J'avais du mal à me trouver dans la même pièce que Sandra depuis ce qui s'était passé la nuit dernière. Se doutait-elle que j'avais pris plaisir à assister à ses ébats avec cet inconnu ? Comment réagirait-elle si elle le savait ? Ce spectacle avait réveillé en moi en désir sexuel intense que je ne savais pas comment éteindre, à part en passant à l'acte. Mais avec qui ? Aucune idée. Je ne connaissais personne ici. Et je n'avais pas un tempérament d'allumeuse.

J'avais décidé de m'isoler un peu, contre l'avis des animateurs. Ils nous avaient conseillé d'éviter de nous éloigner de la plage surveillée. Je n'étais pas allée loin, juste derrière une dune, à deux cent mètres de la plage de l'hôtel. Après m'être baignée, je m'installai sur ma serviette pour bronzer, défaisant le haut de mon maillot de bain. Je sortis le lait protection solaire et me badigeonnai joyeusement la poitrine et les épaules. Je l'étalai avec plaisir, passant et repassant sur mes seins. Me revenait alors en mémoire le plaisir que j'avais eu à me caresser la veille. Je regardai autour de moi, personne. <:br> - Et pourquoi pas ? Me dis-je.

Je retirai le bas de mon maillot et promenai les mains sur mon corps. Le bout de mes doigts frôlait mon sexe épilé, réveillant le désir de la veille. Je repliai mes jambes et les écartai, me caressant plus profondément. Je sentais mon sexe se mouiller sous mes doigts. J'aime le contact de ce liquide chaud et doux sur mes doigts. Je les glissai plus loin, me caressant l'anus... hum, exquis. Je me tournai sur le ventre pour essayer de l'atteindre. Mon avant bras frottait sur mon sexe, mes doigts caressaient mon petit trou.

Soudain, une ombre se projeta sur moi. J'ouvris les yeux et vis deux silhouettes qui se découpaient sur le soleil. - Vous ne devriez pas être là toute seule, dit l'une des voix, que je reconnus pour celle d'un des animateurs. - Surtout dans cette posture, renchérit l'autre. Certaines personnes pourraient en abuser. Je ne sus pas ce qui me prit à ce moment là, mais je m'agenouillai devant eux, provocante : - Êtes vous de ce genre de personnes ? Ils échangèrent un sourire complice. Le plus grand, Stéphane retira son tee shirt et son short. Son sexe dur se dressait devant moi : il ne lui fallait pas grand-chose pour être excité, celui-là. Je le caressai doucement, fis courir mes lèvres sur lui avant de l'enfourner dans ma bouche gourmande. Son collègue, Laurent, s'agenouilla derrière moi, plaquant son sexe contre mes reins, se frottant contre moi, en me malaxant les seins avec force.

Stéphane me caressa les cheveux, s'enfonçant plus profondément dans ma bouche, tandis que les mains de Laurent glissaient vers mon sexe. Mes mains glissèrent sur les cuisses musclées de Stéphane, enfonçant le bout de mes doigts dans sa peau. Son sexe était doux dans ma bouche. De temps en temps, je le ressortais complètement pour le lécher jusqu'à la racine et lui suçoter le gland. Je levai les yeux vers lui : les yeux fermés, il jouissait de cette posture.

Dans mon dos, Laurent me mordillait l'oreille, tandis qu'une main fouillait mon intimité à la recherche de mon petit bouton et que l'autre humidifiait mon anus. Il se préparait à me sodomiser. Je me dressai sur mes genoux : - Allonge toi, dis-je à Stéphane. Il s'allongea sur ma serviette, la tête entre mes cuisses. Je me penchai sur lui pour lui empoigner le sexe et le sucer de nouveau. Les langues m'exploraient dans tous les sens : l'anus, les lèvres, mon clito... ces caresse me rendaient folle. Sentir ces deux langues chaudes, agiles en moi me faisait bondir. Le sexe de Stéphane dans ma bouche m'empêchait d'hurler mon plaisir.

