilement :
    « Oui Maitresse »

    Ma femme joue lentement avec les anneaux, ceux des seins, les petits des lèvres, fait bouger le cadenas, effleure le clitoris d'Anne. Le regard qu'Anne voit dans la glace est celui d'une femme satisfaite, presque émue de la situation. Ma femme murmure :
    « Mon mari a raison tu es superbe et si sensible »
    Elle décalotte le clitoris qui apparaît largement visible dans la glace. Elle se racle la gorge et commence :
    « Tu dors dans la pièce du chien sur un matelas rond »
    « Tu sors de ta pièce que quand on t'appelle »
    « Tu vouvoies tout le monde, regarde personne de face »
    « Tu es punie dès que nous le voulons »

    Ma femme se déplace dans le dos d'Anne en énonçant les règles de vie, elle ponctue ses phrases de petit coup de cravache contre sa cuisse et poursuit sa litanie.
    « Tu jouis que quand nous le voulons, et tu dois demander l'autorisation avant toute jouissance quelle qu'elle soit, même avec notre chien »
    « Tu es venue sans habit, tu vis nue chez nous et dehors tu portes les habits que nous voulons »
    « Tu manges avec le chien, sauf quand nous en décidons autrement »
    « Une fois tous les quinze jours tu seras conduite au salon de toilettage pour être épilée intégralement »
    « Dans ta pièce tu as une commode et une armoire, tu y rangeras les accessoires que nous t'achèterons, ils doivent être toujours propres prêts à être utiliser, tu y mettras aussi les habits que nous t'achèterons et dont tu prendras soins. »
    « Enfin une fois par semaine, 2h, tu pourras te servir de l'ordinateur en nous disant à qui tu parles, à qui tu écris, ce que tu fais avec, une fois par semaine, tu pourras écrire deux lettres et enfin une journée par mois nous te laisserons libre dans la maison sans avoir le droit toutefois d'utiliser l'ordinateur ou le téléphone. Nous profiterons de cette journée pour faire le point avec toi aussi »

    Elle termine cette longue tirade par un coup de cravache violent sur les fesses d'Anne :
    « As tu quelque chose à dire ? »
    Anne baisse les yeux et répond :
    « Non Maitresse »

    Je me lève, prend le poignet de notre chienne, la conduit devant une porte, l'ouvre :
    « Tu vois le matelas rond ? »
    « Alors va à ta niche la chienne »
    Je la pousse dans la pièce, le chien profite de cet instant pour s'y glisser à son tour et je referme la porte.


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  • Mise à jour

    Que dire pour introduire ce voyage en camionnette, un petit voyage pour la société, une aventure pour notre petite chienne Anne ?


    Je me retrouve nue dans le couloir tremblante la lumière est encore allumée je suis nue ma chatte fermée par un lourd cadenas mes tétons perces d anneaux je regarde la porte qui vient de se refermer, puis je fais demi tour et m éloigne je descend les escaliers le cadenas frappe l'intérieur de mes cuisses a chaque pas j arrive en bas la camionnette est en face de l'autre cote de la rue.

    Je sors peut être que des voisins me voient me reconnaissent et alors ?...je me demande si je devrai me rendre a mon travail la semaine prochaine ou si je ne serai plus autorisée à sortir, je redoute de devoir retourner à mon travail j'imagine touts les gages et les humiliations que mon maitre pourrait me faire réaliser.

    Et en même temps j ai envie de les vivre ces humiliations : avant de tout donner avant d'offrir mon corps de façon définitive et sans retour possible, je pense aussi à mon mari ce qu'il doit endurer, sa déception mais je veux réaliser mes fantasmes quoiqu'il advienne.

    Je traverse la rue, la camionnette ouvre une porte, je monte un homme est la je ne le connais pas. Il dit :
    « je viens de la part de ton ami ».

    Il m attache un collier de cuir au cou puis l attache a une chaine qui pend, mes poignets sont fixes dans mon dos, la porte se referme je perd la notion de temps et d espace. Puis la camionnette s'arrête, je me suis endormie, allongée sur la tôle. La porte s ouvre on me sors, je me retrouve sur un parking commercial, il fait nuit, l'homme me tire vers un endroit isolé à côté des poubelles. Il me fait mettre à genoux puis me met du sparadrap sur les yeux et un bandeau.

