• la punition a été rude..mon corps tourmenté est courbatu...pourtant Maître je n'ai fais qu'obéir aux ordres...

    Il semble que depuis le début de la croisière vous vous intéressiez à une superbe gazelle : couleur ébène, au corps androgyne à la chute de reins.

    ellipsoïde... mon contraire....ma blondeur naturelle, ma peau blanche, mes rondeurs ne peuvent rivaliser avec...qu'importe...

    Je vous retrouve au fumoir, vêtue de la petite jupe de lin, uniforme du yacht... Vous me toisez, encore mecontent de ma désobéissance. "- Je vais faire un tour à terre, repose toi. A mon retour j'aviserais. Retourne dans ton box et récupère" Matée mais dépitée je me dirige vers ma chambre.

    Au détour d'une coursive je croise ma rivale. Je la regarde, je voudrais lui sauter dessus mais j'attends le moment plus propice. Bientôt nous serons dans un autre pays où je sais que ma blondeur naturelle plaira..j'aurais ma revanche.....

    ELLE


    7 commentaires
  • Tu entends dans les hauts parleurs « 512125 au dortoir dans une minute », sans prendre le temps de te rhabiller tu sors en courant du salon pour arriver à temps au dortoir des esclaves, au passage tu remarques ton amie blonde pendu par les poignets et les chevilles au plafond et tu voies au loin la femme noire servant de table à café sur le pont.

    Tu entends à nouveau dans les hauts parleur « 512125 plus que 15 », certains maitres te regardent passer en rigolant les soumis(e) qui le peuvent te regarde un peu inquiet(e)s, une officiere regarde avec envie ta chatte encore luisante. Tu arrives dans le dernier couloir avant la porte du couloir, il n'y a personne à part un matelot qui te voit courir. Il hésite, te sourit gentiment et te fait un croche pied en attrapant ton seins dans ta chutte, il le pince et en tombant tu arrache ton teton de ses doigts. Tu entends dans le haut parleur « 512125 trop tard ». Le matelot te murmure « personne ne te croira » et il part en sifflotant.

    Tu arrives enfin dans le dortoir, tu vois prés de ton alcove une petite cage sur roulette et deux hommes d'équipages t'attendant de chaque coté de la porte de la cage, un te dit « vite dedans nue avec l'accessoire tu es déjà en retard ». Tu essayes « mais un matelot a ... » L'autre te regarde sévérement « tu dis qu'un marin a enfrein la régle ? Il y avait des témoins ? Qui te croira petite esclave ? ». Tu comprends qu'il est vain d'essayer de protester, tu retires ce qui te reste de ta robe, et entre dans la cage tenant ton accessoire à la main.

    Les hommes tirent la cage à travers les couloirs, tu passes sur le pont où tout le monde te regarde acroupie, courbée dans ta petite cage. Le bateau a acosté et tu vois une file de 5 soumises quittant le navire. La cage est poussée dans un fumoir ou je t'attends fumant délicatement un cigare et sirotant un vieil armagnac. Je te sourie « alors tu n'as pas entendu la consigne ? Tu as trainé dans les couloirs ? », je te jette un peu d'alcool à travers les barreaux. Je demande aux hommes d'équipage « ouvrez la cage et aller preparer le portique ».

    Je claque des doigts « va te mettre sur le dos sur la table basse », évidement tu t'executes, comment pourrait il en etre autrement, je te prend l'ecarteur des mains, l'introduit dans trou à bites et tourne les vis pour que les bords de l'écarteur s'ecarte et dilate petit à petit ta chatte. Je t'entends gémir, je cajole tes mamelles « du calme petite chatte, tais toi et concentre toi pour ne pas me déranger ». je continue doucement de tourner les vis jusqu'à ce que ta chatte soit un trou de la taille d'une balle de tennis. Je souris « voilà qui est parfait pour une gueunon comme toi ». Je prend les pinces qui pendent et les poses sur tes tetons, je te gifle « debout  mets toi devant la glace ». Je contemple ton image de femme à la chatte béante, aux tétons tirés par les poids des pinces. Je suis satisfait, je vais me rassoir pour continuer ma desgustation quand un des hommes d'équipage revient me prévenir « le portique est prés monsieur ». Je le remercie, lui dit « attendez », je te regarde « très chére chatte béante à baiser retourner dans votre cage ». Quand tu es à nouveau dans ton petit cachot ambulant, l'homme d'équipage appelle son collégue et ils te tirent sur le pont.

