• Tu vois ton bourreau arrivé lentement, il te regarde à travers la vitre, te prend en photos, se moque de toi, il ouvre la porte de ta loge et te dis « viens ». Tu le suis dans ta tenue de tapin, dans la rue tu revois le truck avec la bache, tu sais maintenant ce qu'il te reste à faire : tu montes dans la cage sous la bache, le truck démarre pour te ramener dans ta cellule. Arriver à destination, il te fait descendre, te conduit à quatres pattes en te tirant par les cheveux à ta cellule, te jette dedans et dit « dors bien la chienne, demain on commence la préparation du spectacle ». Le lendemain, tu es reveillée par des coups de fouet claquant à coté de ton visage, tu entends un crie « debout chienne dans le couloir mains sur la tête ». Maintenant, il n'a plus besoin de se répeter, tu obeis de suite, et va dans le couloir où tu vois 9 femmes comme toi, nue, debout alignée contre le mur mains sur la tête. Votre bourreau crie « aller on me suit », il vous dirige vers une piece carelée de blanc de haut en bas avec des anneaux aux murs, cela ressemble à un atelier de boucherie. Il sort un instant et revient suivi de trois femmes tenant dans leurs mains des harnais de cuir. Une à une, elles vous équipent, vous mettent un mord, des reines, le harnais, un licole, un pompon sur la tête. Quand une de vous est préte, elle lui claque la croupe « regarde le mur et ne bouge plus » puis elle tire un coup sec sur le mord pour vous faire sentir la douleur. Puis votre bourreau entre, sans dire un mot, il vous détache, prend les reines et vous conduits dans un manége d'équitation, prend une chambriere, et vous dit « sur une ligne, cuisses ecartées ». Puis il te regarde et dit « tu vas servir d'exemple » et il t'envoie un coup de fouet sur la chatte, la douleur te crispe, te fait serrer la bouche sur le mord. Il poursuit « vous allez être dressée pour un spectacle, apprenez vite car les éléves têtes de linotes je sais les punir ». Toute la journée vous répéter, à la fin comme des juments bien dressées vous arriver à vous déplacer sur une ligne en tournant autour du manége, à trotter le fouet stimulant votre croupe, en etant par groupe de trois les tetons reliés par des liens de cuir avec des pinces à tourner en rond vos seins étirés par les liens, à marcher une devant, une autre juste derriere sa tete dans le cul de la premiere et une troisieme enculant la deuxieme, et pour finir à avancer toutes ensemble un god dans le cul avec un long foulard attaché au god, flottant grâce à un ventilateur créant un vent artificiel. Toute la journée a été ponctuée de vos cris, votre bourreau étant un artiste du fouet et connaissant la méthode pour enseigner à des salopes. Le soir vous êtes ramenées dans la salle carelée, les femmes vous retirent l'harnachement, vous bouchonnent avec de la paille et vous êtes reconduites épuisées dans vos cellules. En vous quittant votre bourreau a conclut « c'est bien, ils seront content ». Le lendemain, vous êtes reconduits dans la salle carellée, une d'entre vous pleurniche, une femme forte, la regarde avec mépris « qu'as tu à pleurer petite idiote, nous allons faire notre spectacle de jument devant nos maitres, tu devrais être fiere et bien te préparer ». Elle va pour la gifler quand la porte s'ouvre, elle retourne précipitament devant son crochet pour ne pas gouter si tôt du fouet. Votre bourreau est là en tenue noire, bottes cirées, fouet à la main, les femmes entrent, vous équipent comme la vieille, il prend vos reines et vous dit « soyez droites, sensuelles, sexy, ils attendent du spectacle et je ne les ai jamais deçus, les recalcitrantes ne partiront pas ce soir et je saurais m'occuper d'elles ». Tu as donc entendu que ton éducation dans ce lieu pouvait prendre fin si ... Le spectacle se déroule avec sexualité et esthétisme, tu me vois te regarder avec fierté, yeux brillant, vous faites votre final avançant le cul dechiré par le gode, le foulard flottant derriere. Ils aplaudissent, je t'envoie un oeillet qui tombe à tes pieds puis vous entendez des bruits de reniflement et de trots, vous voyez neuf poneys males non coupés mis en ligne devant vous. Vous vous regardez, hésitez, puis une doucement s'avance, caresse le poney, les soufles se retiennent, elle se penche, le caresse, masse son sexe