• Agadir 3/3

    J'avais retrouvé Sandra dans la discothèque de l'hôtel Elle était étonnée de me voir, et surtout de la manière dont j'étais habillée : une robe portefeuille noire, courte et très moulante et, aux pieds, des talons hauts. Elle crut que ses arguments qui m'avaient convaincue de venir, mais, il s'agissait du plaisir que j'avais pris et qui avait éveillé en moi le désir de nouvelles aventures sexuelles.

    Je me faufilais entre les danseurs, sur la piste et commençai à me dandiner. Le DJ avait lancé une série de chansons disco. Je m'éclatais toujours à danser sur ces chansons de mon enfance, les années 80. Je sentis de nombreuses mains me frôler les fesses, mais aucune ne s'arrêtait vraiment.

    Je passais de cavalier en cavalier, mais aucun ne parvenait à m'exciter au point de me laisser partir avec eux pour de folles galipettes. Je me retrouvai parfois prise en sandwich entre deux hommes, mais leur brusquerie me répugnait. Je finis par baisser l'éponge et quitter la discothèque.

    Je me faufilais ente les danseurs et sortis de la boite. Je traversai la terrasse et m'assis sur le mur qui séparait la piscine de la plage. A cette heure là, les portes d'accès à la piscine étaient fermées. J'ôtai mes chaussures et me laissai tomber sur le sable. Je traversai les rangées de transat et m'assis sur le dernier transat, juste au bord de l'eau. Je m'installai à califourchon sur le bout du transat. Comme il était large, j'avais les cuisses bien écartées. Je sentis un petit air frais s'insinuer entre mes cuisses. Je n'avais pas trouvé de partenaire pour cette nuit... j'étais déçue et frustrée. Je mourrai d'envie de me retrouver entre des bras virils, mais, c'était raté.

    J'entendis alors le sable crisser sous des pas, qui se rapprochaient et le transat gémir sous le poids. Ses cuisses se pressèrent contre les miennes. J'allai me retourner quand ses lèvres se posèrent sur ma nuque. - Je vous ai repérée dans la discothèque tout à l'heure. Vous n'avez pas semblée satisfaite. - Non, en effet. Personne de bien excitant. Un petit rire fusa. Je percevais la chaleur du corps contre le mien, un parfum musqué chatouillait mes narines. - Peut être que je peux apporter un petit changement à votre soirée ? - Et comment ? - Tu vas te laisser faire. Ça va te plaire. Un bandeau fut posé sur mes yeux. Je sentis une vive excitation gagner mes entrailles. Je me retrouvai dans le noir complet. Cet inconnu pouvait tout me faire subir et cela m'excitait au maximum. Il vérifia que le bandeau était bien serré.

    Ses mains se posèrent sur mes genoux et remontèrent le long de mes cuisses fraîchement épilées. Il me caressa longuement l'intérieur des cuisses, se contenant de me frôler le sexe. - Je t'ai observée danser. Tu sais bien te servir de ton corps. J'ai eu très envie de te faire plaisir. Ses mains glissèrent sur mon ventre et remontèrent sur mes seins. Ses doigts me pétrirent les seins au travers du tissu. Ne voyant rien, j'eus l'impression que mes sensations étaient décuplées. Il me pinça les tétons, m'arrachant un gémissement. Il me pétrit plus fort. - Tu aimes qu'un inconnu te fasse ça ? Demanda t'il en tirant lentement sur mes tétons. Qu'il te prenne par surprise, te comblant de partout ? - C'est la première fois, avouai-je. - Tu t'en souviendras. Ses mains écartèrent les pans de ma robe, exposant mes seins à toutes ses caresses. - Tu as tout prévu. Pas de culotte non plus, je suppose ?