Bientôt, je sentis des doigts se glisser dans ma chatte. Laurent murmura : - Vas-y, écarte la bien, je m'occupe d'elle derrière. Tout de suite un doigt dans mon petit trou me fit lâcher le sexe de Stéphane. Les fesses bien relevées, je profitai de la pénétration de Laurent, empoignant de la main le sexe de Stéphane. - Hummmm, oui. Encore. Le nombre de doigts en moi augmenta prodigieusement. Je me redressai, m'enfonçant le plus possible sur leurs mains. Laurent me maintenait fermement par l'épaule avec un va et vient assez violent. Brusquement, ils retirèrent tous les deux leurs mains, me laissant pantelante. - Ce n'est pas fini ma belle. Viens là. Stéphane me fit signe de m'empaler sur lui. Je passai au-dessus de lui et frottai mon sexe dégoulinant sur le sien. J'écartai largement mes lèvres et me glissai sur lui. Je le sentis bien gros, profond et palpitant. Laurent s'agenouilla derrière moi, me caressant de nouveau les fesses. Il n'avait qu'une envie, me sodomiser. Je lui accordai ce plaisir en relevant mes fesses.

Il me caressa de nouveau l'anus, l'élargissant en douceur avec ses doigts. Puis, avec précaution, il m'enfila. Je criai de plaisir en sentant les deux hommes en moi. Leurs de sexes me ramonant de concert, frottant l'un contre l'autre dans mes deux trous. C'était un plaisir que je ne connaissais pas encore. J'hurlai de plaisir.

Leurs grognements de plaisirs accompagnaient mes gémissements. J'étais au bord de l'extase. - Non ma belle, pas tout de suite. Je ne savais plus qui me parlait et je m'en moquais. Je ne voulais qu'être prise encore et encore. Des mains sur mes hanches me forçaient à restée empalée. Des rires fusaient à mes oreilles. Des mains me pinçaient les tétons, me malaxaient les seins.

Alors ils se retirèrent brutalement m'arrachant un cri. Je fus couchée sur la serviette. L'un d'eux se mit au-dessus de moi, promenant son sexe sur mes lèvres. J'ouvris la bouche toute grande et il s'y glissa. Des mains me soulevèrent le bassin et un sexe me pénétra avec brutalité. Je ne me connaissais pas ce désir d'être prise aussi brutalement. Chaque coup de bassin me faisait décoller. Mes jambes se retrouvèrent sur des épaules. Deux doigts se glissèrent dans mon anus. Je n'en pouvais plus... eux non plus.

Ils se retirèrent de nouveau et cette fois, je sentis un liquide chaud ses répandre sur mes seins et mon ventre, accompagné de râles rauques... je ne sais pas combien de temps ils restèrent prés de moi, le temps de se nettoyer et de se rhabiller. Je me retrouvai de nouveau seule, encore excitée de cette rencontre. Mes mains repartirent à la recherche de mon plaisir, mes doigts rencontrèrent mes lèvres mouillées et glissèrent à l'intérieur... je me tortillais plaisir. Je me sentais partante pour un deuxième round, mais j'étais seule.

Je me calmai lentement et me redressai. J'avais du sperme sur tout le corps. Je ne pouvais pas rentrer comme ça à l'hôtel. Je me levai et courus me jeter à l'eau. L'eau froide apaisa mon excitation. Lorsque je fus bien rincée, je regagnai ma serviette. J'allai ramasser mon maillot de bain, lorsque je trouvai une petite enveloppe. Je regardai autours de moi, je ne vis que des empreintes de pas autours de ma serviette. J'ouvris l'enveloppe et en sortis un bristol. Une main élégante avait rédigé quelques lignes : «  Merci de cet agréable spectacle et de celui de cette nuit. En espérant pouvoir le partager avec vous, votre admirateur de la nuit dernière. »

Qui était cet homme ? Pourquoi cela m'excitait-il autant d'apprendre qu'un homme m'observait pendant mes ébats sexuels ? J'hésitai entre le désir de le connaître et celui de savoir qu'il m'observait en secret. Il savait qui j'étais, où il pouvait me trouver, ce dont j'avais envie et ce qui m'excitait. Il n'avait qu'à venir me chercher.

Taeko