    J entend qu'il fixe la chaine puis me dis il va venir te chercher ... peut être. Il s éloigne. J'entend la camionnette démarrer et s en aller. Le silence, la peur, je suis seule nue attachée comme une chienne impossible de me libérer.

    Je me prend àa imaginer que l'homme m'a attachée par le cadenas de ma chatte ou par les anneaux de mes tétons, le plaisir monte en moi, plaisir inutile puisque je ne peux pas me caresser. Je m imagine aussi les seins cloués devant attendre ainsi la délivrance abandonnée à la merci de n importe qui.

    J imagine tout ce que mon maitre pourrait me faire subir ma chatte ruisselle. Je me vois attachée, écartelée au sol chatte maintenue ouverte, livrée ainsi aux chiens errants. Je frotte mon clitoris contre l'anneau du cadenas en serrant les jambes. Le plaisir monte, monte je suis au bord de la jouissance quand d'un coup je me dis ne plus avoir droit de jouir , voila la punition extrême voila la déchéance totale.

    J imagine ma chatte exposée sans clitoris cette fois c'en est trop, le feu monte dans mon ventre à la vitesse d un arc électrique. Je jouis en silence, bouche ouverte, à genoux puis m'écroule sans force.

     


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  • Mise à jour

    Où le mari de la nouvelle chienne reçoit un coup de téléphone auquel il n'a rêvé même dans ses pires cauchemard.


     

    « Bonsoir, tu te souviens peut être de moi, je suis un ancien ami de ta femme quand elle ne s'appelait pas encore Madame, ancien ami mais aujourd'hui son maitre »

    Je n'entend aucune réponse, je poursuis :
    « Mets le haut parleur s'il te plait, je veux qu'elle m'entende »

    Voyant le cadenas dépassé de dessous la veste, il répond enfin s'étranglant à moitié :
    « Mais vous êtes qui espèce de salaud, c'est vous qui lui avez fait ça ? Je vais vous foutre en taule espèce de taré »

    Je réponds tout doucement, il va lui falloir plusieurs minutes avant d'accepter la fatalité : sa femme est devenue une chienne soumise et appartient à un homme maintenant. Devant lui, Anne baisse les yeux, attendant la fin de notre conversation.
    «  Regarde là, regarde devant toi, te semble-t-elle révoltée, en rage d'avoir été torturée ? Te semble-t-elle prête à me faire un procès ? Et toi , es tu prêt à faire un procès ? Mais au titre de quoi ? De mari cocu ? Ça va faire rire toute la presse qui en plus se régalera des photos de ma chienne qu'elle publiera »

    Je laisse un pause :
    « tu as mis le haut parleur ?  Comme cela tu verras si elle proteste »

    Un silence.
    « Alors tu l'as mis ? »

    Je l'entend maugréer :
    « Oui ça y est, que voulez vous ? »
    « Ouvre la veste »

    De nouveau un silence, puis j'entends un cri étouffé :
    « Mais putain qu'avez .... »
    « Nous avons fait ce dont ma chienne rêve et qu'elle a rêvé longtemps avec toi, tu peux toucher les anneaux, les tourner, les remuer, elle est prête à cela maintenant ... Et si tu le fais, touche la sous le cadenas, touche son bouton, je sais qu'elle est trempée, excitée d'être humiliée comme cela et électrisée de t'être présentée ainsi »

    J'entends pour la deuxième fois le juron marseillais :
    « Tu as vu, elle dégouline, je le savais, maintenant veux tu toujours me faire un procès, tu imagines les titres : sa femme devenue chienne, il fait un procès à son concurrent, le tout agrémenté d'une photo de ma chienne, ses anneaux bien visibles. Ou tu imagines l'interview de ma chienne sur RTL : alors Madame, vous aimez être une chienne ? Enfin si tu persistes tu en parleras à notre avocat. »

    Il crie presque :
    « Mais vous êtes qui espèce de malade, notre ? Vous êtes plusieurs en plus ? Et arrêtez d'appeler ma femme une chienne »

    Je poursuis toujours calmement :
    « Ma chienne est aussi la chienne de ma femme et notre avocat sait très bien gérer ses situations. Mais si ta femme va devenir ce dont elle a le plus fortement envie : elle devient un petit animal domestique bien élevé pour le plaisir et la fierté de ses maitres. Ce que tu vois là n'est que le début, elle va apprendre à vivre chez nous en suivant nos règles et nos lois, à vivre chez nous en partageant la pièce du chien. Sa transformation va continuer, dans quelques temps elle sera tatouée comme toutes les chiennes de bon pedigree, puis probablement tondue, elle sera de toute façon toujours parfaitement et complètement épilée, rasée. Chaque faute, chaque erreur sera l'objet d'une punition, elle apprendra aussi à souffrir quand cela nous fera plaisir, quand nous en aurons envie. Ton ex femme devenue chienne est splendide, merveilleuse, je sais qu'elle sera très fière de ne pas nous décevoir, d'être notre plus beau bibelot vivant. Puis elle apprendra à maitriser son plaisir, se retenant de jouir sur notre demande ou jouissant sur notre ordre, cela lui permettra d'être prêtée, offerte à des amis, des maitres de connaissances ou à leur animaux. Une fois cette étape franchie, les dernières transformations pourront avoir lieu : ligature des trompes pour la rendre baisable sur demande sans soucis et peut-être sacrifice ultime pour que son seul plaisir devienne la satisfaction et d'exaucer tous les vœux de son maitre. »

    Je marque une pause :
    « Tu es toujours là ? Ma chienne a pas joui sur place en m'entendant tout de même ? »

    Je l'entend dire d'une voix blanche :
    « Non elle a pas joui, mais elle semble fasciner, extatique comme en transe, comme une offrande sur l'autel de la folie. »

    Sa voix devient blessée, torturée :
    « Je nage en plein délire, en plein cauchemar ... »

    Je dis sèchement :
    « La chienne dis lui que tu es fondamentalement heureuse, que tu veux continuer et que tu es prête, si je l'accepte et qu'il le veut, à revenir plus tard le voir quand ton éducation aura avancée. »

    Sous ses yeux ahuris, devant son visage déformé par la stupeur, il entend sa femme, mais l'est-elle encore, lui dire qu'elle souhaite pouvoir rejoindre le plus vite possible le chenil de son maitre et qu'elle en vibre comme jamais elle n'avait été émotionnée auparavant.

    Il lâche presque le téléphone, je poursuis toujours calmement :
    « Dans quelques jours mon avocat te contactera pour le divorce, ne t'inquiète pas elle a déjà renoncé à tout, et s'il te plait, met dans un sac plastique son passeport et son carnet de santé, le reste, tout le reste tu en fais ce que tu veux. Pas besoin de mettre des souvenirs ou des photos dans le sac, elle n'en a plus besoin. Et quand tu lui auras remis le sac, fais ton dernier geste pour elle, remet lui sa veste et dis lui que son fourgon l'attend au pied de l'immeuble. »

    Hagard, ne sachant que faire, il hésite, n'entendant pas de bruits de pas, j'insiste :
    « fais ce que je te demande, de toute façon tu l'as perdue et la reprendrais tu avec ses envies et ses anneaux ? »

    Il jette un dernier regarde de dégout à sa femme, remplit un sac poubelle avec les documents demandés, le jette à sa femme, lui lâche : « tire toi salope »

    Et il claque la porte sans lui remettre la veste.


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  • Mise à jour

    Voilà la suite écrite par anneo702@hotmail.com, et dans cette suite un charmant mari apprend que sa femme ne lui appartiendra plus jamais.


     

    Durant 4 jours, la secrétaire ma soignée avec attention, jouant délicatement parfois avec mes seins, mon clitoris, allant jusqu'à me donner du plaisir en secret. Le matin du 4éme jour, elle m'a lavée, elle a vérifiée mon épilation, ma coiffure, m'a maquillée avec soins puis m'a conduite dans le cabinet du docteur m'attachant sur un fauteuil.

    Je suis sur ce fauteuil nue jambes écartées cuisses attachées et mains attachées elles aussi au dessus de la tète. C est indécent obscène mes seins portent les anneaux de mon maitre ils les traversent juste derrière les aréoles ils sont soudes j ai l impression d être comme ces animaux juste exposes …les lèvres de ma chatte sont aussi annelées des anneaux en or j ai senti les doigts de cet inconnu tirer sur ce que j ai de plus intime j en ai éprouve une honte affreuse mais aussi un plaisir trouble. J avais envie de m enfuir de peur et de honte et en même temps éprouver encore plus se sentiment d être avilie être un morceau de viande a disposition pour toutes moqueries

    Puis vous avez regarde mon clitoris je t ai entendu dire « un jour on le jouera a pile ou face pile elle le garde pour la semaine face on l enlève et on recommencera toutes les semaines ».

