• De la soumise et du maitre qui éduque qui ?

    De la soumise et du maitre qui éduque qui ?

    Mise à jour

    Je respire à fond, regarde autour de moi, me remémore les salles traversées, par quoi allons nous commencé ? Non ce n'est pas possible je ne vais traiter ma femme comme cela, je ne vais pas la baiser comme une truie ou comme un putain, ça c'est bon pour les femmes la pétasse du voisin pas pour mon épouse chérie. A propos de cette femme, je la regarde, elle est à nouveau collée au dos de mon épouse, et comme il n'y a qu'une raison pour que quelqu'un d'autre que ma femme mette sa main à cette endroit, je suis obligé d'accepter qu'elle est entrain de caresser doucement ma fameuse épouse chérie, bougeant doucement ses doigts glissés dans l'entrecuisse. L'avantage de cette mini jupe, c'est qu'on est courant de tout ce qui se passe dessous.

    Effaré par la situation je me demande comment se fait il que ma femme ne lui a pas encore donné une gifle, mais que ce soit mon épouse, qu'elle soit chérie ou pas, il me faut admettre que Voisine ouverte adore ces caresses, adore n'est peut être pas le bon mot, elle a les yeux mi-clos, remue doucement son bassin attendant la suite et probablement le plaisir. Je me souviens rapidement d'une phrase lue dans les logs des dialogues de ma femme : « Le plus dur dans la soumission n'est pas l'humiliation ou la douleur, le plus dur est de se découvrir soumise » Découvrir que son épouse est une soumise qu'elle adore ça et qu'elle en montre une excitation bien supérieure à celle de nos relations de couples n'est pas facile non plus.

    Mon voisin toussote, je le regarde, il me montre discrètement voisine ouverte qui commence à jouir, en ce lieu, en ce moment il n'est plus possible de l'appeler mon épouse chérie. J'hésite un instant puis réagit, gifle voisine ouverte, aurais je jamais osé un tel geste sur mon épouse, tire un coup sec sur la laisse pour lui faire sortir le cul des doigts envoutant. « Qu'est ce que tu as petite salope, tu vas jouir comme çà comme une putain ? » Voisine ouverte me regarde un instant, un instant je revois ces yeux, ce regard qui a capturé mes sens quand nous commencions à nous fréquenter, depuis combien d'années n'ai je pas vu ce regard ? Et il faut que ce soit ici. Ben oui, c'est justement parce que nous sommes ici que j'ai la chance de revoir ce regard.

    Ce regard plus que tout autre chose, me donne envie de continuer, offrir l'occasion à voisine ouverte de me regarder d'autres fois comme cela devient une motivation, une excitation. Je ne peux plus marchander entre une éventuelle éducation bien pensante et un désir de vice, l'évidence est là par ce regard qui me frappe comme un fouet. Pourtant je balance encore, vais je moi-même faire subir les pires outrages à voisine ouverte. Un bref regard à mon voisin et sa soumise me donne la solution.

    Je m'adresse à la compagne du voisin : « Toi attache voisine ouverte sur le lit de gynco, attache bien ses bras au montant du lit, écarte bien ses cuisses avec les étriers, et attache les fortement dessus. Evidement tu remontes son espéce de cache sexe de catin de bordel » Je prononce ma phrase d'une traite, sur un ton plus ferme, plus doux, il ne m'est plus nécessaire de crier, je suis le maitre de voisine ouverte qui est ma soumise obéissante, en quelques heures de présence dans ce club, c'est une évidence clairement établie. Je vais me promener autour de la pièce sans plus me préoccuper de l'installation de voisine ouverte.

