• Une punition bien méritée pour une esclave enculant des hommes

    Tu entends dans les hauts parleurs « 512125 au dortoir dans une minute », sans prendre le temps de te rhabiller tu sors en courant du salon pour arriver à temps au dortoir des esclaves, au passage tu remarques ton amie blonde pendu par les poignets et les chevilles au plafond et tu voies au loin la femme noire servant de table à café sur le pont.

    Tu entends à nouveau dans les hauts parleur « 512125 plus que 15 », certains maitres te regardent passer en rigolant les soumis(e) qui le peuvent te regarde un peu inquiet(e)s, une officiere regarde avec envie ta chatte encore luisante. Tu arrives dans le dernier couloir avant la porte du couloir, il n'y a personne à part un matelot qui te voit courir. Il hésite, te sourit gentiment et te fait un croche pied en attrapant ton seins dans ta chutte, il le pince et en tombant tu arrache ton teton de ses doigts. Tu entends dans le haut parleur « 512125 trop tard ». Le matelot te murmure « personne ne te croira » et il part en sifflotant.

    Tu arrives enfin dans le dortoir, tu vois prés de ton alcove une petite cage sur roulette et deux hommes d'équipages t'attendant de chaque coté de la porte de la cage, un te dit « vite dedans nue avec l'accessoire tu es déjà en retard ». Tu essayes « mais un matelot a ... » L'autre te regarde sévérement « tu dis qu'un marin a enfrein la régle ? Il y avait des témoins ? Qui te croira petite esclave ? ». Tu comprends qu'il est vain d'essayer de protester, tu retires ce qui te reste de ta robe, et entre dans la cage tenant ton accessoire à la main.

    Les hommes tirent la cage à travers les couloirs, tu passes sur le pont où tout le monde te regarde acroupie, courbée dans ta petite cage. Le bateau a acosté et tu vois une file de 5 soumises quittant le navire. La cage est poussée dans un fumoir ou je t'attends fumant délicatement un cigare et sirotant un vieil armagnac. Je te sourie « alors tu n'as pas entendu la consigne ? Tu as trainé dans les couloirs ? », je te jette un peu d'alcool à travers les barreaux. Je demande aux hommes d'équipage « ouvrez la cage et aller preparer le portique ».

    Je claque des doigts « va te mettre sur le dos sur la table basse », évidement tu t'executes, comment pourrait il en etre autrement, je te prend l'ecarteur des mains, l'introduit dans trou à bites et tourne les vis pour que les bords de l'écarteur s'ecarte et dilate petit à petit ta chatte. Je t'entends gémir, je cajole tes mamelles « du calme petite chatte, tais toi et concentre toi pour ne pas me déranger ». je continue doucement de tourner les vis jusqu'à ce que ta chatte soit un trou de la taille d'une balle de tennis. Je souris « voilà qui est parfait pour une gueunon comme toi ». Je prend les pinces qui pendent et les poses sur tes tetons, je te gifle « debout  mets toi devant la glace ». Je contemple ton image de femme à la chatte béante, aux tétons tirés par les poids des pinces. Je suis satisfait, je vais me rassoir pour continuer ma desgustation quand un des hommes d'équipage revient me prévenir « le portique est prés monsieur ». Je le remercie, lui dit « attendez », je te regarde « très chére chatte béante à baiser retourner dans votre cage ». Quand tu es à nouveau dans ton petit cachot ambulant, l'homme d'équipage appelle son collégue et ils te tirent sur le pont.

    Ils ouvrent ta cage, tu voies un portique avec deux lanieres qui pendent et un un fouet et un baillon de cuir avec un gode interne acrochés à un des pieds du portique. Je te caresse le cul « vous allez apprendre à respecter les consignes petites esclaves indisciplinée et aussi à prendre moins de plaisir quand vous enculez des hommes, je ne veux pas que vous deveniez une petite salope lubrique ». Je te souris, te plotte le cul « va chercher le fouet et le baillon». Je te prends le baillon des mains, te le mets le gode rentre dans ta bouche retenu par le baillon de cuir qui entoure ton visage. Je t'explique « tu comprends petite chienne nous sommes à quai, il ne faut pas que tes cries effraient les voisins, déjà que les dockers vont te matter en bandant c' est déjà bien assez ». Je te prend le fouet des mains et te tire par les cheveux sous le portique où je t'attache les poignets en hauteur.

    Je m'écarte, les maitres et soumis(e)s sur le pont se sont mis autour du portique pour regarder ton chatiment, quelques dockers commencent à lever les yeux intrigués par le spectacle. Tu entends au haut parleur « maintenant chatiment de 512125 sur le pont. Tranquillement, méthodiquement je te fouette le dos, les jambes, fais glisser la lame du fouet entre tes jambes. Au bout de quinze coups, je m'aproche de toi, enfonce dans ton cul le manche de mon fouet et en prends un autre pour te foueter de face les seins et ta chatte béante, la laniere te leche l'intérieur des chairs. Je te regarde tressauter en silence, ta bouche se crispant sur le gode enfoncé dans ta gueule de chienne, je te souris, recommence ainsi trois fois. Je m'aproche, defait le baillon, t'embrasse longuement faisant rentrer mon poing dans ta chatte préparée, je te fouille ainsi te lechant la langue et la bouche, puis te murmure ...

    Tenue n° 2 et retrouve moi au fumoir pour aller visiter Palerme. Je te laisse ainsi pendu pour retourner terminer mon armagnac pendant que des hommes d'équipage te détachent.

    Lui


  • Commentaires

    1
    dede
    Mardi 8 Avril 2008 à 11:25
    pour LUI
    tu as aéré ton texte mais il est toujours aussi brouillon ton histoire va dans tous les sens on a du mal à te suivre je sais pas comment ELLE va réagir j'ai hate de la lire, ses textessont plus symple et me font bien bander et puis on attend toujour la suite avec elle
    2
    Geaorges
    Mardi 8 Avril 2008 à 17:58
    LUI
    tu as raison dédé, je préfère quand c'est elle qui raconte on comprend mieux et c'est plus bandant vivement qu'elle continue l'histoire, j'espère qu'elle va encore bien nous chaufé
    3
    Lui
    Mardi 8 Avril 2008 à 19:23
    Re : Lui
    Ah oui elle est vraiment super, et effectivement j'ai fait attention d'aerer le texte. Mais je ne peux etre aussi bandant que notre salope Elle. Lui
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