• la punition a été rude..mon corps tourmenté est courbatu...pourtant Maître je n'ai fais qu'obéir aux ordres...

    Il semble que depuis le début de la croisière vous vous intéressiez à une superbe gazelle : couleur ébène, au corps androgyne à la chute de reins.

    ellipsoïde... mon contraire....ma blondeur naturelle, ma peau blanche, mes rondeurs ne peuvent rivaliser avec...qu'importe...

    Je vous retrouve au fumoir, vêtue de la petite jupe de lin, uniforme du yacht... Vous me toisez, encore mecontent de ma désobéissance. "- Je vais faire un tour à terre, repose toi. A mon retour j'aviserais. Retourne dans ton box et récupère" Matée mais dépitée je me dirige vers ma chambre.

    Au détour d'une coursive je croise ma rivale. Je la regarde, je voudrais lui sauter dessus mais j'attends le moment plus propice. Bientôt nous serons dans un autre pays où je sais que ma blondeur naturelle plaira..j'aurais ma revanche.....

    ELLE


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  • Tu entends dans les hauts parleurs « 512125 au dortoir dans une minute », sans prendre le temps de te rhabiller tu sors en courant du salon pour arriver à temps au dortoir des esclaves, au passage tu remarques ton amie blonde pendu par les poignets et les chevilles au plafond et tu voies au loin la femme noire servant de table à café sur le pont.

    Tu entends à nouveau dans les hauts parleur « 512125 plus que 15 », certains maitres te regardent passer en rigolant les soumis(e) qui le peuvent te regarde un peu inquiet(e)s, une officiere regarde avec envie ta chatte encore luisante. Tu arrives dans le dernier couloir avant la porte du couloir, il n'y a personne à part un matelot qui te voit courir. Il hésite, te sourit gentiment et te fait un croche pied en attrapant ton seins dans ta chutte, il le pince et en tombant tu arrache ton teton de ses doigts. Tu entends dans le haut parleur « 512125 trop tard ». Le matelot te murmure « personne ne te croira » et il part en sifflotant.

    Tu arrives enfin dans le dortoir, tu vois prés de ton alcove une petite cage sur roulette et deux hommes d'équipages t'attendant de chaque coté de la porte de la cage, un te dit « vite dedans nue avec l'accessoire tu es déjà en retard ». Tu essayes « mais un matelot a ... » L'autre te regarde sévérement « tu dis qu'un marin a enfrein la régle ? Il y avait des témoins ? Qui te croira petite esclave ? ». Tu comprends qu'il est vain d'essayer de protester, tu retires ce qui te reste de ta robe, et entre dans la cage tenant ton accessoire à la main.

    Les hommes tirent la cage à travers les couloirs, tu passes sur le pont où tout le monde te regarde acroupie, courbée dans ta petite cage. Le bateau a acosté et tu vois une file de 5 soumises quittant le navire. La cage est poussée dans un fumoir ou je t'attends fumant délicatement un cigare et sirotant un vieil armagnac. Je te sourie « alors tu n'as pas entendu la consigne ? Tu as trainé dans les couloirs ? », je te jette un peu d'alcool à travers les barreaux. Je demande aux hommes d'équipage « ouvrez la cage et aller preparer le portique ».

    Je claque des doigts « va te mettre sur le dos sur la table basse », évidement tu t'executes, comment pourrait il en etre autrement, je te prend l'ecarteur des mains, l'introduit dans trou à bites et tourne les vis pour que les bords de l'écarteur s'ecarte et dilate petit à petit ta chatte. Je t'entends gémir, je cajole tes mamelles « du calme petite chatte, tais toi et concentre toi pour ne pas me déranger ». je continue doucement de tourner les vis jusqu'à ce que ta chatte soit un trou de la taille d'une balle de tennis. Je souris « voilà qui est parfait pour une gueunon comme toi ». Je prend les pinces qui pendent et les poses sur tes tetons, je te gifle « debout  mets toi devant la glace ». Je contemple ton image de femme à la chatte béante, aux tétons tirés par les poids des pinces. Je suis satisfait, je vais me rassoir pour continuer ma desgustation quand un des hommes d'équipage revient me prévenir « le portique est prés monsieur ». Je le remercie, lui dit « attendez », je te regarde « très chére chatte béante à baiser retourner dans votre cage ». Quand tu es à nouveau dans ton petit cachot ambulant, l'homme d'équipage appelle son collégue et ils te tirent sur le pont.

    Ils ouvrent ta cage, tu voies un portique avec deux lanieres qui pendent et un un fouet et un baillon de cuir avec un gode interne acrochés à un des pieds du portique. Je te caresse le cul « vous allez apprendre à respecter les consignes petites esclaves indisciplinée et aussi à prendre moins de plaisir quand vous enculez des hommes, je ne veux pas que vous deveniez une petite salope lubrique ». Je te souris, te plotte le cul « va chercher le fouet et le baillon». Je te prends le baillon des mains, te le mets le gode rentre dans ta bouche retenu par le baillon de cuir qui entoure ton visage. Je t'explique « tu comprends petite chienne nous sommes à quai, il ne faut pas que tes cries effraient les voisins, déjà que les dockers vont te matter en bandant c' est déjà bien assez ». Je te prend le fouet des mains et te tire par les cheveux sous le portique où je t'attache les poignets en hauteur.