    J ai ressenti cette terreur les probabilités ne sont pas en ma faveur fini le plaisir juste être prise que pour le plaisir de celui qui me prend. Et c est la que je repense a ce que j ai vécu y aura-t-il encore un homme qui aura envie de moi âpres ca après que mon vagin ait reçu la semence des chiens ? Ne vais-je pas finir ma vie juste à être baisée par des chiens ? Les hommes ne me regardant que pour se moquer de moi … rien que cette pensée fait dresser mon bouton il est impossible que vous ne vous en aperceviez pas. La question arrive « a quoi penses tu ? » La honte j hésite et explique…

    Tu me regardes l air dur : « ça t arrivera peut être plus tôt que tu ne le pense… » La secrétaire me détache, tu me dis : « pour autour hui se sera tout vendredi je pense que nous te marquerons de façon définitive. »

    Je pense a mon mari comment vais-je lui expliquer lui avouer ? Tu me donnes une veste, tu me dis « tu ne mets que la veste », je palis la veste est très courte juste en dessous de mes fesses et en plus elle n n’a pas de boutons.

    Je peux pas rentrer comme ça dis je tu ris non en effet dis tu se serais trop facile tu prends un cadenas que tu fixes aux anneaux de ma chatte cette fois c est complètement fou le cadenas dépasse de la veste je te regarde je te dis « pitié pas ça ».

    Tu m attrape par le bras et me fait sortir du cabinet, je suis encore pieds nus la porte se referme, il me faut rentrer a pieds presque nue je ferme la veste sur moi et marche je sens le cadenas étirer mes lèvres et taper sur l intérieur de mes cuisses a chaque pas , je connais la ville et emprunte les petites rues ce qui double la distance. Mes pieds me font mal j'arrive enfin chez moi, je passe par le bas de mon immeuble puis remonte par l'escalier de secours je sonne chez moi. Mon mari ouvre me regarde ébahi, je lui dis tu n as pas voulu me dominer j en ai trouve un qui le fait j ouvre ma veste offrant mon corps à son regard. Je le regarde droit dans les yeux je dis « et en plus je dois être en permanence nue devant toi pour que tu vois bien ce que j accepte pour un autre, ah j'oubliais je me suis faite baiser par 2 chiens »

    Il me gifle je lui rends sa gifle le tel sonne il décroche c est toi qui l appelle…


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  • Mise à jour

    Voici le début de l'histoire, qui n'est pas vraiment un début mais la suite de scénario fait avec cette d'Anneo702@hotmail.com. Nous sommes en pleine séance de transformation de cette chienne ...


     

    Tout le monde est tendu autour de la table, attentifs à l'acte quasi-chirurgical que le médecin est entrain d'effectuer. Je te regarde avec insistance, soucieux de tes réactions, guettant un signe de révulsion.
    La secrétaire demande :« le masque ? »
    Sur l'acquiescement du médecin, elle ouvre un bouteille de gaz et pose sur ma toute nouvelle chienne attitrée un masque la forçant à respirer le gaz anesthésiant. Le médecin ouvre l'anneau largement, et pour lui-même murmure « prêt ? ». Puis rapidement, il retire l'aiguille pour la remplacer par l'anneau ouvert.

    La chienne se tort, je voie sa tête partir en arrière, ses yeux presque révulsés se jetant dans mon regard, je lui répond silencieusement :
    « mais oui ma chienne, tu es splendide, tu vas enfin les avoir ces anneaux te stigmatisant, te rendant mon esclave et esclave de tout maitre à qui je donnerai pouvoir sur toi. Tu as déjà le premier, il t'en reste 4 »

    Le médecin s'écarte, contemple le sein, l'anneau ouvert transperçant le mamelon, l'ouverture de l'anneau posé juste sou le mamelon. Il sourit :
    « Voilà une nouvelle chienne esclave, qui va être annelée comme même les esclaves de jadis ne l'étaient pas, annelée comme une soumise sexuelle qui sera à disposition ».

