Une semaine de vacances dans un club à Agadir... J'y songeai depuis trois mois. Enfin du repos, un peu d'isolement et de dépaysement. Après deux jours d'excursions, je me prélassais sur la terrasse de notre chambre, à une heure du matin, tandis que ma cousine, Sandra, devait encore se trémousser à la discothèque. Je ne supporte pas les ambiances enfumées, la chaleur et la foule. Mon casque de Mp3 sur les oreilles, je savourais les heures fraîches de la nuit. Je n'avais pas sommeil.

Soudain, je vis la lumière du couloir de la chambre s'allumer. J'entrouvris le rideau et vis Sandra entrée, accompagnée d'un homme. Elle se dirigea vers la chambre où je devais dormir et éclata de rire : - Anne n'est pas rentrée. La coquine a dû enfin se trouver un coquin. L'homme émit un petit rire discret. Je ne pus résister à la curiosité. Je continuai à les écouter au lieu de me manifester. Allez, viens un peu par là, répond Sandra en prenant la main de son compagnon. Nous avons du temps devant nous.

Sa main glissa sur l'interrupteur et une lumière douce envahit la chambre. Je me reculai un peu, me sentant gênée. Je les entendis murmurer, rire. J'entendis le léger froufrou d'une robe que l'on enlève, le bruit d'une ceinture qui tombe sur le carrelage. « Il ne manquait plus que ça. » Je resserrai mes bras sur ma poitrine : j'étais en nuisette sur la terrasse et le fond de l'air commençait à se rafraîchir. - Tu vas me faire tout ça ? Murmura Sandra. - Oui, et plus encore.<

Ma curiosité de peu plus excitée me poussa à entrouvrir le rideau. Sandra était debout, nue devant le lit. Lui était à genoux devant elle, la bouche sur son sexe. Les mains de Sandra lui caressaient la tête tandis que ses mains lui malaxaient les fesses. Sandra rît et posa sa cuisse sur l'épaule de son amant. Je vis sa main glisser sur l'arrondi de sa fesse et ses doigts titiller son entrejambe. Une excitation gagnait la mienne malgré moi. Je ne m'étais jamais retrouvée dans cette position, aussi inconfortable qu'excitante. Je baissai les yeux et vis mes tétons dressés sous le satin de ma nuisette. Mes doigts se posèrent sur l'un d'eux et commencèrent à le caresser. Mon autre main glissa sur à l'intérieur de mes cuisses. Je me mordis les lèvres pour garder le silence.

Dans la chambre, Sandra était à genoux devant le lit, sa poitrine reposant sur le matelas. Son amant lui léchait profondément l'anus, lui arrachant des gémissements de plaisirs. - Tu aimes, lui dit-il. Attends. Je le vis se redresser et se lécher les doigts. Il en introduisit un entre ses lèvres dégoulinantes, puis un deuxième... Sandra s'accrochait aux draps tandis qu'il lui caressait l'anus du pouce. Ce petit jeu leur plaisait à tous les deux... et il me plaisait aussi. Ma main se glissa dans ma culotte et je me caressais lentement. Je posai mes pieds écartés sur la petite table pour m'ouvrir à mes doigts avides de plaisir. Je fermai les yeux un instant, m'imaginant à la place de Sandra. Comme ça devait être bon.

Je tournai la tête. Il s'accrocha aux épaules de Sandra, la pénétrant très profondément, lui arrachant des cris d'extase à chaque coup de bassin. Il se retira brusquement, la laissant haletante sur le lit. Il la fit se retourner et s'asseoir, lui présentant son sexe dur. Avec un sourire, elle le saisit et l'enfourna dans sa bouche, tandis qu'elle se caressait avec délectation. </p<

>b>Mes doigts s'activaient sur mon clitoris gonflé. L'un d'eux se glissa entre mes lèvres mouillées d'excitation. Ma respiration s'accéléra. Un second doigt rejoignit le premier... leur lent et profond va et vient, accompagnés des caresses de mon pouce sur mon clito me procura un profond plaisir.

Dans la chambre, Sandra était allongée sur le dos, les jambes grandes ouvertes. Il promenait son sexe sur ses lèvres offertes, la titillant, faisant semblant de la pénétrer mais se retirant au dernier moment. - Prends moi, vite, lui dit-elle. Il lui souleva le bassin et d'un coup de rein la pénétra profondément. Mes trois doigts s'enfoncèrent profondément en moi, tandis que mon autre main écartait mes lèvres à la recherche de mon clito. J'accélérai mon va et vient en rythme avec leurs gémissements.

Je le vis se retirer brusquement, Sandra haletante sur le lit. Il sourit. Il la fit mettre à quatre pattes, lui écartant bien les fesses et la sodomisa avec force. Il la tint fermement par les épaules, lui arrachant des cris. Je ne pus plus les regarder, prise par mon plaisir, ma propre jouissance. Leurs cris se mêlaient au mien, retenu dans la gorge. Mon corps était secoué de spasmes. Je sentis les contractions de mes muscles autours de mes doigts que je sortis lentement, à regrets. Je repris le contrôle de ma respiration, essuyant mes doigts sur ma poitrine dénudée.

Dans la pièce, à côté, je les entendis se rhabiller : - Viens à la piscine, c'est tout aussi génial, lui dit-il. La porte se ferma. J'attendis quelques instants. Je regardai par-dessus le balcon et les vis apparaître au coin de l'hôtel. Dès qu'il le dépassèrent, je me levai et me réajustai. Je me serre un grand verre d'eau et m'accoudai sur le rebord. Un air frais se glissa sur ma peau, me faisant frissonner de plaisir.

Au moment de rentrer, je levai la tête et, sur le balcon d'en face, je vis un homme lever son verre vers moi en me faisant un grand signe... la curieuse avait été observée... loin de me choquer, cette idée m'excita...

Taeko