• Je suis très fière du collier que vous m'avez mis, j'ai la sensation de vous appartenir totalement et mes sens prête à tout accepter de vous mon Maître, même si la peur s'installe à chaque fois que vous me soumettez à des nouvelles expériences. Les pas se rapprochent, le rideau se soulève.... Les yeux baissés je ne vois qu'une paire de brodequins en cuir munis de bouts métalliques chaussés par 2 jambes musclées. - lève les yeux et regarde, je te veux plus soumise et plus résistante. Je te confie à cet homme qui va t'aguerrir aux supplices les plus raffinés, bien te dilater et t'éduquer pour être une courtisane sachant séduire sans condition tout ce que l'on te présentera. Je regarde donc mon futur tortionnaire, celui qui doit faire plier mes dernières barrières de rebellions, habituer mon corps et mon esprit à tout accepter... Il est grand, musclé, très laid voir repoussant...Il saisit la laisse que vous lui tendez et m'emmène loin de vous, sans que je n'ai pu vous adresser un seul regard d'au revoir.... Nous entrons dans une pièce exiguë sans fenêtre, un grand lit avec des barreaux, un banc en bois, un coin toilette et douche. "- cela sera ta résidence, je ne veux jamais t'entendre prononcer un son. Tu dois rester nue, chaussée des ses chaussures à talons que tu ne dois jamais quitter" Je les enfile. Jamais je n'en ai mis de si hauts. Ils se fixent à la cheville par des lacets et me cambrent horriblement. L'homme s'assoit sur la banc, tend la jambe et me fais signe de venir me branler sur sa chaussure. La position est inconfortable, juchée que je suis sur ces échasses, mais je m'exécute. Le bout en métal s'insinue entre mes lèvres intimes, cherche un passage dans mon sexe. Il me fait signe d'insister, de forcer, de m'empaler sur ce bout pointu qui s'évase sur la chaussure. Je monte et descend dessus, le sens s'enfoncer en moi, de plus en plus profond..bientôt son pied est entré, le métal défonce mon vagin..il soulève sa jambe, la fait allez et venir...me pénètre rudement.... Mes lèvres sont scellées, je retiens ma souffrance..que ne ferais-je pour vous ? Elle

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  • Je te regarde, te souris, te caresse les cheveux et jette un surcre par terre « mange », pendant que tu degustes ton cadeau, j'appuie sur ta nuque avec ma chaussure et murmure doucement « mains dans le dos ». Je n'ai plus besoin de crier ou d'ordonner sechement maintenant, je sais que tu vas obéir consciensieument avec application. Je claque des doigts en regardant le chien qui ne t'a pas donner de plaisir, comment a t il osé ? Il me regarde, jappe, regarde ton cul redressé, le leche et se met en position et bien élévé il te besogne le cul, lui a été dressé à enculer les salopes comme toi. Il termine son travail avec application, je le caresse et lui donne un sucre comme à toi. Je te souris, te reléve le menton, sort doucement ma bite pour te pisser dessus, puis je te prends la main pour que tu me branles et que mon sperme se mélange à la pisse sur ton visage, tes yeux, ta bouche, tes cheveux. Je te regarde heureux et admiratif de posséder une telle chienne. Je te fais sortir de la cage, les deux chiens suivent ton cul à distance respectueuse. Je te conduis dans une salle carellée et te lave avec un jet d'eau tiede savonneuse, je te rince et te seche. Je prends une chambriére acrochée au mur, tapote tes avants-bras « fais le beau ». Je te regarde obéir, tu es vraiment une superbe chienne. Je sors de ma poche un ecrin et te pose au cou le collier en or qui est dedans, et attache bien évidement la naisse dorée qui ne saurait manquée. Je profite de l'instant pour t'admirer avec ce bijoux et je te tire doucement vers un couloir. Nous arrivons devant une tenture rouge carmin, les chiens s'assoids devant semblant hésiter, je secoue une clochette pendue au mur et nous entendons des bruits de chaussures masculines accompagnés des « clac-clac » bien connus des femmes mettant en valeur leur cul à enculer par une paire de chaussures à talon. Lui

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  • Je me blottie dans la cage heureuse que la séance soit terminée. J'ai froid et la vieille couverture trouée n'arrive pas à me réchauffer. Je suis sale, je sens le sperme, mes cheveux sont poisseux.. Au fond de moi je suis heureuse de t'avoir obéi et regrette que vous ne m'ayez pas emmenée avec vous.. La camionnette roule pour une destination inconnue. J'en profite pour reprendre des forces et m'assoupie. Elle s'arrête, le chauffeur me fait descendre - suis moi petite chienne Accompagné des 2 chiens, je le suis docilement. Nous arrivons devant une petite cage où il me pousse et fait entrer les 2 molosses. Je dois rester accroupie tant elle est petite. Le chiens tournent autour de moi, me reniflent. L'odeur que je dégage les excitent... leurs langues commencent à me lécher. J'essaye d'en éviter un quant sa langue viens vers mon sexe. Il se met à grogner et je dois le laisser faire. Sa langue râpeuse insiste sur ma chatte, il lape, mordille mes lèvres intimes. Son sexe commence à se tendre. Une énorme hampe rouge foncée, veinée avec un gland tout pointu. Ses pattes se posent sur mon dos, il se frotte dessus, s'excite .J'essaye de l'éviter mais il grogne plus fortement, cherche mon orifice... Alors je le laisse faire, je le sens me pénétrer d'un énorme coup de rein..il s'enfonce, ses griffes labourent mon dos, il halète et lâche un gros jet épais dans mon cul. A mon grand étonnement, je sens mon plaisir venir, une énorme jouissance s'empare de moi. Je lève les yeux et vous voie me regardant jouir furieusement. - tu es vraiment une bonne petite chienne Elle

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  • J'entre, te regarde, te caresse les cheveux « paix la chienne, aux pieds », je prends un sucre dans ma poche te le tends à manger. Je regarde les hommes autour « vous avez fini, la chienne a été efficace ? » . Un dit « moi j'en veux encore » , je claque ton cul « tourne toi ecarte ton cul », l'homme te baise en s'enfoncant d'un coup, sans s'arreter, il se vide dans ta chatte de chienne, essuie sa bite sur tes cheveux et s'en va. Je souris « un autre ? », ils oscillent de la tete pour dire non. Ton chauffeue arrive, il tient un petit sac, je lui dis « oui elle a besoin de se réconforter la chienne ». Il sort une gamelle du sac, la remplie d'une boite pour chien. Je defais la chaine au mur, la tient en main « mange la chienne ». Le gardien du chantier entre avec ses deux bergers allemands. Les chiens te reniflent le cul, hument la gamelle et mange avec toi dans la même auge. Nous contemplons la scéne avec exitation. Quand tu as fini je te tire par la chaine à travers le chantier vers le pickup, tu marches à 4 pattes dans la boue, les chiens tournant autour de toi, arrivés au pickup je siffle « monte », tu vois devant toi la même cage que celle de l'allée. On te regade monter, je dis au chauffeur « direct au chenil », il monte dans le pickup, démarre, je rabats de justesse la toile sur la cage et je vous regarde partir. Lui

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  • Je commence à comprendre le sort qui m'est réservé. 8 hommes sont entré dans la casemate et commence à me tourner autour. L'un deux, un peu plus gonflé, s'approche, me pousse sur le lit en se déboutonnant, m'écarte les cuisses et viens s'enfourner en moi...il s'enfonce, bouge un peu mais son envie est tellement forte qu'il joui de suite bien vite remplacé par un second... Pendant 1/2 heures ils vont se succéder, venir se soulager dans ma chatte les uns après les autres...Combien : 10...12 je ne compte plus... Soudain un nouvel homme s'approche de moi, me toise et me dit : -" lève toi, va te laver" Je m'exécute, fais une toilette sommaire à l'au froide. il me tend un torchon..je m'essuie Il commence à m'ausculter comme une bête de foire. Les hommes se sont regroupés dans un coin et regardent. Face à moi, il prend un sein, le soupèse, le pétri durement, tire le mamelon. Je pousse un petit cri de douleur. Un gifle tombe. -" tais toi, pas un cri...sinon..." Matée, je le laisse faire. Il écarte mes cuisses, commence à entrer ses doigts dans mon sexe...bientôt 4 y ont pénétrés... Il plie un peu les genoux, met son pouce à l'entrée et d'une énorme poussée qui me soulève entre sa main. Je résiste..ne pas crier.. Sa main bouge en moi, ses doigts s'écartent, me fouillent....j'ai mal Il la retire, me courbe, écarte mes fesses et d'un grand coup de reins pénètre mon cul...Je me sens forcée, je n'ai aucun plaisir et l'acte est douloureux... Il va et viens puis se soulage. Une bonne tape sur les fesses, se retire et s'en va. Les hommes présents sont à nouveau excités...Il se sont déboutonnés, s'approchent.... L'un me soulève, m'empale sur la queue de son copain pendant qu'il s'insère dans mon cul... Leurs mains me touchent de partout, me pétrissent, me pincent, pressent mes seins...Ils se soulagent et me jette sur le lit... La tête en arrière, une queue enfourne ma bouche tandis qu'une autre ramone ma chatte Sa queue est longue, elle s'enfonce dans ma gorge, me donne des nausée...il lâche un grand jet de foutre se retire, et est vite remplacé par un autre... La séance recommence, les queues se succèdent, ma bouche, ma chatte, mon cul Une heure plus tard la fatigue se fait sentir... La chambre sent le foutre et la sueur...Je suis sale, poisseuse....j'en profite pour aller me laver. Tous mes orifices sont douloureux. Un autre homme entre. Il est immense, avec de grosses mains. Il me regarde, me caresse doucement les cheveux, les seins... Je le regarde.. je pense : enfin un homme gentil Il s'écarte, ôte sa ceinture... Vas t il me faire enfin jouir celui la, il a l'air doux et tendre ? Alors que je crois enfin avoir trouver quelqu'un qui va me baiser gentiment, il m'assène des coups de ceinture.... Je m'accroupis pour éviter les coups qui pleuvent.. - " tu ne crois tout de même pas que j'allais te baiser, tu n'est qu'une chienne qui doit être corrigée" Pendant la trêve les hommes ont but, ils sont surexcités, ils me pissent dessus, recommencent à me baiser à même le sol...Le foutre coule, sur moi, en moi... L'un d'eux à pris un concombre et me l'enfonce durement devant, derrière, m'oblige à le sucer... j'ai mal partout, je suis mortifié, aucun plaisir..je sens mauvais... La porte s'ouvre et au plaisir suprême vous apparaissez, vous, mon Maître adoré. ELLE

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