• Et pourtant elle le fit malgré sa décence

    Et pourtant elle le fit malgré sa décence

    Mise à jour

    « Soumise », « Maître ». Ces mots prononcés aussi distinctement me perturbent. Et leurs regards amusés ne laissent aucun doute sur l'effet qu'ils ont voulu donné. Les joues roses, perturbée, je tourne la tête vers mon mari. Non, il ne m'a rien dit, rien du tout. Je n'ai plus aucun doute maintenant sur le lieu et sur les intentions de mon mari et du voisin. Pourquoi me suis-je laisser entraîner là-dedans ? J'aurais pu quitter ce lieu au moment où cette femme s'est mise à 4 pattes en montrant son postérieur, mais je ne l'ai pas fait. Pourquoi ? Peut-être parce ce sont mes fantasmes et que j'ai envie de les assouvir ici et maintenant ou peut-être parce que j'ai envie de lui faire plaisir, ou tout simplement parce que je n'ai pas assez de courage....

    Il me regarde enfin depuis un long moment comme s'il avait décidé de prendre les choses en main et son ton est surprenant : « allez viens toi ». Ces mots claquent à mes oreilles. Je me lève comme tout le monde et la maîtresse du voisin s'approche très près, et me parle doucement à l'oreille, son souffle si proche. Aussi bizarre que cela puisse paraître, ses mots me réconfortent car, je comprends que l'expérience sera nouvelle pour moi mais aussi pour lui. De plus, ce côté bavardage en cachette des hommes nous rapprochent, je me sens aussi tôt prise d'affection pour cette femme inconnue. Je n'ai pas le temps de lui demander de l'aide pour savoir comment s'y prendre que nous sommes obligées de rejoindre les hommes.

    Arrivée dans le couloir, j'entends le voisin parler de jeux SM et ces mots ont aussitôt un écho au creux de mes reins. Je m'arrête mes jambes tremblent, je me mords les lèvres puis vois mon mari sortir le bandeau des enfants, le comportement de mon mari, l'objet qu'il montre, tout cela pourrait nous faire rire en temps normal mais il s'agit effectivement presque d'un rituel et personne ne rit. Il vient poser le bandeau sur mes yeux, je respire profondément en proie de nouveau à d'affreux doutes. Les mots du voisin arrivent à mes oreilles mais je ne le vois plus. « Chère voisine, vous pouvez maintenant retirer votre bandeau mais si vous le gardez c'est que vous acceptez la suite et les règles que vous donnera votre mari ». J'ai le choix... je peux le retirer et partir mais que dirait mon mari, me le pardonnerait-il ? En ai-je vraiment envie ? Que vont-ils me faire ?

    En proie à toutes ces questions, à ne pas arriver à trancher entre le fait de vivre ce que j'ai tant de fois écrit en chatte et le fait de refouler ces obscénités que mon éducation réprouve, je laisse l'opportunité au voisin de prendre la parole et de décider à ma place. « Alexia accepte d'être la soumise de son mari ». Mes épaules s'abaissent comme si j'étais finalement soulagée de ne pas avoir à choisir, que le choix soit fait pour moi. Ainsi les dés sont jetés....Je sens la main de mon mari m'attirer, les yeux bandés, je reconnais sa main. J'entends que tu marches autours de moi que tu ouvres quelque chose. Puis tes mains se posent sur moi.

    Je tremble. Ma respiration s'accélère. Tu me déshabille lentement, je sens mon corps être mis à nu mes seins lourds en poire, mes fesses rondes mais fermes. Cet effeuillage me trouble et chauffe mon entre cuisse, je le sens. Mais surtout ce qui me perturbe le plus, ce sont les voix, les bruits de pas... tu me mets nue alors que des gens passent par là et cette exhibition m'excite au plus haut point bien que je ne vois rien. J'imagine les regards sur mon corps. Je devrais avoir honte de me montrer ainsi mais j'ai tellement rêvé d'exhibition qu'au contraire mes seins se dressent les mamelons pointés vers l'avant montrant mon trouble et mon désir. Je sens que tu me passe une jupe très courte dans une drôle de texture, du vinyle ! Je n'ai rein dessous, la matière recouvre mes fesses et mon pubis mais je sens bien qu'elle est tellement courte que finalement elle ne cache pas grand-chose. Puis tu referme sur mes seins un bustier les pressant et les remontant sans doute pour les mettre en valeur. Je sens l'air aussi entre mes seins, il doit être ouverte et exposé ma poitrine. Je ne me vois pas mais je m'imagine dans une tenue de traînée de salope comme on m'a si souvent appelée dans mes chatte.

    Je sais que ce genre de tenue s'accompagne souvent de talons hauts et je ne suis pas surprise lorsque tu m'en passe aux pieds. Bien sûr les talons font cambrés mes reins, je me sens habillée mais nue, je me sens entrer dans la peau de la femme de mes fantasmes. Tes mains confirment ce que je pressentais, tu atteints trop facilement mon sexe et mes seins. Je gémis lorsque tu pétris mes seins que tu sais très sensibles et tes doigts sur mes lèvres ne peuvent que constater mon état d'excitation. Puis tes lèvres viennent se poser sur les miennes et m'électrisent. Bien sûr ce n'est pas notre premier baiser mais c'est le premier où j'ai les yeux bandés et que je suis habillée comme une salope. Nos langues se mêlent et je te réponds mélangeant nos salives j'ai envie de toi maintenant. Ne te voyant pas je tends mes lèvres et ma langue mais déjà tu me parles doucement « Mme ma soumise est prête ?, c'est comme dans tes chattes ? ».

    Cette révélation me frappe comme un coup de couteau j'en reste bouche bée. Ainsi, tu sais, tu les as lus. Alors tu sais tout ce que je suis capable de faire avec ces hommes. Je sais pour ma part que je suis allé très loin et je commence à craindre de vivre réellement ces fantasmes. Le souffle coupé je m'apprête à chercher des excuses, à me défendre mais tu ne m'écoute pas et passe le collier autours de mon coup. Et la laisse s'accroche en un petit clic. Décontenancée, je finis par renoncer à t'expliquer l'inexplicable. Tu me fais ressortir et rejoindre nos « amis » Le bandeau me quitte. Je me découvre enfin face au miroir.

    Je me vois telle une salope le peu de tissu ne fait que montrer encore plus mes formes généreuses. Je constate que mes seins sont gonflés, mes mamelons sont tendus de façon obscéne sous le tissu. Je me vois comme une traînée excitée. Mes joues sont roses, j'ai honte de moi, je baisse la tête mais ne dis rien, acceptant ma tenue de soumise. Je t'écoute lancer le sujet sur le nom de soumise. Je me souviens que certains homme avec qui je chattais aimait me donner des noms tous plus humiliants les uns que les autres : les classiques chienne, pute, salope quelquefois pisseuse, punie, trou voire des prénoms sans doute le prénom de l'épouse de l'homme frustrée qui souhaite faire de sa femme sa soumise.... Comme moi ce soir .... Puis j'entends ce que tu prononces : « Voisine Ouverte ».

    Je ne peux m'empêcher de redresser la tête et de gémir « noooon ». Voisine passe encore mais ouverte, cela sous-entend tellement de chose, je me sens humiliée. Et ce sous-entendu de mon nom, le voisin ne se gêne pas pour en profiter et vérifier par lui-même. Je le vois approcher et sa main passe entre mes cuisses mes yeux te fixent, t'implorant de l'arrêter mais je vois que ça te plait qu'un autre homme me touche. Son doigts glissent facilement entre mes lèvres trempées et ressort luisant. Puis je vois sa soumise venir poser sa langue sur son doigt et goûter à mon jus, cela me donne une vague de chaleur et un flot de mouille encore plus important entre mes cuisses brulantes. Puis sa main s'approche de nouveau et essaie de passer entre mes fesses, de réflexe je les sers crispée je grimace « non pas là » fais je. Tu sais très bien toi mon mari que je refuse d'être touché de ce côté, que je trouve cela dégoutant.

    Et pourtant, combien de fois mes amants virtuels m'ont torturée ou prise par là. Devrais-je vivre cela aujourd'hui ? Je me souviens que tu as lu mes dialogues. Je m'en mords les lèvres. Il retire enfin son doigt. Puis je te vois présenter ton doigt à cette femme, elle te lèche et tu la pénètre par derrière. Un sentiment de jalousie me terrasse, la première femme à qui tu mets un doigt dans le cul, ce n'est pas moi mais elle.

    A moins qu'il y en ai eu d'autre avant moi .... T'entendant dire que tu travailleras mon ouverture arrière ne me laisse pas d'illusion sur ce qui va m'arriver. Ce soir je subirai par là. Crispée, apeurée, ta main ferme se pose sur mes fesses et me poussent vers l'avant, vers ma première expérience de soumission.


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