    Elle monte avec des gestes mécaniques sur le lit comme si ce n'était pas encore tout à fait elle qui agissait, l'autre femme devenue mon assistance installe tranquillement, confortablement voisine ouverte sur lit, elle lui parle, lui masse les tempes, les seins, les cuisses en l'enserrant au moyen de large bande de tissu à velcro. Rapidement voisine ouverte se trouve immobilisée, cuisses écartées, la mini relevée, elle ferme les yeux, halète presque déjà doucement. Sa, presque complice va pour l'embrasser, pour aspirer sa bouche avec ses pulpeuses lèvres lorsqu'un coup de cravache violent la rappelle à l'ordre. Mon voisin a emprunté une cravache à un maitre présent et l'avertit par ce geste à ne pas dépasser la tache qui lui a été assignée, à ne pas sortir de sa condition de soumise. Immédiatement elle s'agenouille, baisse la tête et dit clairement, à haute et intelligible voix : « Je vous prie de m'excuser maitre, je vous prie de me punir » Mon voisin sans lui laisser le temps de se préparer assène 4 coups de cravache sur chacun de ses seins.

    Je prends mon temps pour revenir vers le lit où voisine ouverte est exposée aux yeux de tous comme une vulgaire poupée dans les vitrines de noël, je m'approche doucement, palpe doucement les seins de voisine ouverte et demande à celle qui l'a installée : « Elle mouille notre voisine ouverte cochonne » La soumise regarde son maître pour vérifier qu'elle a le droit de parle puis : « Votre voisine ouverte est prête et je crois que oui, elle est complètement prête » Ma question est superflue, n'importe quel homme en jetant un regard à la femme attachée sur le lit sait qu'elle est dans un état d'excitation maximum, proche de l'hystérie. Ses seins sont gonflés, ses tétons dressées de façon obscène, son ventre monte et descend grâce à de profonde inspirations, son sexe est luisant, sa mouille semble couler comme un ruisseau de sa chatte, son clito qui pourtant n'a rien d'extraordinaire pointe entre les replis des chairs des lèvres, sa tête est renversée en arrière, son regard presque extatique comme une offrande humaine lors des sacrifices maya. Oui voisine ouverte n'attend plus qu'un prêtre officie pour lui permettre enfin de libérer son plaisir.

    J'enfonce très lentement un doigt qui évidement rentre sans aucune difficulté, je le pousse le plus profondément possible, sentant, palpant largement le col de voisine ouverte, je le ressort légèrement pour caresser cette zone si tendre, si pulpeuse à l'entrée du vagin. Les réactions de voisine ouverte sont celles attendues : elle gémit de plus en plus fort, commence à se crisper, tire sur ses liens. Je renter un deuxième, puis un troisième, puis un quatrième doigt; limant doucement voisine ouverte la cochonne, la remplissant plus que je ne l'ai jamais fait auparavant, je pousse mes doigts, essayent de les enfoncer bien au fond. Le cinquième doigt fait difficulté, la chatte de voisine ouverte semble ne pas vouloir s'ouvrir suffisamment pour l'accueillir. L'autre soumise s'approche renverse du gel sur ma main, prend délicatement chacune des lèvres de voisine ouverte en un pouce et un index, tire dessus pour ouvrir, colle doucement sa bouche au bouton presque turgescent de voisine ouverte pour l'aspirer. Elle reléve la tête pour me murmurer tout bas : « Pourriez vous stimuler son anus ? » Je pose la pulpe d'un doigt sur la rose serrée de voisine ouverte qui se cambre, s'arque les membres entravés, mes cinq doigts rentrent d'un coup jusqu'aux carpes.

    Voisine ouverte pousse une sorte de cris entre le beuglement et le gémissement, je sens son vagin se contracter fortement comme pour expulser mes doigts, elle jouit secouant sa tête, son bassin, tirant par saccade sur les liens, elle jouit, jouit encore, cela semble être un instant d'éternel bonheur. Je laisse mes doigts en place, les poussant encore si possible, ses cris ont avertis les clients du club qu'une salope est entrain de jouir, des couples maitres(esse)/soumis(es) convergent petit à petit vers le lit de délicieux supplices de voisine ouverte.