    Nous applaudissons à cette tirade dite par le médecin à chaque fois qu'il opère ainsi, c'est une sorte de rituel compulsif pour évacuer la tension de l'opération. Un des deux hommes présent demande : « Je peux ? »

    Il s'approche et sort de dessous la table un chalumeau, sourit inutilement à la chienne, inutilement car le masque, le trouble et la douleur l'ont mise dans un état second, un état de demi-conscience où seul semble compter mon regard et celui de la secrétaire. L'homme met des gants ignifugés, force sur l'anneau pour remettre les deux bouts de l'ouverture jointifs et effectue une soudure.

    Je ne peux m'empêcher de murmurer :
    « Tu vois ma belle chienne, l'anneau n'a pas de mécanisme de fermeture, il est soudé, il n'a plus aucun moyen d'être retiré, sauf si tu ne me satisfaits pas et que je te ramène ici. Mais tu es si éclatante dans ta soumission que je suis sur que cela ne se produira pas ».

    Le médecin ironise :</br> « Tu feras des déclarations à l'eau de rose sm une autre fois, là j'ai pas fini ! ».

    Il reprend l'appareil pour faire des trous de piercing, attrape une de tes grandes lèvres, flatte le flanc de la chienne :
    « T'inquiète pas, ça va être du gâteau après l'anneau mammaire »
    A l'adresse de sa secrétaire « retirer le masque, il ne faut pas l'intoxiquer »
    Puis il perce chacune des grandes lèvres pour y poser un petit anneau en or massif.

    Il se tourne sévèrement vers moi :
    « Ce ne sont pas des anneaux de force, ne fait pas comme M. M*** qui n'a pas respecté sa chienne et mis des chaînes à gros maillons sur les anneaux du sexe, moralité il a tout cassé et sa chienne à les lèvres déchirées »

    Avec délicatesse, il caresse le mont de vénus de la chienne esclave en devenir, il prend son temps, faisant glisser ses doigts gantés lentement pour faire réagir le nouvel objet sexuel en création. La chienne réagit, se tortille légèrement, murmure des bruits, « j'ai mal », « que se passe t il », « qu'as tu accepté », à « c'est doux », « merci ».

    J'adresse de nouveau un regard muet à ma chienne en construction :
    « Oui j'ai voulu, après la séance au centre commercial te transformer plus complètement, plus définitivement, désormais tu m'appartiens à moi et ma femme, et tu en portes les signes inaltérables »

    Un des hommes maugrée en voyant mon message oculaire :
    « ah c'est lassant c'est maitre romantique, alors qu'il ne s'agit que de transformer une femme en trous »

    Je sursaute :
    « Non pas en trou, enfin pas complètement »

    Le médecin hausse les sourcils :
    « ha pas d'excision aujourd'hui ? Tu fais bien de le préciser, reprenons, Mlle ? »

    La secrétaire repose la masque anesthésiant sur la chienne presque complète, le médecin reprend une aiguille et accompli les mêmes gestes que pour le premier anneau mammaire.

    Il s'écarte de la table, retire ses gants, me regarde et se rapproche de la table : « Voilà la transformation de chienne esclave finie, un piercing sur la langue, trois anneaux de fantaisie au sexe, et deux anneaux de force aux seins, tu me paieras en me prêtant ta chienne »

    Je répond :
    « ok c'était le contrat »

    Je regarde celle qui est définitivement et sans conteste devenue ma chienne esclave sexuelle, elle s'est endormie sous l'effet du gaz anesthésiant et repose maintenant presque calmement avec ses bijoux de soumission. Je pense juste « il faudra que je lui achète une médaille gravé à mettre à son collier, que je lui fasse tatouer ses oreilles avec mon numéro de portable, que je prévienne son mari et envoie sa démission à son travail ».

    Pendant mes réflexions, elle a été transportée dans une pièce annexe pour se réveiller et se reposer sous la surveillance de la secrétaire. Le médecin donne les dernières consignes :
    « Tournez bien les anneaux toutes les 30', vérifier la température, et donner lui des antalgiques toutes les 4 heures pendant deux jours »

    Il se tourne vers moi :
    « Oui nous la gardons deux jours, mais ne t'inquiète pas, on ne touchera pas à tes nouveaux trous ambulant  ... même si ce n'est pas l'envie qui manque »

    La secrétaire sourit désabusée à cette remarque :
    « Ne faite pas attention, il ne fera rien, et je vous préviens à son réveil »

    Je salue tout le monde, remet mon imperméable et rentre chez moi annoncer la nouvelle à ma femme.


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