Me faire appelée salope m'excite.. Sue m'arrive-t-il..? Et lorsqu'ils parlent entre eux, parler de sodomie, de plan cul, je me sens.. mouillée.. abondamment... Cette fille qui vient me parler ne fait que raviver d'avantage le désir qui brûle ne moi.. esclave de tes jouissance, quelle jolie expression, quelle belle idée..

Ly.. Lynn.... "très bien Lynn, ouvre la bouche" o_0 euh.. pas le temps de réfléchir ou de feinter, il m'enfonce ça bite dans ma bouche d'un coup, me l'enfonce et me prends la tête pour faire des mouvements d'aller-retours..

Je suce cette grosse bite, je suis là dans la classe de mon prof, nue devant des élèves surexcités, et je le suis de même... Tant de plaisir et de désir m'envahisse, je me laisse faire, et me met à sucer cette bite entre mes lèvres... Je sens qu'on s'approche de moi, vers mes cuisses...

Petiteasiate

Je savoure doucement la montée de l'excitation de mon élève et le bruit des premières claques sur son jeune cul qui n'en avait sûrement pas reçu depuis son enfance. J'apprécie le savoir faire de mes anciennes élèves que j'ai éduquées à ces jeux. Leurs claques sont données par de petits coups secs qui sonnent clair sur la peau matte de ma nouvelle petite souris asiatiques. Les garçons sont rentrés, ils observent la scène, s'attendant à quelque chose dans ce goût là ils ne sont pas surpris plus que cela. Ils font un signe aux deux filles qu'ils ont largement baisées quand elles étaient au lycée. Tout au plus, un émet une remarque sur un ton surpris « tiens c'est elle notre nouvelle salope ? Elle a l'air pourtant d'une sainte nitouche dans la cour et puis elle a un copain qu'elle câline comme si elle était mariée. » Un autre renchérit alors « oui c'est vrai tu as raison c'est étonnant, personne ne la drague vraiment, on ne sait pas si elle est bonne. ».

Je claque doucement des doigts pour ramener les deux grandes auprès de moi et laisser ma jeune débutante courbée, le con humide à la limite de la jouissance, j'aime sentir cette frustration d'une jeune fille s'attendant à jouir et privée de l'éclatement de son plaisir. Mes deux anciennes soumises retrouvent avec plaisir leurs anciens dominateurs du lycée, ils échangent des nouvelles. Dans un autre contexte, les phrases échangées seraient quelque peu surréalistes mais là elles prennent toute leur saveur : « Ah salut ca va ? » « Oui cool et toi, tu encules toujours aussi fort à sec, tu me faisais mal au cul » « Oui ma chérie j'ai toujours aimé ton petit cul de salope et à la fac ça va? » « Ouaih sympa mais le prof et vous, vous me manquez, j'aimais bien être votre putain » « On nous a dit que tu étais avec Jean maintenant ? » « Oui mais il bosse tout le temps et puis il tape trop dur quand il me fesse » « Et toi tu es avec nath, elle nous l'a dit sur msn, on a été étonné car au début c'était une pimbêche qui serrait le cul quand vous l'enculiez » « ah oui ca c'est arrangé, si vous la voyiez maintenant ... »

Je m'approche de toi, tu les entends ? Dans quelques années c'est toi qui dira des phrases comme cela, qui évoquera tes souvenirs de lycée, tes séances de soumissions avec nostalgie. Une des filles attrape tes cheveux, redresse ta tête et te parle tout prêt du visage : « Tu vas découvrir des plaisirs nouveaux, des plaisirs que ne te donnent pas ton chéri, tu vas apprendre à jouir alors que la honte t'en ôterait l'envie, à gémir de plaisir quand la douleur te ferait hurler, tu vas apprendre le trouble de rendre des comptes, le trouble de te promener dans le lycée les autres te considérant comme une traînée, le trouble de te présenter au prof pour qu'il vérifie que tu es bien sans culotte, épilée, parfumée, maquillée, ah oui à partir de maintenant c'est ta règle et tu ne peux y déroger. Elle s'arrête reprend son souffle, et poursuit : « Tu vas aussi connaître le respect infini qu'à le professeur pour ses protégées, la science qu'il enseigne aux garçons pour nous contenter, nous humilier mais ne jamais nous mépriser, tu vas apprendre le plaisir comme tu ne l'as jamais imaginé, à devenir esclave de tes jouissances, ta souffrance va devenir ta drogue !

Elle termine cette longue tirade en t'embrassant longuement, tendrement. La deuxième fille s'approche de toi, te murmure : « tu verras c'est vraiment super même quand tu trouves que c'est trop » Je fais signe au garçon qui encule durement les filles à sec : « Et si tu commencais ? » Il s'approche de toi et me demande : « C'est quoi le petit nom de la nouvelle salope, j'aime savoir qui j'encule » Je te relève le menton, te dit tendrement : « Plus tard tu mériteras ton nom de soumise, mais là répond lui ton prénom » Je te regarde, durcit mes yeux, te gifle d'un coup sec : « Apprends à obéir de suite, dit ton prénom »

Lui

Bien sur que je mouille toujours, mal grès sa sévérité et le fait que ça ne se passe pas vraiment comme je le pensais, je suis nue devant lui, ça m'excite, me donne envie de me faire prendre... Mais je ne m'attendais pas du tout au fait que deux étudiantes, qui ont 3 ans de plus que moi à peu près, entre dans la salle.. J'essaye de me redressée mais un nouveau claquement sur mes fesses me fait comprendre que je ne dois pas le faire.. Je suis tétanisée de peur, enfin, plutôt tétanisée d'excitation et de curiosité, que va-t-il se passer..?

Je suis là, en pleine lumière, cuisses écartées, croupe offerte, ma chatte est assez charnue, et ça l'air de leur plaire à entendre ce qu'ils disent.. "tient une asiatique, elle est pas mal" "oui, effectivement, regarde ce cul bien formé, et cette chatte qui ressort bien..."r "allez, on s'en occupe!"

Cette phrase m'inquiète, que signifie-t-elle? Les deux filles approchent de moi, une passe à mes côtés et me touche les seins, elle me caresse les tétons... Je n'ose plus bouger, ne plus sentir la règle claquée sur mes fesses.. La seconde s'est glissée derrière moi, elle se colle à moi, puis elle passe une mains entre mes cuisses, elle touche mes lèvres, elle peut constater que je mouille abondamment.. Elle s'agenouille, m'écarte encore plus les cuisses, les fesses.. "cambre toi" Je ne le fais pas immédiatement.. 'CLACK' et encore un coup sur mes fesses, je m'exécute de suite et me cambre.. Elle à accès à ma chatte, à mon trou mouiller, elle y pose sa langue et commence à me lécher... Celle qui caressait mes seins s'est mise à lécher elle-aussi, sa langue passe sur mes tétons...

Moi qui n'aurait jamais pensé faire quoi que ce soit avec un fille, là, deux me manipule, je suis abandonnée à elles, sous peine de me faire claquer les fesses... Ce professeur à l'air s'apprécier ce qu'il voit, je n'aurai jamais penser qu'il soit comme ça... Il passe un nouveau coup de fil "Venez, j'ai un cadeau de fin d'année pour vous"

Je suis debout, appuyée sur le bureau, cambrée, nue, une bouche sur mes tétons et la main de cette fille sur mon clito, une seconde fille entre mes cuisses qui me lèche, elle lèche tellement bien, avec toutes ces caresses je commence à gémir... Et là, la porte s'ouvre, 3 jeunes hommes rentrent, du même age des filles, je ne sais plus quoi faire, je suis au centre d'eux, l'objet de convoitise, moi qui voulais profiter de mon prof, c'est lui qui profite, c'est lui qui m'utilise..

PtiteAsiate

Je la suis comme cela, étant certain maintenant que les jeux du plaisir et des corps peuvent commencer. Peut être ont ils même déjà commencé si j'en crois par les reflets brillants de la fente de mon élève. Je savoure doucement son jeu de séduction, laisse épanouir un instant son exitation et son désir, le reste de la nuit m'appartient. Nous arrivons devant ma classe, elle se retourne, se met dos au mur, une jambe repliée, me regardant suçant la pulpe d'un doigt. Je la regarde fixement, tourne la clé dans la serrure et lui dit sèchement : « Entre ».

Elle me regarde hésitante avec un regard hésitant et brillant de ses yeux noirs d'asiatique, tout tout doucement je lui prends les épaules la retourne face à la porte ouverte et la pousse devant le bureau ma main collée à ses fesses sous sa jupe. Je la colle à moi, baisse ma tête pour lécher ses lèvres, les aspirer, les sucer puis doucement coller nos deux bouches et fouiller la sienne avec ma langue. Je prends mon temps pour ouvrir largement sa bouche sous la mienne, la sentir accepter mon baiser et le rythme que j'y impose, lécher sa langue, l'aspirer. Ma caresse, pétris son cul, glisse entre ses cuisses pour caresser sa pulpe à travers le fin tissu de son string. Mon autre bras reste pendant le long de mon corps, elle pourrait s'écarter, se reculer sans peine et elle accepte ma caresse sans bouger, sa respiration devenant juste plus chaude. Si j'avais un doute, il n'est plus permis : cette jeune asiatique a envie de sexe entre adulte, il ne reste plus qu'à le lui en donner.

Je relache mon baiser, sort ma main de son intimité tropicale, la fait glisser sur sa bouche lui dessinant une grimace humide, je descends ma main vers un sein, joue avec, le malaxe, le triture, titille le téton, le pince, le tire tendrement. J'observe avec attention ses réactions, ses mouvements, ses élans pour adapter mes caresses à son rythme d'excitation. Je le regarde fixement en jouant comme cela avec une de ses mamelles et lui chuchote « Déshabille toi jolie petite élève salope »

Elle hésite un instant, un « ho » se forme sur sa bouche, je pince plus fort son téton en murmurant : « J'attends » Je la vois perplexe puis comme un jeu essayer de se dévêtir langoureusement malgré mes doigts qui pincent son téton. Je ne bouge pas attendant que sa nudité soit présente devant moi, qu'elle soit là, nue, attendant. Je m'écarte, va m'asseoir sur une table d'élève la laissant dans l'incertitude nue devant mon bureau. Je ne dis rien, allume simplement un cigarillos dont la braise luit dans la pénombre de la classe. Je la regarde hésiter, se dandiner, se demandant qu'elle attitude prendre.

