• Effeuillage de la salope Pylou et de la vache Lola

    Mise à jour

    Ne s'effeuillent elles pas toutes les deux comme des professionnelles ?

    Ne sont elles pas toutes les deux dignes d'être des employées de peep show ?

    J'adore la troisième ligne, penchées toutes les deux leurs mamelles pendantes hummm

    La suite doit être une série de trois photos : une de plein pied avec des pinces aux tétons et aux lèvres, puis un zoom sur les mamelles et un zoom sur la chatte. Et que ça saute !


    2 commentaires
  • Voisins, Voisines

    Mise à jour

    Pendant le temps d'hésitation de mon mari, la soumise du voisin qui semble en pincer pour moi se colle de nouveau à mon dos. Sa main glisse sur mon bas ventre et vient plonger sous la mini en vinyle, ses doigts délicats trouvant facilement mes lèvres intimes gonflées et trempées. La sensation de ses doigts, des doigts de femme, qui me touchent, m'enfonce encore dans la recherche du plaisir. Mon bassin ondule sur ses doigts devant le regard de toutes les personnes présentes comme un appel au peuple. Emportée par le doux mouvement des doigts de la soumise du voisin, j'ondule haletante sans percevoir le signe du voisin à mon mari.

    Les yeux mi-clos sentant monter en moi le plaisir masturbée par la femme, je sors de ma rêverie d'un seul coup. Giflée brutalement, la douleur perce ma joue qui valse, mes yeux s'ouvrent en grand. Je suis choquée, jamais mon mari ne m'a battue et une chaleur envahissante monte à mon visage. Je n'arrive plus à réagir comme une épouse bafouée par une telle gifle. Je n'ai pas le temps de me plaindre car la laisse tire sur mon cou me forçant à avancer d'un pas vers lui. Ce qui est le plus frustrant n'est pas cette gifle ou cette reprise en main, c'est que les doigts de la soumise du voisin quittent mon entrecuisse qui palpite de désir. A mes oreilles parviennent les mots de cette voix que je connais si bien. Et pourtant, ce ne sont pas des mots habituels dans sa bouche mais des mots vulgaires, humiliants : « Qu'est ce que tu as petite salope, tu vas jouir comme ça comme une putain ? ».

    Ces mots blessants sont pourtant emprunts de vérité, j'étais sur le point de jouir debout devant tout le monde ... comme une putain ... Et cette façon de m'insulter, de me rappeler ce que je suis en train de faire, de me montrer la manière dont je me comporte trouve un écho au fond de mon âme. Je lève les yeux vers mon mari, en oubliant presque que c'est mon mari. Ce ne sont plus les yeux de l'épouse fidèle qu'il voit en plongeant son regard dans le mien. Ce sont les yeux emplis de désir d'une femme en chaleur cherchant à assouvir ses plus bas instincts. Tout dans mon regard réclame, il n'y a plus de lucidité, plus de tabous, plus de barrière. Juste l'envie... Toujours en laisse, j'halète d'un souffle rapide qui soulève ma poitrine. Je bois les paroles qui sortent de ta bouche et entends ta demande de m'attacher sur le lit gynéco.

    Je pousse un petit feulement incompréhensible pour un humain. Dans mon délire sexuel, des images montent de mon inconscient, je me vois attachée exhibée et c'est cela qui va m'arriver. L'envie de découvrir cette sensation me comble de joie. Loin de me montrer dégoutée ou choquée, m'appeler « Catin de bordel » me fait sourire d'un mouvement de lèvres pervers. Presque avec envie, je me dirige vers la chaise gynéco vers mon destin sans hésitation. J'ai toujours détesté ces fauteuils gynécologiques qui ouvrent et expose d'une manière si vulgaire les chairs intimes des femmes. Bien sûr, c'est sans doute pratique pour le praticien, mais ce sont-ils déjà rendus compte de la situation dans laquelle ça nous mets, nous les femmes ?

    La soumise du voisin m'accompagne, ses gestes sont doux, ses mains exquises et je me prends à espérer de les sentir de nouveau entre mes jambes. Mais, elle dépose mes jambes sur les étriers m'ouvrant et pose des bandes a velcro pour empêcher mes cuisses de bouger. Je déguste cette sensation d'être contrainte ... enfin... je contracte mes muscles essayant de bouger mais mes deux jambes sont maintenant écartées écartelées même. Après quelques tests me montrant comment je suis obligée de rester ouverte, je ferme les yeux imaginant ce que voient les gens dans la salle. Mes longues et fines lèvres gonflées, mon clitoris tendu sous mon pubis, mon vagin légèrement ouvert, de la cyprine brillant au fond de ma grotte. Je sens alors un frémissement électrique sur mes lèvres, c'est doux et si sensuel que je devine qu'il s'agit d'elle. Mon premier baiser avec une femme se finit trop tôt car j'entends claquer la cravache et la soumise se crisper avant de me quitter.

    Je l'entends demander la punition. Cela ma fait frémir, saurais je un jour moi aussi demander qu'on me punisse ? Je n'arrive pas à me redresser pour voir ce qui se passer mais j'entends la cravache s'abattre sur la soumise du voisin. Je distingue juste qu'il frappe devant. J'imagine avec excitation qu'il frappe ses seins et cela me rappelle mes fantasmes, la douleur sur mes seins si sensibles. La simple évocation de cette idée, me fait lâcher de nouveau une coulure de mon vagin alors que mes seins sont pointés gonflés. La palpation d'un sein hyper tendu me fait réaliser que tu es là, que tu me regardes exhibée ainsi. Toi mon maître... J'entends la question sur le fait que je sois ouverte et la réponse de la soumise du voisin. Je n'ai aucun doute d'être en ce moment voisine ouverte, mon vagin réclamant fortement d'être comblé. Puis je vois le regard de mon mari détailler entre mes cuisses attachée ma chatte en feu. Ce qu'il voit ne me fait plus honte, cela me plait m'excite. Je suis exhibée et cela me rend encore plus folle de désir. Je veux lui donner envie. Je veux lui être offerte. Enfin....

    Enfin mon sexe en feu, offert, ouvert, exhibé reçoit ce qu'il réclame. Je sens un doigt s'enfoncer dans mon vagin lubrifié. Je ne peux m'empêcher de gémir mon plaisir si longtemps frustré. Mes cuisses se crispent pour accompagner la crispation de mon vagin qui essaie d'aspirer le doigt en moi. Un deuxième doigt vient accompagner le premier en moi, je les sens s'enfoncer profondément. Je râle de plaisir. Puis, un 3ème doigt vient ouvrir mon vagin. Je sens une étrange sensation de dilatation de mon vagin. Jamais, ni moi ni mon mari, n'avons enfoncé plus de 3 doigts en moi. Et pourtant, je sens qu'il étire mes chairs intimes, je gémis plus fort, essaie de serrer mes cuisses liées. Non je reste offerte à son vice de me dilater, je sens qu'il appuie fort pour enfoncer profondément ses 4 doigts alors que je pousse des « ahhhh » sans signification que la sensation de me faire dilater le vagin. Il insiste et je ressens maintenant qu'il veut m'ouvrir plus mais mon vagin me fait mal, son élasticité ne permet pas d'en prendre plus sans douleur.

    Le souffle court, grimaçante, je sens alors en plus des doigts en moi, d'autres doigts qui attrapent mes lèvres intimes. Pas de doute, je reconnais ces doigts si soyeux, je fonds de plaisir. Je la sens m'ouvrir les lèvres et déposer un produit inconnu sur la main qui pousse toujours en moi. Puis, un délicieux frisson de plaisir monte de mon clito et me fait gémir « ohhh ouiiiiii ». Je sens une succion et je sais que cet aspiration ne vient pas de mon mari mais des lèvres de la soumise. Je découvre ce plaisir buccale prodiguée par une femme et l'excitation est à son comble. Dans le même temps, je sens un autre doigt appuyer entre mes fesses ouvertes par la position qui exhibe autant mon anus que mon sexe. Les vagues de plaisirs proviennent de trois endroits de mon bassin : du vagin, du clito et de l'anus. Je suis au bord du tourbillon de plaisir lorsque les 5 doigts pénètrent enfin mon vagin me dilatant comme jamais.

    Cette dilatation si forte des parois de mon vagin engendre, au moment de la pénétration des 5 doigts, une irrésistible vague de plaisir qui parcourt tout mon corps qui se tend me cambrant dans mes liens. Je hurle presque un cri bestial tellement l'orgasme attendu est violent. Mon bassin se soulève, les contractions orgasmiques de mon vagin distendu, la tête en arrière les seins tendus vers le ciel, je jouis sur la main de mon maître. Plusieurs spasmes de jouissance me font gémir, tendue comme la corde d'un arc mais je sens toujours en moi les doigts qui restent en place. Peu à peu, la vague de plaisir s'estompe doucement. Je respire fort reprenant mon souffle. Mais je sens toujours la pression sur les parois de mon vagin malgré la jouissance que je viens de subir. Pire encore, je sens que la main continue de pousser plus avant dans mes entrailles. Comme s'il ne voulait pas en rester là, comme si cet orgasme n'était qu'une étape. Je gémis en me mordant les lèvres sentant ma chatte remplie, la main est maintenant complètement en moi. Le gel aidant à glisser mais mon sexe me fait mal ainsi dilaté. Pourtant cette sensation de remplissage me fait tourner la tête.