    Ils ouvrent ta cage, tu voies un portique avec deux lanieres qui pendent et un un fouet et un baillon de cuir avec un gode interne acrochés à un des pieds du portique. Je te caresse le cul « vous allez apprendre à respecter les consignes petites esclaves indisciplinée et aussi à prendre moins de plaisir quand vous enculez des hommes, je ne veux pas que vous deveniez une petite salope lubrique ». Je te souris, te plotte le cul « va chercher le fouet et le baillon». Je te prends le baillon des mains, te le mets le gode rentre dans ta bouche retenu par le baillon de cuir qui entoure ton visage. Je t'explique « tu comprends petite chienne nous sommes à quai, il ne faut pas que tes cries effraient les voisins, déjà que les dockers vont te matter en bandant c' est déjà bien assez ». Je te prend le fouet des mains et te tire par les cheveux sous le portique où je t'attache les poignets en hauteur.

    Je m'écarte, les maitres et soumis(e)s sur le pont se sont mis autour du portique pour regarder ton chatiment, quelques dockers commencent à lever les yeux intrigués par le spectacle. Tu entends au haut parleur « maintenant chatiment de 512125 sur le pont. Tranquillement, méthodiquement je te fouette le dos, les jambes, fais glisser la lame du fouet entre tes jambes. Au bout de quinze coups, je m'aproche de toi, enfonce dans ton cul le manche de mon fouet et en prends un autre pour te foueter de face les seins et ta chatte béante, la laniere te leche l'intérieur des chairs. Je te regarde tressauter en silence, ta bouche se crispant sur le gode enfoncé dans ta gueule de chienne, je te souris, recommence ainsi trois fois. Je m'aproche, defait le baillon, t'embrasse longuement faisant rentrer mon poing dans ta chatte préparée, je te fouille ainsi te lechant la langue et la bouche, puis te murmure ...

    Tenue n° 2 et retrouve moi au fumoir pour aller visiter Palerme. Je te laisse ainsi pendu pour retourner terminer mon armagnac pendant que des hommes d'équipage te détachent.

    Lui


    3 commentaires
  • Je suis au ange. Vous mon maître adoré vous m'avez gâtée Je suis heureuse d'avoir acceptée vos épreuves.

    Je suis propre, parfumée et j'ouvre la housse. Une robe toute simple en soie attachée aux épaules par 2 cabochons. Elle est large, virevolte sur mon corps nu. Je contemple l'écarteur. Un superbe bijoux terminé par 2 gouttes en rubis telle 2 larmes de sang....Que dois-je faire avec ? Je me rappelle vos ordres : aucun accessoire ne doit être fixé par moi sur mon corps. Quand la porte s'ouvre et qu'on m'intime l'ordre de suivre un officier je prend délicatement l'objet.

    Après avoir remonté une longue coursive l'homme ouvre une porte et me pousse dans un somptueux salon. Un homme en uniforme, assis sur un fauteuil roulant me toise. Je lui tend le bijoux. Il sourit. "- tu es vraiment bien dressée, tu as respecté les consignes de ton maître. Ce bijoux te seras posé en temps voulu."

    Je vais t'expliquer ce que tu dois savoir pour cette croisière. Sur ce bateau tous les passagers sont volontaires. Il y a 3 groupes : 1/ les soumis(e)s débutant(e)s qui vont être débarqués en Sicile pour compléter leurs formations 2/ les réfractaires qui devront subir des dressages plus fermes afin de faire tomber leurs dernières restrictions et qui seront débarqués en Turquie notre seconde escale. Il en restera une dizaine comme toi, déjà bien dressées dont le but et de permettre à vos maîtres de rembourser quelques services reçus.

    Tu en sais assez pour le moment. Ce soir ce sont mes fils qui vont s'occuper de toi, je te laisse.

    La porte s'ouvre et l'homme, faisant rouler son fautueil sort. Jentends ricaner derrière moi. 3 hommes très beaux, dans la trentaine, vêtus d'une veste et d'un pantalon blanc me contemple. L'un, cheveux bruns lui tombant sur les épaules s'approche, tourne autour de moi. Je le vois lever le bras. J'entends un crissement et constate que d'un coup de rasoir il a ouverte ma robe en deux. Mon corps se met a trembler, c'est un fou ce mec, j'essaye de garder mon sang froid...

