• Visite guidée

    Visite guidée

    Mise à jour

    Je te regarde un instant, ainsi tu n'es pas partie, tu as donc envie que le jeu se poursuive. Je prends fermement la laisse et va pour avancer, quand je m'arrête brusquement : zut j'ai encore oublié quelque chose. Je me tourne vers toi et prends cette voix un peu ridicule des officiers dans les films de guerre : « Certes ce soir tu dois te taire Voisine ouverte mais tu as droit à deux mots : jasmin coquelicot Le premier pour dire que la soirée va bien mais qu'il ne faut pas qu'elle devienne plus dure, le deuxième pour demander qu'elle s'arrête immédiatement. » Je murmure pour moi : « au moins ces mots tu ne risques pas de les dire sans le vouloir ». Je te regarde dans les yeux et demande sèchement : « Tu as compris Voisine Ouverte ? » J'attends que tu répondes pour repartir.

    Quand le voisin pince sans rire ajoute : « Normalement, si la soumise prononce le mot d'arrêt, la relation entre le maître et la soumise s'arrête aussi » Il glousse. « Mais dans votre cas on fera une exception, et puis maintenant que j'ai une Voisine ouverte je ne voudrais pas la perdre ». Je hausse les épaules et reprend notre marche, je note juste qu'il a dit « Voisine ouverte » sur le bon ton, dénigrant juste ce qu'il faut en te matant largement comme une femme facile.

    Nous arrivons rapidement devant un mur devant lequel se tiennent des hommes comme si ils pissaient, un pas de plus nous amène à une porte vitrée donnant accès à derrière le mur. Deux femmes à genoux sucent activement les bites dépassant de trous fait dans le mur, finalement les hommes ne pissent pas mais ce font sucer : c'est plus agréable il faut le reconnaître. Une des deux a le buste couvert de sperme qui coule sur ses seins et son ventre. Un homme pas loin de la porte semble attendre qu'elle soit suffisamment arrosée pour la rappeler. Au regard et à l'entrain des deux femmes il est difficile de dire qu'elles sont malheureuses !

    Je regarde furtivement ma femme, elle a du voir des scènes comme cela des milliers de fois sur le net, en rêver, être troublée, se caresser et même très certainement en jouir, mais comment réagira t elle en réelle ? Supportera t elle son vice et ses fantasmes ? Acceptera t elle la réalité d'être une salope et d'aimer cela ?

    Nous poursuivons notre chemin dans les couloirs nous voyons quelques cages dans lesquelles sont enfermés ou des femmes ou des hommes. Certains ont des positions de soumis, à genoux mains dans le dos tête baissée, d'autres pas. Une est même tranquillement assise cuisses écartées en sirotant un cocktail de fruits. Nous entrons dans une salle où des femmes sont pendues par les mains, suivant leur maitre leur position est plus ou moins confortable, les pieds touchant bien le sol ou juste sur la pointe des pieds, une seule a en plus une barre lui écartant les chevilles. Les hommes et leur maitres contemple avec plaisir leur pendule vivant. Au fond de cette salle, il y a une balançoire d'amour : une femme oscille dessus nue cuisses largement écartées en hauteur, elle offre ainsi son con et son cul. Autour de la balançoire sont placés des fauteuils sur lesquels discutent tranquillement un groupe de personnes, il semble que lorsqu'un a envie, il se lève, va baiser la femme dans la balançoire et reviens s'assoir.

    Nous quittons cette salle pour aller vers une autre d'où s'échappe des bruits secs et des gémissements. Je te tire pour y aller, tu sembles plus rétives, je m'approche de toi, caresse tes fesses sous la mini, la soulevant largement. Je t'embrasse dans le cou : « Allons voisine ouverte chérie, ce n'est qu'un jeu, rien ne dit ce que nous ferons ! ». Voisine ouverte et chérie sonnent bizarrement ensemble, et finalement n'irait il pas très bien ensemble, ne serait il pas le signe d'un amour profond ? Je te regarde fixement, tendrement en tirant la laisse, la soumise du voisin s'approche de toi et te murmure : « Si il ne veut pas te perdre, il doit en premier tenir compte de ton plaisir et de tes désirs, les maitresses des jeux ce sont les soumises en fait ». J'approche ma main de ton collier, attrape l'anneau auquel est attaché la laisse et te tire dans la pièce.