Elle frotte ses pieds par terre, renâcle, renifle, soupire, une vraie pouliche s'énervant dans son box; elle pouffe une dernière fois et dit : « ah ben si c'est comme cela que vous jouez avec une jeune fille nue voulant faire l'amour avec vous, vous êtes nul, je me casse et allez vous faire voir ». Elle se penche pour prendre ses vêtements, ma voix sèche : « Ne bouge pas » la cloue un instant, le temps se suspend, immobile elle attend ...

 « Tourne toi , appuie tes mains sur le bureau, écarte tes cuisses » Elle essaye un : « Mais Monsieur ... » Sa réponse se perd dans le claquement sec de la règle du tableau sur ses fesses, je répete plus durement, plus fort : «Tourne toi, appuie tes mains sur le bureau, écarte tes cuisses » Je ponctue la fin de ma phrase par un nouveau mouvement sec de la règle sur tes fesses,j'attrape tes cheveux te fait pivoter face au bureau : « Pose tes mains » Je secoue brutalement ta tête attendant que tu obéisses, puis j'écarte tes pieds en les tirant avec les miens. Je te regarde satisfait, te doigte longuement : « Tu vois petite cochonne laquée, tu mouilles toujours »

Je fesse ton cul de la main et t'intime : « Maintenant tu ne bouges plus » Je prends mon portable, tu entends :  « oui oui elle commence à être prête, oui oui c'est cela comme souvent, faite venir les filles » Tu entends des bruits de talons dans le couloir, et des voix de filles, tu les sens entrer dans la classe. Je dis juste : « Allumez la lumière et fermer la porte »

Lui

Dans notre petit coin, je vois qu'il est intéressé par ma poitrine, je lui parle de mon avenir, que je voulais devenir puéricultrice, mais il ne semble pas entendre ce que je lui dis, il à comme un regard vide, mais très occupé, à quoi pense-t-il..? Je vois son regard qui parcourt mon corps, qui s'attardent sur mes yeux, puis ma poitrine, enfin mes cuisses...

Le fait de me voir déshabillée du regard me gêne un peu, mais m'excite, je me sens valorisée, importante, puis c'est par un prof, ce qui me donne une sensation de contrôler celui qui nous contrôle les connaissances... Pouvoir et excitation me remplissent, et dans ce cas, je suis capable de tout... Je vide mon verre de jus d'orange..

A mon tour de contrôler, les asiatiques ont un pouvoir sur les européens, je vais le vérifier.. ses mots à mon oreille ont éveillé mon désir, mon désir de plaire et d'exciter.. Je le fixe, yeux dans les yeux, tout en lui captant le regard je déboutonne mon chemisier jusqu'à mon nombril, j'écarte mon chemisier, je l'entre-ouvre du côté gauche jusqu'à qu'il puisse voir mon téton "qu'est ce que je porte monsieur? je ne suis plus sûr de ce que j'ai, regardez..."

Maintenant son regard tombe sur ma poitrine, petite il est vrai, mais tout aussi séduisante à voir son regard brillant fixant mon téton... Je me retourne en pivotant sur la gauche doucement, ce qui lui permet de voir mon sein de profil, de voir mon téton qui a durcit.. Je suis maintenant dos à lui, je lâche mon gobelet vide par terre "oups..." et me baisse pour le ramasser, tout doucement, en me cambrant, en faisant bien ressortir mes fesses assez rebondies, ma jupe assez courte est remontée par le mouvement, mon prof peut voir le début de mes fesses, il peut voir le tissu noir de mon string entre mes fesses, je me cambre encore plus, il peut ainsi voir le début des formes de mon sexe à travers le tissus, mon sexe bien charnue, et qui commence à être trempé...

Je me relève, me dirige vers le couloir amenant aux classes, seule la lumière de la lune illumine le couloir, il me fixe, il m'a l'air exciter, en passant j'ai vu une bosse dans son caleçon.. A vrai dire je suis excitée aussi.. Je le regarde, nous somme de face, je passe mes mains derrière le dos, les descend aux fesses, soulève ma jupe, prends mon string et le descend à mes pieds... Je me baisse pour le ramassé, il voit toute ma poitrine, je tends mon string du bout des doigts et je dis "ce que j'aimerai visiter les classes de nuit, toute seule avec mon prof..." Je me retourne et commence à marcher, je tends le string au bout du bras pour m'en servir comme d'un appât, un appât pour mon prof...

Je me sens tout contrôler, je peux faire de lui ce que j'en veux, j'ai envie de m'amuser, de prendre du plaisir, de jouir... Je tourne la tête pour voir s'il suit, je le voit finir un mouvement, je ne comprends pas trop quoi, mais il s'est mis à me suivre, et ainsi nous allons nous perdre dans ce couloir peu éclairé, jusqu'à une salle, la sienne...

Petiteasiate