• La pente est luisante de cyprine

    La pente est luisante de cyprine

    Mise à jour

    Nous sommes à peine partis que tu t'arrêtes brutalement. Tu te retournes moi devant toi habillée comme une traînée. Jasmin et Coquelicot ?? C'est ridicule ... à quoi peuvent bien servir ces mots. De toute manière, je me dis que je ne vais retenir que Coquelicot. Après tout, si ça dérive j'arrête tout tout de suite... L'autre mot ne sert à rien. Le voisin me demande si j'ai compris avec mon nouveau nom qui me blesse à chaque fois que je l'entends. Je réponds doucement « oui j'ai compris » Le voisin pervers me regarde de la tête au pied. Il se lance encore dans une de ses explications jouant au professeur. Mais il insiste en me jetant un regard concupiscant entre mes jambes en insistant lourdement sur le mot « ouverte ».

    Il me regarde comme une femme qui accepterait de coucher avec n'importe qui et avec lui sans doute. Cette idée me traverse, obscène. Je rougis jusqu'aux oreilles et regarde sa maitresse furtivement. Celle-ci doit avoir l'habitude de s'offrir mais aussi d'être offerte. J'aimerais tellement lui poser toutes les questions qui me courent dans la tête. Nous nous engouffrons plus loin dans les couloirs.

    Des hommes tendent leur bassin devant un mur. Rapidement, se présentent à mes yeux une scène obscènes juste derrière ce mur. Des trous dans le mur sortent les sexes des hommes derrière lesquels nous venons de passer. Deux femmes à genoux attrapent les sexes tendus et les suce pour les faire jouir sur leur corps. Sous mes yeux, une des femmes fait jouir un homme en dirigeant le jet vers ses seins couverts de sperme blanchâtre. La seule question qui me vient à l'esprit devant cette scène surréaliste, c'est combien d'hommes a-t-elle déjà fait jouir sur elle. Mes yeux suivent la semence du mâle qui glisse sur ses seins descend sur son ventre. Bien que je me sente dégoutée, ne pouvant imaginer qu'une femme puisse tomber aussi bas, je n'arrive pas à décrocher mes yeux de son corps couvert de sperme, de sa bouche qui déjà avale un autre sexe. Je sens que je ne pourrais pas résister à une envie qui monte d'entre mes cuisses mais je ma bats en sachant que je ne suis pas seule, que mon mari me regarde, lui montrer que cette scène m'excite m'est impossible.

    Mon mari m'arrache à cette vision en m'attirant. Je secoue la tête m'éloignant comme si cela n'était qu'un rêve. Mais devant mes yeux se profilent d'autres images que je n'avais vu jusqu'à maintenant qu'en photo sur le web. Mes yeux laissent de côté les soumis pour s'attarder sur les femmes offertes, sans pouvoir contrôler mes pensées je me projette à leur place. Puis je m'interromps découvrant devant moi ce dont j'ai si souvent fantasmé, des femmes liées les bras en l'air. Ma respiration s'accélère, mon trouble se répand en liquide chaud entre mes cuisses. Je regarde celle qui a la barre entre les chevilles, combien d'hommes dans mes fantasmes m'ont attachés ainsi avant de me faire subir leur vice. Je respire fort.

    Un mouvement au font de la salle, je détache mes yeux de la pauvre femme suspendue les jambes ouvertes pour découvrir un homme qui se lève, sort son sexe et prend sans autre forme de procès la fille cuisse écartée dans la balançoire. Cette vision résonne en moi, elle est ouverte elle aussi.... Et j'en frissonne. De nouveau, mon mari est obligé de tirer sur ma laisse pour me faire bouger, pour arracher mon regard de ce qui se passe ici. Je sens que je quitte presque à regret ses femmes attachées.