    Étant donné le lieu, on aurait envie de dire « rien que de très classique ». Des anneaux aux murs permettent d'attacher des êtres humains et de les fouetter, cravacher, fesser, quoi de plus normal finalement ? Un homme attaché de face se fait cravacher par sa maitresse, son membre dressé montre clairement l'état d'excitation dans lequel le met se traitement, sa maitresse en profite pour l'insulter largement sur cette érection non maitrisée. A côté de lui, une femme attachée face contre le mur se fait fouetter par une dame en combinaison de cuir, bottes à haut talon. Les marques sur son dos et ses fesses montrent clairement la violence de la correction, la soumise pourtant ne dit rien, accepte les coups sans broncher. Notre voisin va saluer la vigoureuse fouetteuse. « Ah elle a encore progressé, maintenant tu la corriges sans la bâillonner » « Oui elle, c'est une très bonne élève et elle aime les endorphines ». Elle montre du doigt ma femme : « C'est une nouvelle, elle veut commencer avec moi ? » Le voisin réplique doucement : « Ah elle débute, et Voisine ouverte n'est pas ma soumise » Moqueuse elle complété : « Voisine ouverte c'est son nom ? Rien que le nom mort de rire » Elle ponctue sa phrase d'un coup de fouet sur sa soumise qui se cambre sous la douleur.

    Là je suis inquiet, ça fait beaucoup, je m'approche de la femme que je tiens au bout de la laisse, la regarde, je frotte mon nez amusé contre le sien, glisse une nouvelle fois ma main sous la mini. Je sens son sexe encore trempé, dégoulinant, je cherche discrètement son clitoris, son état me rassure ou m'affole, l'heure n'est plus à l'analyse détaillée. Je la caresse rentre un doigt profondément, je veux l'exciter plus, lui donner du plaisir pour lui donner envie de continuer. Je glisse un doigt aussi vers sa rose serrée de derrière qui réagit mieux qu'au début de la soirée se laissant caresser, masser Je sens les fesses de ma femme bouger et à ma grande surprise je vois la soumise du voisin presque collée à ma femme lui caressant tendrement les fesses et la nuque en lui murmurant dans l'oreille. Ma femme aurait elle un apprentissage par une paire ? Elle se laisse bercer par ma masturbation, les douceurs de notre nouvelle amie et le spectacle qui s'offre à elle.

    Le voisin nous sort de notre torpeur : « On va voir la dernière salle ? » Celle-ci est plus soft, moins sm, des couchettes sur les bords de la salle ronde, au milieu un sorte d'immense pouf sur lequel des couples baisent plus ou moins tranquillement, dans un coin un lit de gynécologie. Je réalise soudain que nous avons fait le tour du club, que nous seulement cela a plu à ma femme, mais la fortement troublée, l'est elle autant que dans ces chattes, je ne sais pas mais elle est complètement ouverte, excitée, disponible. Finalement son nom de soumise lui convient bien. Je m'imagine parler de cela lors de notre prochaine réunion de famille chez ses parents, dire au café : « Ah belle maman vous avez une fille extraordinaire, qui est à la fois une bonne mère, une adorable épouse et ce qui ne gâche rien une incroyable salope soumise » Me répondrait elle : «Cher gendre j'attendais ce moment avec impatiente, moi même je m'y suis mise tardivement mais quel plaisir ».

    La sensation des regards sur moi ma ramène à la réalité, la visite est terminée, il faut passer à des choses plus concrètes. Je n'ai pas le choix, il faut que je trouve ce qui va faire le plus jouir ma femme. Je la regarde, est elle vraiment ma femme ou seulement Voisine ouverte une apprentie soumise désirant comme une folle être traitée en salope ?


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