    Je m'écarte, les maitres et soumis(e)s sur le pont se sont mis autour du portique pour regarder ton chatiment, quelques dockers commencent à lever les yeux intrigués par le spectacle. Tu entends au haut parleur « maintenant chatiment de 512125 sur le pont. Tranquillement, méthodiquement je te fouette le dos, les jambes, fais glisser la lame du fouet entre tes jambes. Au bout de quinze coups, je m'aproche de toi, enfonce dans ton cul le manche de mon fouet et en prends un autre pour te foueter de face les seins et ta chatte béante, la laniere te leche l'intérieur des chairs. Je te regarde tressauter en silence, ta bouche se crispant sur le gode enfoncé dans ta gueule de chienne, je te souris, recommence ainsi trois fois. Je m'aproche, defait le baillon, t'embrasse longuement faisant rentrer mon poing dans ta chatte préparée, je te fouille ainsi te lechant la langue et la bouche, puis te murmure ...

    Tenue n° 2 et retrouve moi au fumoir pour aller visiter Palerme. Je te laisse ainsi pendu pour retourner terminer mon armagnac pendant que des hommes d'équipage te détachent.

    Lui


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  • Je suis au ange. Vous mon maître adoré vous m'avez gâtée Je suis heureuse d'avoir acceptée vos épreuves.

    Je suis propre, parfumée et j'ouvre la housse. Une robe toute simple en soie attachée aux épaules par 2 cabochons. Elle est large, virevolte sur mon corps nu. Je contemple l'écarteur. Un superbe bijoux terminé par 2 gouttes en rubis telle 2 larmes de sang....Que dois-je faire avec ? Je me rappelle vos ordres : aucun accessoire ne doit être fixé par moi sur mon corps. Quand la porte s'ouvre et qu'on m'intime l'ordre de suivre un officier je prend délicatement l'objet.

    Après avoir remonté une longue coursive l'homme ouvre une porte et me pousse dans un somptueux salon. Un homme en uniforme, assis sur un fauteuil roulant me toise. Je lui tend le bijoux. Il sourit. "- tu es vraiment bien dressée, tu as respecté les consignes de ton maître. Ce bijoux te seras posé en temps voulu."

    Je vais t'expliquer ce que tu dois savoir pour cette croisière. Sur ce bateau tous les passagers sont volontaires. Il y a 3 groupes : 1/ les soumis(e)s débutant(e)s qui vont être débarqués en Sicile pour compléter leurs formations 2/ les réfractaires qui devront subir des dressages plus fermes afin de faire tomber leurs dernières restrictions et qui seront débarqués en Turquie notre seconde escale. Il en restera une dizaine comme toi, déjà bien dressées dont le but et de permettre à vos maîtres de rembourser quelques services reçus.

    Tu en sais assez pour le moment. Ce soir ce sont mes fils qui vont s'occuper de toi, je te laisse.

    La porte s'ouvre et l'homme, faisant rouler son fautueil sort. Jentends ricaner derrière moi. 3 hommes très beaux, dans la trentaine, vêtus d'une veste et d'un pantalon blanc me contemple. L'un, cheveux bruns lui tombant sur les épaules s'approche, tourne autour de moi. Je le vois lever le bras. J'entends un crissement et constate que d'un coup de rasoir il a ouverte ma robe en deux. Mon corps se met a trembler, c'est un fou ce mec, j'essaye de garder mon sang froid...

    Un second, au yeux verts magnifiques viens l'ôter et commence à m'enfiler d'un étrange vêtement : un haut en cuir lacé dans le dos qui m'aplatis les seins quand il le resserre et ne laisse apparaître que les bout de mes mamelons. La bas se compose d'un slip dont un gode interne entre dans ma chatte et un autre qui se dresse à l'extérieur comme si j'étais en rut, la taille est serrée outrageusement par une large ceinture, mes fesses étant laissés nues et libres.

    Pendant qu'il me vêts je regarde les 2 autres frères se caresser, s'embrasser..l'un suce l'autre... Je suis poussée vers eux et commence à me mélanger à leur ébats..Je deviens un homme, je suce, j'encule, je me fais enculer..je joue avec les mamelons, on joue avec les miens... Bientôt nous nous retrouvons tous embrochés les uns dans les autres..."yeux verts" pénètre ma chatte, il m'a assise sur "cheveux longs" lui même enculé par le 3ème...tous le monde bouge, se déhanche, gémis, jouis......

    J'avoue ressentir du plaisir, je me laisse complètement aller, je joue l'homme, encule bien à fond chacun d'eux.... Plusieurs heures durant nous batifolant...ils reprennent des forces à tour de rôle mais moi je dois sans cesse les satisfaire.. Je commence à m'épuiser car j'ai eu plusieurs orgasmes et mon corps s'affaibli...mais non ...pas de repos... Ils en veulent encore et encore...quand je ralenti le fouet tombe et sous la menace du rasoir je dois m'exécuter...

    Déjà 5 heures que je baise, je suis éreintée, ma taille et mes seins tellement serrés me sont souffrir, ma chatte et mon cul sont irrités... Mais eux, ils en veulent encore. Alors on m'allonge, écarte mes cuisses et je sens un liquide frais recouvrir mon cul...est-ce un baume ? Mais non.......j'ai compris......j'ai droit au figging...le froid et après la chaleur, la brûlure, l'envie d'être prise, d'être défoncée fort, très fort,....

    Ils ont gagné, je commence à m'empaler sur l'un d'eux, je me déchaîne sur sa queue puis sur la seconde et ainsi de suite...maintenant c'est eux qui ont du mal à suivre...les doigts remplacent les queues devenues défaillantes tant ils se sont vidés.....Je ne suis plus qu'une femelle en chaleur qui veux baiser et être baisée...

    Bientôt j'entends les moteurs du bateau qui changent de bruits..nous allons accoster..la séance va se terminer.

    Bonjour la Sicile.

    ELLE


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