    Mais cette fois, c'est mon oreille qui est sollicitée, des claquements... des gémissements... des cris. Mon sang ne fait qu'un tour, j'ai tellement fantasmé sur ces pratiques que je n'ai aucun doute sur ce qui se passe derrière. Je prends peur, je m'arrête. J'ai peur d'être confrontée à mes fantasmes. Je panique. Je sans la main de mon mari nouvellement appelé maître sur mes fesses nues. Ses attouchements me ramènent sur terre. Il essaie de me rassurer mais mon cœur bat à tout rompre. Le voisin lui aussi essaie de me dire des choses sur le respect entre la maitre et sa soumise mais je ne l'écoute pas. Je ne l'écoute pas car je sais que, ce que je vais voir, c'est ce qui m'excite le plus dans mes dialogue et parfois même c'est ce qui me fait jouir.... La main se fait plus pressante, la force de l'homme qui est mon mari m'entraîne.

    A peine entrée, un claquement attire mon regard, je découvre avec horreur et délice le dos et les fesses d'une femme marquée par la morsure du fouet qu'une maîtresse en cuir lui inflige. Cette vision maintes fois imaginée par mon corps me fait frissonner de la tête au pied. J'halète presque et des crispations de mes cuisses et de mon vagin accompagnent le fouet. Sa peau est marquée par des stries rouges. Je n'ose pas imaginer la douleur que cette femme ressent et qui pourtant, ne crie pas. Entre mes cuisses serrées, mon vagin se liquéfie. Je savais que voir une telle scène m'exciterait. Je le sais depuis toujours que ces scènes de correction violente me donnent du plaisir et l'envie de me masturber mais jamais je n'ai envisagé des les pratiquer. La fouetteuse me pointe du doigt, j'entends à peine ce qu'elle dit, mais c'est comme si elle me désignait pour aller prendre la place de la pauvre fouettée. Mon cœur s'arrête un instant mais le voisin la calme. Et pourtant j'halète, j'ai chaud, je suis en feu.

    Elle prononce mon nom en se moquant et, en me jetant un regard de défi frappe les fesses de la soumise qui se crispe en se tordant. Je suis comme hypnotisée tout mon corps tremble. Mon mari s'approche sa main passe entre mes cuisses et je sais qu'il ne peut que constater mon état d'excitation. Il me fouille doucement, ses doigts jouent avec mon clitoris tendu gonflé de sang, un doigt s'enfonce facilement mon vagin dilaté grand ouvert. Vicieux il continue à profiter de Voisine ouverte car oui à cet instant je suis ouverte, pourquoi le nier.

    Ses doigts passent entre mes fesses touchent mon anus qui est lui aussi dilaté par la chaleur et l'excitation de mon bas ventre. Je me laisse faire, je me laisse toucher ... ouverte. Puis un frisson part de ma nuque et parcourt mon corps jusqu'au bout des seins, des doigts, des orteils. Un baiser de la maitresse du voisin dont j'ignore même le nom, le baiser d'une femme... Elle me parle doucement tout doucement « laisse toi aller, tu sais que tu en a envie.... Tu sais que cela t'excite .... Accepte ce que tu es .... Accepte le plaisir oublie tes tabous .... Tu ne joues pas à Voisine ouverte, TU ES voisine ouverte... depuis toujours tu le sais »

    Mes yeux rivés sur le spectacle du fouet qui lacère la peau, mon mari jouant avec mes organes, et la jolie soumise me susurrant tout en me caressant, mes jambes tremblent presque au bord de l'orgasme devant tant d'émotions refoulées. Je ne suis plus moi-même, je ne me contrôle plus. Encore une fois, vous m'arrachez au spectacle et aux mains qui me touchent. La dernière salle est presque décevante. Bien sûr des couples font l'amour, mais rien à voir avec le spectacle précédent.

    Mes seins sont tendus mes mamelons pointant outrageusement, ma jupe courte ne cache pas ma peau luisante de mouille entre mes cuisses. Tout mon corps est en feu et mon sexe réclame le plaisir. Je me sens tellement obscène, tout mon corps exulte l'envie de plaisir comme une chienne qui serait en rut et qui chercherait à se faire saillir. Cette visite m'a mise dans un tel état. Je croise le regard perdu de mon mari qui réfléchi, le sourire moqueur du voisin et la bouche en cœur, le regard pétillant de sa soumise.


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