    Avant que je ne puisse répondre, sa main libéra un de mes seins et s'agrippa à mon sexe. Il pinça mes lèvres légèrement humide entre ses doigts et les frotta l'une contre l'autre. Mes fesses se contractèrent quand son doigt glissa entre mes lèvres à la recherche de mon clito. Il le caressa longuement, le pinçant jusqu'à le sentir gonflé. De l'autre main, il détacha ma ceinture, ouvrant complètement ma robe. Je sentis le vent frais sur mon corps, qui me fit frissonner. Il me fit basculer contre lui et écarta mes lèvres de ses deux mains. Deux de ses doigts glissèrent brusquement en moi, me faisant gémir de plus belle. Ses doigts allaient et venaient en moi, profondément. Mes mains glissèrent sur les siennes, les poussant le plus possible en moi. - Gourmande. Tandis que ses pouces titillaient mon clito, deux autres doigts pénétrèrent en moi, m'arrachant cette fois un cri, me faisant soulever les fesses. Mais il ne les y laissa pas. Il retira ses doigts un à un. - Oh non... - Patience. Il se redressa dans mon dos et m'allongea sur le transat, me laissant les jambes bien écartées. J'entendis une fermeture éclair que l'on ouvrait, des vêtements tomber à côté de moi. Au bruit de pas, je déduisis que mon partenaire anonyme contournait le transat et s'agenouillait entre mes jambes.

    Ses mains glissèrent sur mes cuisses, jusqu'à mon sexe grand ouvert. Ses doigts écartèrent un peu plus mes lèvres et il y glissa sa langue chaude et humide. J'enfonçai mes pieds dans le sable pour me soulever et m'offrir entièrement lui. Ses mains glissèrent sous mes fesses, caressant mon anus. Il réagit aussitôt à cette caresse qu'il avait déjà aimée. Son doigt mouillé trouva son chemin sans aucune difficulté. Un profond cri monta en moi, mais je me retins, ignorant si l'on pouvait m'entendre. Il arrêta de me lécher et refit glisser des doigts dans mon vagin. Il s'amusa à varier ses va et vient digitaux : les deux doigts en même temps ou l'un après l'autre. Il me rendait folle.

    Il retira ses doigts et glissa ses cuisses sous les miennes. Il posa son sexe sur le mien. Il me prit les mains et me dit de le caresser. Mes doigts se posèrent sur son sexe dur et le caressèrent sur ton sa longueur. Il était doux, gros, très tendu. J'avais hâte qu'il me prenne. Je resserrai mes doigts autours et commençai un lent va et vient. - Non, non... tu ne fais rien. Il se dégagea de mes mains et s'accrocha à mon bassin. D'un coup de rein, il s'enfonça en moi, m'arrachant un cri que je ne pus retenir. Il accéléra son mouvement, de plus en plus brusque. Je me sentais secouée dans tous les sens. Il ralentit un peu, savourant sa pénétration. Je l'entendais gémir de plaisir. Il s'arrêta en moi, me caressant un peu et se dégagea lentement. Il me donna une légère tape sur les fesses : - Tourne toi. Je m'exécutai difficilement, toute endolorie et m'agenouillai sur le transat. - Non, non. Il me fit poser les pieds sur le sable. Je ne pouvais pas avoir le sexe et les fesses plus écartés. - Voilà, très bien. Il me releva le bas de ma robe sur mes reins. Sa langue courut tout le long de ma fente, de mon clito à mon anus. Je m'appuyai sur le dossier du transat que j'avais trouvé difficilement. Peu à peu sa langue s'enfonçait plus. Ses doigts m'écartèrent un peu plus les lèvres avant de ses glisser en moi. De nouveau son va et vient profond et son pouce qui pénétrait lentement dans ma rosette. J'avais du mal à tenir sur mes jambes. J'ignore combien de doigts il avait mis en moi, mais j'adorais ça.

    - Tu aimes, ça, hein ? Il retira ses doigts. Il posa son sexe entre mes fesses, le faisant glisser plusieurs fois avant de me pénétrer, toujours aussi profondément. Je me sentais basculer. Il jouit brusquement en moi. Je sentis son liquide chaud et épais dégouliner entre mes cuisses lorsqu'il se retira. Il me caressa de la paume de la main mon sexe chaud et humide, avide de caresses. - Allonge toi. J'obéis, chancelante. Et me retrouvai sur le transat. Il se rhabilla et me dit à l'oreille : - Attends un peu et tu pourras enlever le bandeau et rentrer. Ses pas sur le sable s'éloignèrent. Je restais sur le transat, à moitié nue, les doigts caressant mon sexe encore chaud. Quelques instants après, je me levai et me réajustait, avant de rentrer. Je pris une bonne douche et allais me coucher en constatant que Sandra se trouvait déjà sous la couverture, toute seule....

    Taeko


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