    J'oublie tout ce qui m'entoure, ne vois pas les gens qui me regardent. Les terminaisons nerveuses de mon sexe me donnent une image virtuelle de ce qui est en moi au creux de mes reins. Je visualise la main enfoncée jusqu'au poignet. Écartelée, sur la chaise gynéco, la main dans ma chatte se crispe se serre, le poing se referme en moi me dilatant encore par l'intérieur cette fois. Je pousse un cri surprise par les mouvements dans mon corps. Je me cambre de nouveau tirant sur mes muscles qui ne bougent pas. La main bougent en moi jouent en moi, fermant le poing l'ouvrant, mes chairs intimes distendues me renvoient une sensation obscène de dilatation, d'intrus dans mon corps qui stimule l'intérieur de mon sexe sans sortir comme si un monstre jouait en moi par l'intérieur. La sensation est tellement forte, tellement nouvelle et tellement sexuelle que je repars en criant la voix hachée par des interruptions provoquées par le poing dans ma chatte, en tirant sur mes cuisses en tendant mes seins. Au bout de quelques pressions internes, je cambre mon bassin empalée sur le point en jouissant pour la deuxième fois, à peine quelques minutes après mon premier orgasme.

    Je retombe le bassin dans le vide, essoufflée. Je sens la main sortir doucement me quitter. Une sensation de vide en moi mon vagin grand ouvert comme jamais. Je réalise doucement ce qui vient de m'arriver. Mon maître me présente sa main, je réalise que je viens de recevoir cette main en moi. Jusqu'à présent, je l'avais imaginé en moi en fonction de mes sensations mais là, je la vois, pleine de jus de ma chatte. Puis mon regard s'élargit et constate la foule amassée qui m'a regardée jouir par deux fois sur cette main. Leurs regards portés entre mes cuisses qui doivent exhiber mon vagin dilaté ouvert de façon obscène. Mon maître et aussi mon mari, tourne autours de la table et me caresse de sa main qui vient de ravager ma chatte. La mouille se répand sur mon visage me faisant renifler mon propre sexe.

    Puis tu t'adresses à moi, mettant en évidence devant tous mon nom et le fait que je viens de prendre mon pied. J'entends les moqueries et la honte, l'humiliation bien que me blessant me procure un plaisir vicieux. Et surtout, tu insistes sur le fait que je vais en vouloir encore. Et, après de tels orgasmes, je réalise rapidement que tu as raison, qu'une relation sexuelle « normale » ne peut pas me donner le même plaisir... Puis ta bouche dépose un baiser sur ma bouche. Un frisson me parcourt de nouveau d'autant plus que ta main s'active de nouveau sur ma chatte offerte. Et ce ne sont pas des caresses, tes doigts jouent avec ma chatte d'une façon possessive, brutale comme jamais tu ne m'as touché. Tes doigts étirent mes lèvres intimes, les pincent alors que ta langue s'enfonce vulgairement dans ma bouche. Tes dents me mordent pendant que tes doigts pincent mon clito. Ces attouchements machos font raviver une certaine envie entre mes cuisses. Et surtout la claque sur ma cuisse me fait tressauter, mouvement typiquement dominateur et possessif.

    Mais ce qui me fait écarquiller les yeux, c'est la phrase lancée au voisin : « Ta voisine ouverte est à toi » la main de mon mari mais être offerte à un autre est plus difficile à accepter. Je me souviens du regard de l'homme plus tôt dans la soirée au moment où j'ai été nommé « voisine ouverte ». A cet instant, il savait déjà que je serai ouverte aussi pour lui. Alors que je commence à gémir en direction de mon mari, le voisin passe entre mes cuisses. Ses doigts me touchent sans gêne, pose sa main sur mon pubis, ma vulve, descends entre mes fesses. Je me crispe. Je n'ai pas le moyen de me plaindre. Mon mari et maître discute avec le voisin sans m'écouter. Ils parlent de mes orifices devant tout le monde de façon profondément humiliante. Je ferme les yeux de honte mais ces propos humiliants m'excitent malgré moi. Je me mors les lèvres en voyant le voisin sortir son sexe, je sais qu'il va me prendre, qu'il va se défouler en moi et qu'il en rêve depuis le début de la soirée.

    Je retiens mon souffle quand la soumise du voisin se retrouve appuyés sur le lit les fesses en arrière, son visage proche du mien. De nouveau, elle essaie de me rassurer en me disant que j'ai été parfaite. Elle me propose de nouveau d'échanger après avoir subi les assauts de nos maîtres respectifs. Elle me parle comme s'il était naturel que je sois la soumise de mon maître. Alors qu'elle me parle, le voisin vient enfoncer sa queue dans mon vagin distendu qui ne résiste évidement pas. Cela ne me provoque aucun désagrément mais je suis crispée que ce soit le voisin qui me prenne et ceci sur la demande de mon mari.

    Moi, l'épouse fidèle, il me donne à un autre homme. Plus j'y pense et plus je recommence à couler sur la queue du voisin. Je suis en train de coucher, non de me faire baiser par un autre homme devant mon mari. J'entends soudain la soumise pousser un petit cri, elle explique à haute voix que mon mari est en train de l'enculer. Il la sodomise et pas moi. Malgré l'affection que je porte à ma nouvelle « amie », je suis prise d'une rage soudaine envers elle car la première sodomie de mon mari est pour elle. Elle ferme les yeux avec un sourire pervers comme une victoire sur moi.

    </td

    votre commentaire