• Une visite de Palerme

    En rentrant au dortoir pour te préparer avec ta tenue, tu vois au bord d'une alcove l'officer blonde se rajustant, tu t'aproches et tu vois le soumis attaché sur sa plance avec une cagoule sur la tête son sexe dressé en l'air alors que l'officier potelée s'installe avec un soupir de plaisir sur l'homme ne bougeant pas. La blonde te voit, te sourit, s'aproche.

     « Alors jolie esclave que viens tu faire ? », tu lui réponds en baissant les yeux à une distance respecteuse « mettre la tenue que mon maitre m'a demandée ». Elle sourit encore, ses seins dressés visible sous son chemisier d'uniforme « bien allons voir ca ». Elle t'acompagne devant ta penderie, tu lui murmure doucement « la 2 », elle te claque les fesses « prend là ». Tu découvres un corset en coton ouvragé, elle siffle « il a du goût ton maitre », elle se place derriere toi.

    Elle se colleà toi, caresse tes seins, joue avec tes tétons : « un corset est mieux mis en valeur par des tetons dressés et des mamelles gonflés, sort le ». Tu t'exécutes et tu remarques pendu au porte manteau du corset une paire de sandale à talon avec des lanieres remontant sur la cheville. Les caresses de l'officier se font plus pressante, plus forte. Elle t'intime « mets le », elle s'ecarte un instant pour te laisser la place, son regard est fixé dans le tien au travers de la glace de la penderie.

    Tu mets le corset, elle prend les laniéres les serrent fortement pour comprimer ta taille et ajuster ta tenue, sa main glisse sur ta fente, elle te caresse doucement « ton maitre va t'aimer dans cet état ». Quand tu te baisses pour mettre tes sandales, ses doigts féminins rentrent doucement dans ton sexe et ta rose serrée, en bonne esclave mattée tu te laisses faire en t'afférant. Quand elle te voit prete et que ton plaisir monte, elle sort ses doigts, eclate de rire, te claque le cul « allez va voir ton maitre, j'en profiterai plus tard. Le corset te sert la taille, faisant ressortir ton posterieur, il souleve juste tes seins sans les recouvrir.

    Tu entres dans le fumoir, tu me voies deviser avec ta rivale, je te regarde légérement couroucé « ah tu es là », je souris de ta tenue « non tu ne peux pas aller visiter Palerme dans cette tenue ». J'appuie sur un interphone « apporter une tunique blanche s'il vous plait ». Peu de temps apres un matelot entre tenant à la main une tunique d'une piece à la main, la bosse de son pantalon qui se forme quand il te voit dit clairement l'effet que tu lui fais. Je lui dis « poser ca par terre merci, et toi la chienne suce ce monsieur que tu mets en émoi. Tu t'agenouilles, le suce en bonne putain bien éduqée, je lui dis juste « éjaculez lui sur le visage, elle ne mérites pas de boire votre semence ». Une seconde aprés tu as le visage qui dégouline de foutre. Ta rivale est toute sourire, ma main caressant son bouton sous sa juppe. Je me léve, te dis « habille toi petite salope et viens », nous partons ta rivale et moi pour descendre sur le quai et aller baguenoder dans les rues de Palerme.

    Tu nous rattrapes en courrant ta tunique enfilée à la va vite, ton visage marqué par des trainées de foutre coulant. Nous nous promenons tranquillement, ta rivale et moi accolés, tenant nos hanches, tu nous suit à une distance respectable derriere nous. Nous adminrons les 4 chants de la Piazza Vigliena, nous entrons dans la cathédralede Palerme ta tenue te fait regarder par tout le monde, les éclesiastiques te regardent avec mépris. Un jeune séminariste te dévisage, fais mine de visiter le lieu saint en se maintenant derierre nous mattant ton cul. Je souris de son manege, regarde aux alentours, vois une chapelle un peu plus étroite avec un confessional, je te le montre du doigt en murmurant à ma rivale « des deux c'est elle qui a la robe la plus courte ». Tu entres dans le confessionnal suivit de prés par le séminariste qui regarde inquiet tout autour de lui puis te rejoint remontant sa soutane. Un instant on voit la petite maison oscillé, bougé et on entend quelques grognement en sortir, puis le séminariste apparaît se réajustant, il passe prés de nous et dit une phrase en italien, ta rivale me traduit « mais pourquoi ne m'a t elle donné que son cul ? ». Puis prudement tu en ressors et nous rejoints, je te félicite « c'est très bien on ne t'a pas attendu, as tu jouis ? », sans attendre ta réponse nous quittons l'église pour aller diner dans un restaurant sur les hauteurs ayant une terasse avec vue sur la mer.

    En arrivant dans le parc du restaurant une voiture noire, verres fumées s'arrétent, quatres hommes en sortent, te regardent, discutent entre eux. Nous entrons dans le restaurant acceuillis par le majordome, les 4 hommes me parlent en sicilien, à ma tête ils réalisent que je ne comprends, ils utilisent alors le langage universel : l'un deux sort des billets me les temps et te montre. Ma rivale sourit de toute ses dents et te dits « tu vois petite putain tu vas servir à quelque chose en nous payant notre repas ». Je fais non de la tête, l'homme sort une autre liasse et insiste. J'hésite, prend les billets, te fais signe d'aller vers eux et va avec ta rivale sur le balcon pour déguster notre apéritif pendant que tu vas à la terasse du restaurant avec les 4 hommes.

    Lui


  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :