• nue et frissonnante je me précipite dans la cage et me couvre de la vieille couverture... Pourquoi cette cage ? J'ai pourtant été bien obéissante Maître. Mais si tel est votre désir. Le truck démarre. Où allons nous aller ? La bâche me cache le paysage. Soudain je sens que le véhicule roule sur un chemin plein d'ornières et stoppe. Le conducteur viens me voir, lovée comme un petit animal peureux au fond de la cage. Il ôte la bâche. Nous nous trouvons dans un chantier en construction où les travailleurs (tous des immigrés) nous regardent. Intrigués de voir une femme à demi nue exposée ainsi, ils s'approchent et commencent, en lançant des invectives, à tourner et à virer, et à s'échauffer. Je suis morte de peur. heureusement je me sens protégée par la cage. A quoi m'avez vous destiné Maître ? Elle

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  • Tu acceptes l'aide de cette homme que tu ne connais pas, il te regarde avec pitié, commissération comme si tu étais malade, une grande malade. ah si il savait, si il savait pourquoi tu es  là dans le métro le pantalon trempé, si il savait tes vices et tes envies peut etre fuirait il immédiatement ton bon samaritain. Alors que tu montes dans le métro, une personne se glisse derierre toi, une personne qui exulte en ce moment, qui jubile de tes erreurs, de hésitation. Tu entends cette voix, cette voix de la femme qui a eu ta place, "oui oui monsieur, non non elle a pas refusé, oui oui il a pitié d'elle et elle n'est pas assez courageuse je suis d'accord avec vous". Elle parle assez fort pour que tu entendes, qu'il entende et d'autres personnes levent la tete. Il bafouille, devient rouge "mais mais ca veut  dire quoi cela .." Il te regarde "ah je suis trop con". Il descend precipitament à la station d'apres. Mon assistante pose l'ecouteur du téléphone sur ton oreille, tu entends ma voix seche "descend, va t'assoir sur un banc du quai tes mains sous tes fesses tete baissée, tu ne parles à personne, obeis petasse", je dis ce dernier mot avec mépris et deception, y arriveras tu ? Mon assistante racroche, descend, va tranquillement acheter un magazine et s'assoids en lisant patiement, elle regarde juste en coin que tu suis bien les instructions.Apres un temps assez long un hommme approche, mon assistante soupire, lui sourit et se leve pour partir. L'homme s'aproche de toi "ah c'est toi, leve toi". Il te passe une cape qui te recouvre entierement et qui tient grace à un cordon autour de ton cou. Il te regarde murmure "ca va" puis plus fort "deshabille toi sous la cape et donne tes habits". Il les prends du bout des doigts frossant le nez à l'odeur de l'urine, Il marche pour sortir de la station, je tes habites au passage dans une poubelle et te conduit devant un truck. A l'arriere du truck il y a une forme cubique recouvert d'une toile. Il souleve la toile, tu decouvres une cage recouverte par une bache, il défait le cordon qui tient ta cape, tu es nue au milieu de la rue. Il te dit séchement "monte, il y a une couverture au fond". Tu montes nue dans la cage, tu trouves au fondune couverture usée, rapée, trouée. L'homme rabat la bache, monte dans le truck et démarre.

    Lui


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  • Honteuse d'avoir été ainsi regardée, insultée je regrette amèrement de vous avoir désobéi. Le pantalon humide, collant mes jambes, la ceinture mouillée de pisse qui me rentre dans la chair, je prend connaissance de la lettre que vous m'avez remise. qu'elle sort allez vous me réserver ? La vessie pleine, taraudée de l'envie d'uriner je me dirige vers le métro...J'ai du mal à me retenir et d'autre petits jets viennent couler dans mon pantalon... Promis, juré, je serais très obéissante... Sur mon passage, jalonné de quelques gouttes les gens se retournent. Un homme bienveillant d'approche de moi et me propose de l'accompagner. Elle

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  • Tu entends la sonnerie de l'appartement, tu vas ouvrir et tu vois mon assistante qui te regarde bougonne. Elle te pousse entre chez et toi et te dis "suis moi la nouvelle préferrée". Arrivée dans ton salon elle te regarde, s'approche, te demande "tu n'aurais pas quelque chose à me dire ?" Elle hume l'air te jette un oeil soupsonneux "viens dans ta cuisine". Elle ouvre la poubelle voit les restes de gingembre, te gifle, rougit et se rapelle qu'elle n'a pas le droit de te punir, privilege reservé a ton maitre. Elle te crie presque "alors tu as fait quoi petite salope ?" et sans attendre ta reponse elle te dit sechement "donne le telephone". Elle le prend dit "oui c'est moi oui oui je suis chez la chienne, a mon avis elle a jouit". "Si si c'est sur, ca sent le gingembre chez elle et elle ose pas me regarder en face", "oui oui tres bien je le fais" et elle racroche. Elle te regarde "va mettre un pantalon moulant et un petit lainage rien d'autre et revient". En t'attendant elle prepare deux litres de thé, elle te sourit amusée quand elle te voit et et te dit "bois et pose un jour va". Elle te regarde boire tes deux litres en feuilletant un magasine posée sur une table, quand tu as fini elle te dit "viens". Elle prend un taxi avec toi et t'arrete place de l'hotel du chatelet, te met pres de la fontaine face au cafe a cote du theatre du chatelet, te dis "acroupis toi". Elle pose devant toi une coupelle et un écriteau sur lequel est ecris "je suis une pisseuse, à votre bon coeur". Elle te dit "tu bouges pas tu baisses les yeux et tu reponds a personne, il est a la terasse". Je lis tranquillement mon journal en buvant un café, te regardant de loin. Des passants te voient te regardent étonnés, choqués, certain mette de l'argent dans la coupelle. Petit a petit le the fait son effet, tu commences à avoir envie d'uriner, tu te tortilles puis doucement tu laisse echapper un long filet qui mouille ton pantalon et descend vers le caniveau. Les passants s'ecarte, te regarde choquée, un essaye de te relever. Ta pisse chaude t'inonde, trempe le pantalon, tu es bien une pisseuse honteuse ma salope. Mon assistante vitorieuse et hilarde passe jette 5 centimes dans la coupellen, te dit "tu vois tu es pas une bonne soumise digne de lui" et elle pose une bouteille de 50cl de the a cote de toi "bois encore la soumise qui ne sait meme pas obeir". Elle s'en va. Je te regarde avec amusement boire cette nouvelle bouteille et me leve en aprochant vers toi. Je m'acroupis "ta punition n'est pas finie petite indiscplinée". Je mets 100 euros dans la coupelle et une enveloppe et te dis juste "va à cette adresse, sans aller au wc avant bien sur", je me redresse, et reveur je dis "ah ca va pas etre drole de te promener le pantalon trempé et en ayant envie de pisser". Sur cette phrase je te laisse te débrouiller. Lui

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  • Je me sens seule après votre départ. Je suis devenue tellement dépendante de vous. Cet énorme plug qui dilate impudiquement mon anus me ramène à nos échanges qui à chaque fois m'embrasent un peu plus... Alors que dans ma cuisine je prépare mon repas en épluchant du gingembre une idée folle me taraude..cette racine si suggestive appelée doigt du diable me tente, m'attire... une petite séance de figging...ou que quelques gouttes sur mon clito...j'hésite longuement...dois-je céder ? vous désobéir ? Tant pis, je faibli, prend une petite goutte et la frotte délicatement sur mon clito en me contorsionnant à cause de la ceinture. Et c'est la sensation de froid puis de chaleur intense qui s'installe...mon clito est en feu, turgescent de désir que je ne peux assouvir...je m'allonge, ondule râle de jouissance extrême...pendant 1/4 d'heure je suis déchaînée de de volupté et de délectation...mon coeur bat la chamade et je m'écroule repue jusqu au lendemain.. Je me réveille, ôte le plug que je lave conscienseusement et pleines de remords de vous avoir désobéi j'attends de vos nouvelles. Elle

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