    Un second, au yeux verts magnifiques viens l'ôter et commence à m'enfiler d'un étrange vêtement : un haut en cuir lacé dans le dos qui m'aplatis les seins quand il le resserre et ne laisse apparaître que les bout de mes mamelons. La bas se compose d'un slip dont un gode interne entre dans ma chatte et un autre qui se dresse à l'extérieur comme si j'étais en rut, la taille est serrée outrageusement par une large ceinture, mes fesses étant laissés nues et libres.

    Pendant qu'il me vêts je regarde les 2 autres frères se caresser, s'embrasser..l'un suce l'autre... Je suis poussée vers eux et commence à me mélanger à leur ébats..Je deviens un homme, je suce, j'encule, je me fais enculer..je joue avec les mamelons, on joue avec les miens... Bientôt nous nous retrouvons tous embrochés les uns dans les autres..."yeux verts" pénètre ma chatte, il m'a assise sur "cheveux longs" lui même enculé par le 3ème...tous le monde bouge, se déhanche, gémis, jouis......

    J'avoue ressentir du plaisir, je me laisse complètement aller, je joue l'homme, encule bien à fond chacun d'eux.... Plusieurs heures durant nous batifolant...ils reprennent des forces à tour de rôle mais moi je dois sans cesse les satisfaire.. Je commence à m'épuiser car j'ai eu plusieurs orgasmes et mon corps s'affaibli...mais non ...pas de repos... Ils en veulent encore et encore...quand je ralenti le fouet tombe et sous la menace du rasoir je dois m'exécuter...

    Déjà 5 heures que je baise, je suis éreintée, ma taille et mes seins tellement serrés me sont souffrir, ma chatte et mon cul sont irrités... Mais eux, ils en veulent encore. Alors on m'allonge, écarte mes cuisses et je sens un liquide frais recouvrir mon cul...est-ce un baume ? Mais non.......j'ai compris......j'ai droit au figging...le froid et après la chaleur, la brûlure, l'envie d'être prise, d'être défoncée fort, très fort,....

    Ils ont gagné, je commence à m'empaler sur l'un d'eux, je me déchaîne sur sa queue puis sur la seconde et ainsi de suite...maintenant c'est eux qui ont du mal à suivre...les doigts remplacent les queues devenues défaillantes tant ils se sont vidés.....Je ne suis plus qu'une femelle en chaleur qui veux baiser et être baisée...

    Bientôt j'entends les moteurs du bateau qui changent de bruits..nous allons accoster..la séance va se terminer.

    Bonjour la Sicile.