    Je pousse encore sur ma main trempée de la mouille de voisine ouverte et du gel, elle s'enfonce petit à petit complètement dans les entrailles sexuelles de voisines ouvertes qui semblent concentrée uniquement sur ce qui se passe dans son vagin comme si elle n'était plus que cela. Je peux maintenant serrer mon poing, l'ouvrir, le serrer à nouveau dans le tonneau à foutre de voisine ouverte qui s'ouvre de plus en plus. L'effet est immédiat, elle se remet à gémir, à trembler, à remuer ses liens, elle va jouir à nouveau devant tout le monde, quelques minutes à peine après la première fois. Certaines soumises autour d'elle la regardent avec envie.

    Je ressors lentement ma main, faisant attention de la faire tourner, d'être délicat pour ne pas brusquer voisine ouverte dont les chairs semblent complètement distendues. Puis un à un, je retire mes doigts, libère ma main. Je la fais bouger devant les yeux de voisine ouverte qui semble prendre conscience avec des yeux écarquillés et effarés de l'immense plaisir qui l'a submergé sans qu'elle puisse le contrôler, des hommes et femmes rassemblés autour d'elle, du lit, des liens.

    Je pose ma main sur son visage, repend sa mouille sur ses joues, sa bouche, ses paupières, je prends une voix douce mais audible autour de moi. « Alors voisine ouverte, tu as joui comme une cochonne ? » A l'évocation de ton nom, certains sourient, une femme rie franchement. Je poursuis : « Alors c'est ça, tu as joui comme une femelle n'attendant plus que cela, comme une femme ne pensant plus qu'à cela ? Et cela a été si fort n'est ce pas, si puissant, tu en rêvais depuis tellement longtemps sans moi » « Et maintenant, ça ne peut plus s'arrêter sinon cela deviendrait fade, tu vas en vouloir encore, tu en veux encore, et je t'en donnerai petite voisine ouverte, et tu es tellement belle quand tu te transforme en chienne en rut. » Je te masse les tempes en te parlant, termine ce monologue intime en posant mes lèvres contre les tiennes, ma main te caressant comme je ne l'avais jamais fait, pinçant, tirant tapotant tes lèvres, ma langue fouillant ta bouche, aspirant tes lèvres, les mordillant, puis les mordant de plus en plus fort pour les tirer avec les dents. Je termine cette délicate caresse en pinçant son clito pour le secouer puis claque une cuisse en disant au voisin : « Ta voisine ouverte est à toi »

    Le voisin sourit, tapote les mamelles de voisine ouverte en ricanant : « Charmante voisine ouverte, voyons cela » Il va se placer entre les étriers, palpe le pubis, le cul de voisine ouverte pour choisir son trou, puis me demande : « Je crois que voisine ouverte n'est pas très ouverte du cul, je laisse se trou là alors ? » « Oui je te remercie de ton intention voisin, je préfère être le premier à enculer à fond ma chienne. » L'importante question du trou à utiliser pour baiser voisine ouverte étant réglée, le voisin sort sa bite pour vider son foutre dans l'eponge a foutre de voisine ouverte.

    Ne pouvant rester inactif, j'empoigne la soumise du voisin, la fait se mettre au bord du lit, les coudes repliés appuyés sur le lit, son visage proche de celui de voisine ouverte, elle lui sourit : « Tu es parfaite je suis sur que nous aurons beaucoup de choses à nous dire quand nous aurons partagé les bites de nos maitres » Elle fait un mouvement de la tête vers son maitre commençant à baiser voisine ouverte : « Tu verras il baise bien, il prend son temps pour bien t'enfoncer et peut te travailler longtemps » Sa remarque se termine par une crispation de la bouche et un oups, elle se tourne vers moi : « Je vous prie de m'excuser de mettre un peu crispée quand vous m'avez enculé monsieur » Elle fait un clin d'oeil à voisine ouverte : « waouhh ca doit faire longtemps qu'il avait envie d'enculer une femme, dommage que tu ne sois pas la première à en profiter » Elle se tait et ferme les yeux pour profiter de son enculage.


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