• Le monde redevient normal

    Je la suis comme cela, étant certain maintenant que les jeux du plaisir et des corps peuvent commencer. Peut être ont ils même déjà commencé si j'en crois par les reflets brillants de la fente de mon élève. Je savoure doucement son jeu de séduction, laisse épanouir un instant son exitation et son désir, le reste de la nuit m'appartient. Nous arrivons devant ma classe, elle se retourne, se met dos au mur, une jambe repliée, me regardant suçant la pulpe d'un doigt. Je la regarde fixement, tourne la clé dans la serrure et lui dit sèchement : « Entre ».

    Elle me regarde hésitante avec un regard hésitant et brillant de ses yeux noirs d'asiatique, tout tout doucement je lui prends les épaules la retourne face à la porte ouverte et la pousse devant le bureau ma main collée à ses fesses sous sa jupe. Je la colle à moi, baisse ma tête pour lécher ses lèvres, les aspirer, les sucer puis doucement coller nos deux bouches et fouiller la sienne avec ma langue. Je prends mon temps pour ouvrir largement sa bouche sous la mienne, la sentir accepter mon baiser et le rythme que j'y impose, lécher sa langue, l'aspirer. Ma caresse, pétris son cul, glisse entre ses cuisses pour caresser sa pulpe à travers le fin tissu de son string. Mon autre bras reste pendant le long de mon corps, elle pourrait s'écarter, se reculer sans peine et elle accepte ma caresse sans bouger, sa respiration devenant juste plus chaude. Si j'avais un doute, il n'est plus permis : cette jeune asiatique a envie de sexe entre adulte, il ne reste plus qu'à le lui en donner.

    Je relache mon baiser, sort ma main de son intimité tropicale, la fait glisser sur sa bouche lui dessinant une grimace humide, je descends ma main vers un sein, joue avec, le malaxe, le triture, titille le téton, le pince, le tire tendrement. J'observe avec attention ses réactions, ses mouvements, ses élans pour adapter mes caresses à son rythme d'excitation. Je le regarde fixement en jouant comme cela avec une de ses mamelles et lui chuchote « Déshabille toi jolie petite élève salope »

    Elle hésite un instant, un « ho » se forme sur sa bouche, je pince plus fort son téton en murmurant : « J'attends » Je la vois perplexe puis comme un jeu essayer de se dévêtir langoureusement malgré mes doigts qui pincent son téton. Je ne bouge pas attendant que sa nudité soit présente devant moi, qu'elle soit là, nue, attendant. Je m'écarte, va m'asseoir sur une table d'élève la laissant dans l'incertitude nue devant mon bureau. Je ne dis rien, allume simplement un cigarillos dont la braise luit dans la pénombre de la classe. Je la regarde hésiter, se dandiner, se demandant qu'elle attitude prendre.

    Elle frotte ses pieds par terre, renâcle, renifle, soupire, une vraie pouliche s'énervant dans son box; elle pouffe une dernière fois et dit : « ah ben si c'est comme cela que vous jouez avec une jeune fille nue voulant faire l'amour avec vous, vous êtes nul, je me casse et allez vous faire voir ». Elle se penche pour prendre ses vêtements, ma voix sèche : « Ne bouge pas » la cloue un instant, le temps se suspend, immobile elle attend ...

     « Tourne toi , appuie tes mains sur le bureau, écarte tes cuisses » Elle essaye un : « Mais Monsieur ... » Sa réponse se perd dans le claquement sec de la règle du tableau sur ses fesses, je répete plus durement, plus fort : «Tourne toi, appuie tes mains sur le bureau, écarte tes cuisses » Je ponctue la fin de ma phrase par un nouveau mouvement sec de la règle sur tes fesses,j'attrape tes cheveux te fait pivoter face au bureau : « Pose tes mains » Je secoue brutalement ta tête attendant que tu obéisses, puis j'écarte tes pieds en les tirant avec les miens. Je te regarde satisfait, te doigte longuement : « Tu vois petite cochonne laquée, tu mouilles toujours »

    Je fesse ton cul de la main et t'intime : « Maintenant tu ne bouges plus » Je prends mon portable, tu entends :  « oui oui elle commence à être prête, oui oui c'est cela comme souvent, faite venir les filles » Tu entends des bruits de talons dans le couloir, et des voix de filles, tu les sens entrer dans la classe. Je dis juste : « Allumez la lumière et fermer la porte »

    Lui


  • Commentaires

    1
    Lui
    Jeudi 22 Mai 2008 à 21:34
    re : Natur Line Sex
    Merci et je transmets aux coquines qui participent à ce blog. Lui
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