• Mise à jour

    bonjour,

    je tenais a vous écrire , j´ai parcouru votre blog hier soir pendant que je telechargeais mon film

    j´ai bien aimé votre nonchalance et le fait que vous racontiez ce qui se passe dans votre téte en particulier ce passage ou la voix si gentille de cette femme qui etait venue en retard , j suis trés sensible aux détails je reconnais cette fougue , cette obsenité sexuelle dont vous faites preuve et qui m attendrit.

    j ´adore découvrir les fantasmes les plus cachés ,facon de parler, des hommes , me laisser prendre au jeu et découvrir qu a la fin on finit par les aimer et c terrible.

    je m abreuve de vos obsénités et de vos dépravations pour mes masturbations et comme le disait si bien mon guide il se sents bête en liberté avec moi.

    ´j´adore etre cette jolie salope qui fait de l´effet dans votre pantalon , venir vous sucer comme une chienne en chaleur , quand votre excitation vous envahit , vous laissant croire que votre violence nous séduit dégustant tous les supplices qui vous titillent , haissant vos remarques qui nous réduisent a un insignifiant trou noir


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  • Mise à jour

    monsieur ouvre la porte, il me regarde sans un mot ou plutôt il m'inspecte.

    Ce regard me trouble, je sais que l'on voit la pointe de mes seins dressés à travers le tissu de la robe du bout du doigt il les caresse, l'air satisfait de mon obéissance.

    Il soupèse les seins les presse légèrement pour se rendre compte de leur masse, de leur volume. De la main il caresse mon ventre plat encore creusé par l'émotion et le trouble d'être ainsi jaugée sur le palier. Et si quelqu'un venait à passer?

    je suis encore plus troublée quand il soulève le bas de ma robe pour découvrir mon sexe nu. Il a l'air d'apprécier que je sois complétement épilée. Un doigt léger effleure ma fente, je ferme les yeux .

    Il me fait entrer, je suis à lui, j'entends le verrou que l'on ferme à clef.

    Monsieur me conduit, prise par la nuque jusqu'au salon où il s'assied, moi debout devant lui , mains croisées dans le dos au niveau de la taille ce qui fait saillir un peu plus la poitrine, jambes un peu écartées. J'écoute les commentaires et puis il me demande de me mettre nue.

    Je défais la ceinture de cuir rouge qui ceint ma taille de deux tours puis déboutonne lentement les boutons de nacre de la robe. Mes doigts tremblent un peu. Je retrouve les gestes que j'effectuais devant ma maitresse qui était mon professeur de danse, elle voulait que je danse nue devant elle.

    je sens le regard de monsieur qui glisse sur mes seins et entre mes cuisses.

    Sur son ordre je lui amène la cravache à genoux puis me positionne devant lui mains à la nuque cuisses ouvertes, coudes bien écartés pour mieux offrir mes seins, bien cambrée, bouche entrouverte.

    Monsieur tapote un peu de la cravache pour que j'accentue l'ouverture de mes cuisses, j'obéis, je sens que ma fente humide s'entrouvre encore plus.

    le cuir de la cravache glisse entre mes cuisses du bout il agace mon clitoris je sens que je deviens liquide. La cravache qui se déplace entre les lèvres de mon sexe doit être trempée.

    Troublée, je réponds aux questions de monsieur.

    oui je ne jouirai que sur son ordre.

    Je raconte mon impression de femmes nue sous la robe je détaille comment la patronne m'a déshabillée du regard et combien cela m'a troublée. Les hommes sauf quelques uns n'ont guère été attentifs à ma tenue

    Oui j'ai rêvé dans mon rêve se sont mélangés monsieur mon ancienne maitresse et la patronne du café . J'étais sur un lit poignets attachés aux chevilles bien ouverte ma maitresse vous expliquait ce que l'on pouvait faire avec moi combien j'étais docile , qu'elle me faisait danser nue devant des couples pervers avant que je soit prise par deux hommes à la fois par la bouche et les reins.

    Je me suis réveillée toute en sueur et je me suis caressée de mes doigts.


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  • Mise à jour

    Je t'ai regardé arrivé par le fenetre, degustant le mouvement de tes seins sous ta robe, degustant juste le fait que tu sois venue alors que tu aurais pu reculer à la derniere minute : tu en as donc vraiment envie.

    Je retiens ma respiration au moment où tu sonnes, cette sonnerie est comme le glas qui annonce ton renoncement.

    Je t'ouvre, te regarde de haut en bas, inspecte ton visage, tes mains, tes poignets, ton cou, je suis satisfait : tu as obeis.

    Sur le palier, j'approche lentement ma main de ta poitrine, en te regardant je la fais jouer librement sous le tissu de la robe : sur ce point la aussi tu as obeis.

    je fais glisser mon doigt d'un teton, à ta cuisse, caressant le galbe de ton sein, ton ventre, ton pubis du bout du doigt. Je remonte lentement ta robe, te regardant dans les yeux, mon doigt caresse l'intérieur de ta cuisse, l e haut de ta cuisse, ton aine, puis se pose délicatement sur ta fente, je la caresse, j'en aprécie la souplesse, la douceur, l'humidité.

    Je m'écarte et dis le premier mot "tu peux entrer la pouliche". Je te laisse passer devant moi et pose ma main sur ta nuque, t'arrétant en la pincant légérement "stop". Je ferme la porte en te tenant la nuque, puis te conduit au milieu du salon, m'assoids dans un fauteuil, croise les jambes, te souris "main dans le dos, ecarte les jambes". Je savoure la vue que tu m'offres : celle d'une femme soumise, déterminée, belle, sensuelle et obéissante.

    Je te félicite de ta ponctualité, de la précision de ton obeissance "tu vois une soumise doit etre précise, consciensieuse, sinon le jeux perd tout son interet". Je marque une pose.

    "Pour tes bijoux ne t'inquiété, tes attributs de femelle suffisent à te rendre belle et désirable, et tu porteras les miens, uniquement les miens quand je le désirerai".

    Je t'indique du menton un chevalet "va y pendre ta robe et reviens m'apporter à genoux la cravache qui y est pendue"

    Je te regarde te mettre nue, te dévore des yeux, te dévore d'envie, de désirs mais le maitre doit savoir se retenir comme la soumise apprendre la patiente.

    Je prends la cravache que tu me tends, fais glisser le bout du cuir sur ton corp pour voir comment il réagit, je remue légérement tes mamelons avec celle-ci, la fait glisser sur ta fente, tapote tes cuisses pour te les faire écarter, puis tapote tes reins pour te faire largement cambrée.

    "Bien petite pouliche, tu as appris ta postion à genoux, tache de ne pas l'oublier"

    J'inspecte tes aisselles, tes jambes, ton pubis, approuve ton épilation "ton ancienne amie t'a bien éduquée à l'épiliation, c'est parfait, une chose que je n'aurai pas à faire".

    Je fais glisser lentement la cravache sur te fente, sur ton bouton, le decalote à la main pour que le cuir l'irrite plus, lorsque chaque mouvement de cravache la rend plus luisante, je soupire et demande :

    "Alors as tu commencé le livre ? Qu'as tu pensé de notre rendez vous d'hier ? Qu'as tu pensé du regard des gens, des hommes sur toi hier quand tu es sorti des toilettes, du café et sur ton chemin de retour ?"

    J'accentue ma caresse : "Et hier soir dans ton lit, tu as révé à quoi ? T'es tu caressée ? As tu joui de tes pensées ?"

    Je m'amuse de l'accroissement de ton trouble : "Ah au fait, bien sur une pouliche bien élevée maitrise son plaisir et ne jouis pas n'importe comment comme n'importe quelle gourdandine, elle demande toujours la permission à son maitre avant"

    Je te reléve le menton de la cravache "Compris ?"

    J'attends ton "oui" puis redecalotte ton clito pour recommencer la caresse de la cravache : "Eh bien qu'attends tu pour répondre à mes questions petite gourde ?"


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    je ne m'attendais pas à ce que monsieur (oui c'est monsieur maintenant) me demande d'enlever tout de suite mes sous vêtements.

    je réponds quand même à la question qui a précédé l'ordre je m'entends répondre : "monsieur je porte un string et un soutien gorge à balconnets bleu nuit".

    je rougis tout de même et par un réflexe de pudeur un peu bizarre suite à ce que je viens de dire je regarde autour de moi pour voir si un voisin a éventuellement entendu cet ordre.

    Non, les plus proches voisins sont assez loin et semblent occupés avec leur téléphone portable et leurs journaux.

    Je me lève donc, prends mon sac et pénêtre dans le café, une pièce assez longue avec le bar le long d'un mur , une jeune serveuse est occupée à laver des verres et la patronne derrière sa caisse regarde d'un air amusé et curieux un jeune couple occupé à s'embrasser.

    Je cherche les toilettes du regard, la patronne me fait signe d'un geste de la tête l'endroit, au fond de la pièce, après le bar à droite.

    je verrouille la porte et inspecte les lieux. C'est propre, très propre même, rare pour un café, je sais gré à monsieur d'avoir choisi ce lieu. je dégrafe ma robe et l'enlève la suspendant à la patère. je défais mon soutien gorge et fais glisser le string le long de mes cuisses et de mes jambes. Il rejoint l'autre pièce de vêtement dans mon sac.

    je me vois nue dans la grande glace au dessus du lavabo. des souvenirs remontent à la surface quand ma maitresse me faisait mettre nue dans la chambre avant de me présenter à elle, comme maintenant, chaussée seulement d'escarpins totalement épilée prête à tous les plaisirs.

    J'ai la bouche sèche, mais une chaleur monte entre mes cuisses, je bois un peu d'eau puis me rhabille. Le frottement du tissu sur mes seins en fait dresser la pointe. je sens ma nudité sous la robe au petit courant d'air qui vient d'une petite fenêtre entrebaillée.

    Je me remaquille rapidement, je sors, me seins se balancent sous la robe à chaque pas, ce qui fait tendre encore plus les tétons agacés par le tissu. Assis devant sa bière un homme me regarde d'un air niais, la patronne m'examine des pieds à la tête. Une femme sait déceler les changements sur une de ses semblables.

    Elle perçoit le balancement de mes seins, elle a un imperceptible sourire : Bonne journée mademoiselle me dit elle .

    je sors poursuivie par son regard inquisiteur je suis certaine qu'elle se demande si j'ai enlevé aussi ma culotte.

    A la terrasse à la demande de monsieur je remets mes sous vêtements roulés en boule dans le creux de ma main. Il a l'élégance de ne pas les étaler sur la table et me remets une lettre .

    Nous nous quittons je fourre la lettre dans la poche ce n'est que chez moi que je la lis.

    la nuit je fais des rêves érotiques où sont mêlés mon ancienne maitresse, monsieur, la patronne du bar

    le lendemain je me prépare pour le rendez vous Monsieur a dit même tenue. Nue , après être soigneusement lavée et parfumée, maquillée je repasse ma robe noire , ôte tous mes bijoux, même la petite chaîne qui ne quitte jamais mon cou et la bague sertie d'une émeraude qui rappelle mon regard. Je passe le seul vêtement qui m'est autorisé et je vais à l'adresse indiquée.

    ans la rue je me regarde dans le reflet des vitrines, je sens mes seins libres et mon ventre nu et lisse.

    j'arrive à l'adresse, à l'heure.

    je sonne, j'attends.


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  • Mise à jour

    Je te regarde mi attendri, mi amusé, j'aprécie ta réaction en fait.

    Je poursuit "c'est bien une soumise doit avoir du caractère sinon elle peut etre ecrasée par sa soumission".

    Je me caresse la barbe goutant aussi le fait qu'elle a osé dans un endroit public dire que tu avais envie d'etre une chienne, certes aucun voisin ne l'a entendu mais tu aurais pu en être génée.

    "Finalement tu as cru bon de rappeler les régles que tu avais dites dans nos dialogues sur le net, mais cela prouve que pour toi elles sont importantes."

    Je fais mine d'hésiter, puis te demande "Tu portes quoi comme sous vetements ?" J'écoute ta réponse avec attention puis te demande d'aller les retirer aux toilettes, à ton retour je tends la main "Donne".

    Je reste la main tendue le temps qu'il lui faut pour accepter de la faire, faire une boule discrete du haut, puis de bas et de me remettre les deux.

    Je te souris "tu es une adorable salope, jouer avec toi sera un privilege tres agréable", puis je te tends une enveloppe en te disant "viens récupérer tes dessosu demains".

    Je me léve et pars.


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