qui se raidit petit à petit pour devenir un pieu énorme, elle le suce de la langue et fais de son mieux pour le prendre en bouche tout en tirant sur sa chatte et elle se frotte sur cet enorme sexe en regardant son maitre des perles de larmes coulant de ses yeux. Une à une ayant compris, vous vous aprochez de votre poney pour être la plus belle jument du monde et finir couverte du sperme qui a jaillit comme d'un tuyau d'arrosage du vit du poney. Au moment où votre boureau vous tire sur les reines pour vous faire rentrer tu me vois t'envoyer un baiser des doigts. Tu es conduite encore dégoulinante du foutre de l'animal par ton boureau dans une piece spacieuse, chaude, avec un grand lit, une cheminée et une salle d'eau, il te dit « ne bouge pas ». J'entre, te regarde, te desharnache doucement, te conduit à la douche pour te savonner, de doucher doucement, tendrement, calinement je te lave, masse ta peau où le cuir de l'harnachement a laissé des marques. Je te sers contre moi, t'embrasse longuement, te murmure « tu as été une superbe femelle, et ton éducation est parfaite ». Je te conduis sur le lit où je te masse lentement avec un lait corporel parfumé, longuement sur tout le corp du haut de la nuque au bouts des pieds. Je prends mon temps caressant tes seins, ton ventre, tes cuisses, je te retourne, masse ton dos. Ton corps devient tout odorant, lisse, tendre, glissant, je me mets nu, m'allonge sur toi, frottant mon buste contre ton dos devenu si doux, mon sexe rentre dans tes fesses huileuse et pousse ton cul pour t'enculer tendrement. Je me redresser gardant ma bite dans acceuillant cul d'esclave, je tiens tes cheveux d'une main, et ton épaule de l'autre. Je t'encule lentement, à grands coups, sortant presque mon sexe à chaque mouvement pour l'enfoncer plus profond au coup suivant tenant fermement ton épaule. Le plaisir monte, nous envahi et je me vide dans ton fond, giclant abondement. Je m'écoule sur ton dos sans bouger profitant de ce moment d'éternité où l'homme vide ses derniéres gouttes dans le cul de sa soumise. Tu sens mes baisers sur ta nuque, tes joues, ta langue, nos bouches se rejoignent, mes mains glissent pour caresser tes seins. Je te murmure « demain nous partons en croisiére vers les rives sud de la Méditerranée, obeis bien à ton gardien pour ne pas rater le départ ». Je sors de tes chairs, me leve, m'habille et part sans te regarder. Ton boureau entre et te crie « debout dans ta celullule chienne » ... Lui

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  • Elles sont 3 femmes à me précéder....La première entre...je regarde les autres qui se masturbent, ouvrent leurs orifices...1/4 heure...sans voir sortir personne la porte s'ouvre, l a seconde entre...nouveau quart d'heure, c'est la troisième..bientôt mon tour...Que se passe-t-il si vite ? pourquoi personne ne ressort ? C'est mon tour. J'entre... Là je comprend pour "hercule"... Un homme immense allongé, dont le sexe ressemble à celui d'un cheval qu'on lui aurait greffé tellement il est long et large, attend. Il bande dur...me fait signe d'approcher et de le chevaucher... Je me positionne au dessus..je sens son gland à l'entrée de ma chatte... Ses énorme mains ont empoignées mes hanches...Il me soulève et d'un geste brusque m'enfonce sur sa verge....Je me sens déchirée, pilonnée de l'intérieur...Ses mains s'appuient sur mes épaules pour m'immobiliser...Il bouge, soulève son bassin, va et viens dans ma chatte brûlante et douloureuse.. Ma matrice est défoncée..Tout va très vite....Ses coups de boutoir sont de plus en plus profonds mais je commence à ressentir du plaisir...Alors je bouge avec lui, dose ses pénétrations pour les rendre agréables...Il a compris... Il sent mon extase, mon corps qui se tend, mon sexe qui le reçoit jute abondamment..Ensemble, dans un grand râle nous jouissons... Une porte s'ouvre, mon bourreau apparaît : "Ton maître à de la chance, tu es une bonne salope, bien large, tu as bien pris ton pied maintenant c'est à toi d'aller donner du plaisir, suis moi" Nous sortons par une autre porte tandis qu'une autre femme terrorisée entre. Je le suis dans ma cellule. "Il est midi, je reviens te chercher à 16 H...lave toi, dedans et dehors sans jamais ôter tes chaussures ni ton collier, farde toi, et prend des forces, une soupe t'attend pour te restaurer" J'exécute ses ordres et en profite pour me reposer. Tous va tellement vite que j'ai à peine le temps de dormir alors je profite de ce court répit. La porte s'ouvre, docilement je suis mon bourreau..Nous montons 2 étages. La porte s'ouvre sur des longs couloirs comme dans un hôtel sauf que les portes sont remplacées par de grandes baies vitrées. Des hommes vont et viennent dans les galeries, sélectionnant la fille qui leur plaît. Il me désigne ma "vitrine" "Pendant 12 h tu vas être une "gagneuse", à toi de faire le nécessaire et de fixer tes tarifs. Demain tu devras avoir encaissé 1000 euros..Tu as 5 préservatifs, une serviette, une savonnette et des draps propres, si tu en veux d'autres tu dois les acheter, la buanderie est à ta disposition pour ça." Je me sens un peu perdue, jusqu'à maintenant on m'a "offerte" je n'ai eu qu'à me laisser faire...Mais je veux réussir... Devant les "messieurs" qui passent je les aguiche d'oeillades, de poses sensuelles... Premier client, je lui sors son sexe, le masturbe, lèche sont gland, le coince entre mes seins et très vite il éjacule. Pendant qu'il se reboutonne je pense que je n'ai pas fixé le tarif. Quant il se retourne je lui réclame 20 € Déjà 1/2 heure de passé. je dois revoir mon plan "d'attaque" Deuxième client. " bonjour chéri, je suis là pour te faire plaisir, dis moi ce que tu aimes, si tu veux une totale c'est 100 €" Il me regarde, hésite, commence à sortir ses billets, il n'a pas assez... "pas grave, je vais t'en donner pour ce que tu as" je m'affaire sur lui, des caresse bien appuyées, des petits pincements, de petits aller et retour sur son sexe avec des mots crus..20 mn plus tard tout est fini... Je commence à prendre mes marques. J'ai même trouvé une solution : avant d'entrer chacun doit venir avec son préservatif et sa serviette propre. (pas de petites économies). Déjà 4 heures que je "butine"..je m'améliore..le bouche à oreille fonctionne...ma réputation de "bonne baiseuse" se répand...chacun de mes clients repart "satisfait" Je commence à percevoir leurs "envies" Le temps passe...2 "clients" de l'après midi sont même revenus en soirée, ma chatte, mon cul ont été enfilés par des km de bites... mes seins sont douloureux d'être tétés, mordillés et malaxés... les muscles de ma bouche durs et fatigués de sucer...heureusement la tirelire se remplit... Au fur et à mesure que le nuit vient les hommes deviennent de plus en plus exigeants, plus bestiales et la fatigue se fait sentir...mais je dois continuer...sourire, caresser, lécher, sucer, me déhancher, me démener...Comme une bonne "gagneuse" j'y met tout mon coeur...J'ai même réussi à avoir quelques orgasmes (on ne se refait pas, j'aime trop le sexe). Bientôt 4 H, les clients se raréfient...j'ai du remplir mon "contrat", je n'ai même pas eu le temps de compter ma cagnotte. La porte s'ouvre pendant que je faisais une petite toilette et mon "poussah" pénètre.. "salut ma petit salope, ta chatte doit être bien souple, viens" Il s'allonge, tend son avant bras, doigts en pinces et je recommence à m'empaler dessus... "Hercule" est bien entré, pourquoi pas lui ? Alors je m'accroupie le plus possible, m'agenouille même, et je force, pousse,.... mes talons aiguilles m'éraflent la peaux de mes cuisses...un ultime coup de reins et ses 5 doigts boudinés me pénètrent, le plus large est passé, je m'enfonce sur lui. Ils les bougent, les écartent, les fait aller venir, entrer.. sortir...Il bave sous le plaisir..Il me dégoûte mais le fist deviens plaisir..je ferme les yeux..et là c'est moi qui impose mon rythme... j'ai chaud, j'ai froid, c'est si bon d'être ainsi forcée, des ondes de plaisirs se ré pendent sur tout mon corps... je me mets à jouir, à feuler comme une bête sous le plaisir, j'entre et sort sur sa main de plus en plus vite, de plus en plus fort......... Ai-je rempli mon "contrat" ?........ Elle

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  • L'homme soupire légérement, il te regarde, attends la suite. Au bout d'un moment il se redresse, te pousse terre et secoue une corde pendu pres du lit. La porte s'ouvre, tu vois le gardien entrer, il te regarde, sourit "elle n'est pas bonne celle-ci ?" L'homme ne se donne pas la peine de répondre, il oscille la tête en signe de négation. Le sourire de ton gardien s'écarte, il t'attrape par les cheveux, de conduit contre le mur à l'opposée du lit, t'attache les poignets à deux cordes qui pendent, tourne une manivelle et tu te retrouves pendue par les bras. Il prend deux liens de cuir et lie tes chevilles en les redressant vers tes épaules, il sort un manche de pioche d'une armoire et te fais descendre dessus. Il te caresse les cheveux "tu ne rentre pas dessus tout de suite, petite debutante, mais ne t'inquiete pas ton poids fera le reste et dans une heure il sera bien au fond de toi". Tu vois entre tes jambes courbées, le sexe de l'homme se dressait, cet homme adipeux, repoussant bande doucement en te regardant. Ton gardien rentre poussant devant lui la femme que tu avais vu en torture sur la sexe machine. Elle contemple un instant la scene, anxieuse, puis elle se rassure : elle sait parfaitement quoi faire. Elle s'aproche de l'homme, l'embrasse, le leche, le caresse commence à soufler puis le fais jouir simulant parfaitement son plaisir. Ton gardien regarde la scene et dit, vérifiant que le manche de pioche rentre doucement dans ton cul "tu vois tu es loin du compte". La femme se leve s'incline profondement devant l'homme qui lui jette un morceau de pain par terre qu'elle mange à 4 patte puis retourne dans sa celulle sans se relever. L'homme se leve, se rhabille, discute un instant avec ton gardien, passe devant toi, te pince brutalement les tetons et pousse d'un coup le manche de pioche en riant, puis il sort. Ton gardien ajoute "bon il est temps que tu fasses la connaissance d'Hercule". il débloque la manivellen, tu tombes brusquement par terre sur les fesses puis il tranche les liens de cuir et te crie "debout dans le couloir, va faire la queue avec les autres". Il attend, puis te pose un générateur de choc electrique pres de l'aine, t'envoie un choc et crie "tu as pas entendu ?" Hébétée tu te rappelles et crie "Oui Monsieur". Dans le couloir, tu vois une queue de femme nue, certaine sont inquietes, certaines essayent d'etre détachée, une pleure, la femme que tu avais vu assise dans la paille dans sa celulle réglant un contrat avec un client se caresse consciensieusement, s'ouvre la chatte, le cul. Tu vois que toutes font en fait comme elle, elles lechent, mouillent leurs doigts pour les rentrer plus facilement et s'ouvrir le plus possible. Tu vois ton gardien qui fait signe à la premiére de passer une porte, tu la vois qui se fige, se tends, regarde la porte, le gardien, soupire et passe la porte sa main dilatant sa chatte. Une femme essaye de murmurer quelque chose, elle recoit un coup de fouet du gardien qui crie "taisez vous il y a une nouvelle". Toutes les femmes se tournent vers toi, celle de la celulle avec de la paye te regarde narquoise, d'un air supérieur. Lui

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  • " entre sous merde, tu as de la chance ton Maître ne veux pas que tu sois marquée mais ton corps et ton esprit sont à moi pendant 8 jours. Ta douleur doit devenir un plaisir et plus rien ne doit te rebuter. Tu as compris ?" - "oui Maître " Ma vois tremble, cela l'agace et une nouvelle raclée tombe. " tu dois être forte, pas de jérémiade, ton rôle est de plaire et non de faire pitié" Je le vois prendre sur une étagère 2 spéculums énormes qu'il m'enfonce dans mes orifices en les fixant avec des lanières. Il les écarte au maximum Je sens mes chairs dilatées à l'extrême, presque déchirées... -"Toute les heures, jusqu'à demain matin je viendrais les ouvrir encore, tu dois être très large. Allonge toi et ouvre la bouche." Ma tête se trouve immobilisée par une sangle tandis qu'une sorte de machine à branler est fixée sur ma bouche. Un gode souple et large s'enfonce par de petits va et viens.. " tu verras, bientôt tu pourras bien avaler les belles bites, les enfoncer dans ta gorge..cette machine va t'y habituer petit à petit. Retiens tes nausées si tu ne veux pas t'étouffer et apprend à maîtriser ta respiration, à l'adapter aux pénétrations" La fin de journée et le nuit furent très longues et très douloureuses. Toutes les heures mes orifices étaient écartés, le gode s'enfonçait de plus en plus profond, atteignant ma gorge, bien au fond. Au matin je suis épuisée. Aucune trêve, aucun sommeil, mais si je me sens autant déchirée dans le bas ventre, ma bouche s'est accommodée et je peux recevoir ce faux sexe bien au fond sans nausée, il suffit que je positionne bien mon visage en arrière et que je respire doucement... Toujours chaussé de ses brodequins l'homme entre, me délivre de mes "objets de torture" et me demande de le suivre. Nue, juchée sur mes très hauts talons je le suis... Nous remontons le couloir en entrons dans une "chambre". Des miroirs partout, en haut, à gauche, à droite.. un énorme lit au milieu avec, étalé dessus un homme hideux, énorme. Tout son corps n'est qu'une masse de graisse avec des plis et des replis. Un visage tellement bouffi qu'on voit à peine ses yeux...2 petites billes porcines et vicieuses qui me contemplent...une bouche lippue avec une grosse langue qui entre et sort...des mains énormes, larges et épaisses... -" voila ton premier client, montre ce que tu sais faire" La porte se referme...Je regarde ce monstre...aucun attrait...par où dois-je commencer ... Je ferme les yeux, pense à vous Maître, c'est à vous que je vais donner du plaisir... Je m'approche et commence à le caresser...les cuisses, le ventre, ses seins...courage .. Elle

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  • L'homme te regarde jouir, car tu jouis ainsi bien sur ma tres chere salope soumise, il sourit, te repousse "c'est bien tu vas te plaire ici". Il sort et reviens quelques minutes apres avec ton ordinateur portable, ton telephone portable et une penderie sur roulette contenant tes robes, sous vetements etc. Il te regarde "voila tu vas pouvoir rester ici une bonne semaine, la porte restera ouverte et tu feras ce qu'on te diras". Il te gifle et te crie "tu as compris sous merde ?" Il te regarde étonné, te gifle encore et crie de nouveau "répond oui monsieur". Il recommence : te gifle et crie "tu as compris sous merde ?" Cette fois ci tu reponds en criant "oui monsieur". Il sourit, te flatte le cul "bien tu es une bonne chienne, suis moi". il s'acroupit, te prend le menton "tu marches bien sagement à coté de moi, tu as compris petite sous-merde ?" Tu hésites, le regarde, répond timidement "oui monsieur". Il te gifle et crie "j'ai pas entendu pétasse". Et cette fois-ci encore tu réponds en criant "oui monsieur". Il sort de ton cagibi et prend un couloir, tu le suis, le couloir est composé de portes ouvertes donnant accés à des celulles comme la tienne. Tu vois une femme nue, dans une celulle vide ne contenant dans la paille qui parle dans son téléphone portable, à son discours tu comprends qu'elle parle à un de ces clients du dernier contrat. Dans une autre tu vois une femme pendu par les pieds, les mains liées dans son dos, elle répéte indéfiniment "je suis une vide couille je ne dois jamais me refuser, je suis une vide couille je ne dois jamais me refuser". Dans une autre, la porte est fermée par une grille, tu vois une femme et cinq chien, la femme se fait baiser par un des chiens au vu de la propreté de la celulle tu vois que la femme est nourri comme une chienne, mange comme une chienne, pisse, defeque comme une chienne. Tu vois passer une femme degoulinante de sperme, marchant courbée, se tenant le cul, gémissant. Ton gardien te dis "tu vois petite sous merde nous n'avons pas que des chiens ici". Dans une celulle, tu vois une femme exatique portant de lourds anneaux d'acier au cou, poignets, chevilles assise en équilibre sur un énorme doubles gode sur lequel elle s'enfonce doucement, se déchirant petit à petit le con et le cul. Devant elle, son maitre la regarde avec satisfaction et commente "c'est bien elle commence à comprendre". Ton gardien acquiesce "oui c'est une bonne petite ta chienne". Vous arrivez enfin au bout du couloir, ton gardien te regarde "bien tu as compris ce que tu as vu ?" Tu vas répondre, tu hésites puis finalement crie "oui monsieur j'ai compris". Il décroche un fouet pendu au mur, te fouette d'un coup sec et précis entre les jambes et crie "retourne dans ta celulle sous merde". Tu te retourne et pars en trotinant à 4 pattes vers ta celulle. Le fouet te leche une nouvelle fois l'entre cuisses, tu l'entends crier "plus vite sous merde", tu acceleres le rythme pour galoper vers ton nouveau lieu de soumise. Lui

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