    ELLE


    4 commentaires
  • Au matin tu es réveillée par ton bourreau « a la douche la jumert ». Il te conduit dans la piece carrelée où tu as été préparée au carroussel, tu vois deux autres femmes nues, face au mur. La superbe blonde en cellule dans la paille et gérant ses affaires, et une noire aux tetons longs proeminant, à la bouche charnue et aux levres épaisses. Ton bourreau te pousse « à coté d'elles ». Puis il prend un tuyau d'eau tiede et vous lave au jet. Sa besogne terminée, il jette « sechez vous avec les serviettes pendues et passer à côté. Dans la piece à coté, tu découvres trois immenses valises posées sur des palettes, le bourreau les ouvre et tu vois que dans chaque valise est aménagé un siege et une forme de femme assise modelée dans la mousse de la valise. Le bourreau vous place chacune devant une valise. Il commence « c'est valise sont faites pour vous, elles sont étudiées pour vous transporter sur le bateau, elles ont un systéme de climatisation et d'aeration d'une autonomie de 3 heures, le transport ne dure que 30', vous n'avez donc aucune inquiétude à avoir, aller monter ». Chacune d'entre vous monte sur la palette, et prend place dans la valise, se loge dans la mousse l'entourant. Quand vous êtes installées, votre bourreau sourit « parfait et vos maitres ont pensé à vous ». Quand il ferme la porte de ta valise, tu sens deux godes sortir de la mousse pour se loger en toi. Oui j'ai pensé à toi. Le transport se déroule sans probléme, tu sens la vibration des godes en même temps que le tressautement du camion transportant les valises. Puis tu entends des bruits de grue, la valise est soulevée et déposée quelque part, la porte s'ouvre, tu entends dans un haut parleur « sortez ». Tu t'extraies de ta valise, laissant une marque humide sur les godes, et tu découvres 20 autres personnes faisant la même chose que toi, tes amies du chenil ont l'air d'avoir bien supporté le voyage, ont elles eu droits aux mêmes douceurs que toi ? Tu es dans une salle grande en parquet d'acjou et lambris au mur, la même voix poursuit dans le haut parleur « approchez mettez vous en ligne de 5 devant moi ». Vous obeissez et vous retrouvez en ligne devant un pupitre d'où parle un homme galonné en uniforme de marin. « Bonjour je suis le capitaine et donc le seul maitre du bord ... après Dieu et vos maitres », il sourit de sa saillit, il lit un papier ; Les soumis et soumises doivent respect à tout maitre et obeissance à leur maitre seul les soumis et souimses doivent porter en permanence leur tenue de soumission ou celle choisie par leur maitre les soumis et soumises doivent obeir aux consignes donner par haut parleur et s'y conformer Les soumis et soumises peuvent se déplacer librement si leur maitre ne les a pas consigné dans leur logement Les officiers peuvent utiliser les soumis et soumises selon leurs envies sous l'accord de leur maitre Il s'arrete « avez vous des questions ? » Il murmure « je suis bête, ils n'ont pas à avoir de question » puis plus haut « chacun d'entre vous va recevoir son numéro et sa tenue » puis se léchant les levres « un odre par haut parleur peut etre soumise 512125 au haman pour enculade », il vous regarde « la soumise 512125 doit alors aller le plus rapidement possible au haman. Deux femmes en uniforme passe devant vous, elles taponnent un numéro sur la cuisse de chacun d'entre vous et vous remettent une juppe en lin fin transparente tenue par un élastique, voici donc votre tenue de soumise, ton numéro est le 512125. Une des femmes en uniforme s'arrete devant l'un des deux soumis présent qui n'a pu réprimer la nature et dont le sexe superbe est dressé, tendu, décaloté par une circonsision. Elle sourit, lui dit « je suis officier mon beau et je sais profiter de ces croisieres », elle effleure de la main le gland qui tressaille et l'homme arrive par jeu à le faire osciller pour dire oui. Elle eclate de rire, lui tend sa juppe « doucement mon beau, je ne suis pas sur que ta maitresse aprecierait et ce serait dommage que tu sois mis à la peine ou abimer ». L'officer feminine qui la suit est une femme rondelette, enjouée, pour poursuivre le jeu, l'homme fait dire non à son gland, la femme prend le sexe dans sa main grassouillette, le caresse et dit « ce n'est pas toi qui choisit mon beau et je suis officier aussi ». Elle le caresse arretant son mouvement quand elle sent qu'il va jouir. Il met sa juppe comme les autres. Le capitaine qui a posé longuement les yeux sur toi dit dans son micro « les esclaves en rang pour aller dans vos quartiers ». Vous arrivez dans un dortoir contenant 5 murs en croix, délimitant 20 alcoves fermées sur deux cotés, chaque alcove porte le numéro d'une soumise et est aménagée pour elle. Certaine ne contiennent qu'une planche, d'autre un lit de camp, une est aménagée comme une prison en fer avec deux seaux de couleurs différentes et un bureau. Tu vois la blonde qui a été dans le chenil avec toi rentrer dans sa cellule le sourire aux levres. L'alcove 512125 est aménagé comme un petit salon louis XVI avec un lit soyeux, une banquette en velours et une venus offrant tout le nécessaire de maquillage et de beauté et enfin une penderie. Tu vois une lumiere rouge s'allumer au dessus du miroir de la venus et tu entends ma voix « bonjour tres cheres petite esclave, j'espere que ton alcove te plait, je t'attends à 20h au restaurant avec la tenue n°13 et l'accessoire n°5 ». Le haut parleur du dortoir resonne « les esclaves au salon de beauté ». Tu vois tes 19 co-esclaves se diriger en rang vers une porte ou ils attendent. Les deux femmes officiers passent à ce moment là inopinément, regarde leur étalon et soupirent « bon tu as retrouvé ton calme, c'est bien on te veux entier sans être abimé ». Puis une femme en blouse blanche viens devant toi « tu es la 512125 ? suis moi ». Elle te conduit dans un salon et te dit « tu as de la chance, ton maitre veux que tu sois choyée ». Pendant une heure tu peux prendre un bain moussant, être massée, parfumée, coiffée, manucurée.Il ne te reste plus qu'à mettre l'accessoire et ta tenue. Tu ouvres la penderie, tu découvres des tenues sous des housses plastiques, chacune portant un numéro et des boites affectées d'un numéro.Tu ouvres la numéro 5 et tu peux prendre entre tes doigts un écarteur à vis en argent relié à deux chainette argentées se terminant par deux pinces ayant un petit poids sur lequel est ciselé une soumise attachée à genoux et auquel est pendu une goutte brillante. Il ne te reste plus qu'à mettre l'accessoire et ouvrir la housse n°13 ... Lui

    6 commentaires
  • Quand je me retrouve seule dans ma cellule je suis heureuse, comblée je vous ai fais plaisir. Demain matin vous viendrez me chercher pour d'autres horizons mais je serais enfin avec vous. Je m'allonge sur ma couche, nue et toujours revêtue du collier et des chaussures..La porte s'ouvre, interrompant mon repos bien mérité. Mon bourreau est là et me demande de le suivre. Obéissante je m'exécute. "- la coutume veut que le dernier soir c'est mon plaisir que tu dois exécuter. Ce soir je veux voir ton corps de chienne s'accoupler à mon poney. Ton cul est prêt pour ça". Sans tenir compte de ma nudité, il me fait monter dans un 4X4...C'est la nuit mais nous croisons d'autres automobilistes qui regardent, intrigués, le couple que nous formons. Il se paye même le luxe de s'arrêter dans une citée, d'abaisser le dossier de mon siège et de venir me peloter durement ma chatte et mes seins exigeant une fellation. Que des yeux nous regardent et que des mecs se masturbent ou tentent d'ouvrir le véhicule l'excite. Après qu'il se soit vidé dans ma bouche, nous repartons. A nouveau je me retouve sur la piste où j'ai effectuée mon "numéro" de dressage. Le poney m'attend, attaché au milieu avec un petit banc à coté de lui. L'homme m'allonge dessus, sur le dos, le pousse sous l'animal. Ma bouche se trouve à la hauteur de son sexe. "-lèche, fais le bander, suce le" J'attire cette petite colonne de chair vers ma bouche et commence ma fellation.. Je lèche de haut en bas, caresse les testicules, fait aller et venir sur sa tige la peau douce et foncée de sa verge...de petits aller et retour...mais bientôt la hampe s'allonge...5, 10 cm et elle continue à grandir...et moi aussi je branle, suce, lèche, entre ma langue dans sont large méat...Je le vois long, large, dur, énorme face à mon visage. Mon bourreau retire le banc, me fais allonger sur le ventre, relie mes poignets à mes chevilles et me repousse sous le poney Je le sens écarter mes fesses, y positionner le gland de l'animal qui commence à être énervé. Il recule le banc, appuie sur mes épaules ce qui soulève ma croupe et l'animal ru en avant, sa large queue entre en force tellement la poussée à été forte. Sentant sa verge en moi il continue ses ruades et l'homme agite le banc pour mieux me présenter..J'hurle de douleur, je me sens écartelée, presque déchirée et la bourrade est profonde, sa queue est longue..mon bourreau pousse encore le banc, m'encule plus fort sur la bite, la fait pénétrer le plus profond possible....heureusement la saillie est rapide...un énorme jet de foutre se déverse dans mon cul, chaud, épais, abondant... Retirant le banc il viens remplacer l'animal, mélanger son sperme à l'autre puis une fois bien vidé me détache et me relève. -" bon petit animal, ton maitre à de la chance, tes orifices acceptent vraiment tout, tu es vraiment prête à endurer les plaisirs de la méditerranée" Je ne comprend pas trop son allusion mais je suis contente quand il me ramène dans ma cellule afin de partir avec vous demain. Une croisière pour nous deux, au soleil... Elle

    11 commentaires


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique