• Finalement, Elle a préferrée poursuivre ses vacances passant du Sénégal au Golf comme le montre son mail. Mais où s'arretera t elle ? J'espére comme tous ses fans qu'elle reviendra bientôt nous raconter ses souvenirs de vacances.

    Lui

    Son mail: Date : 9/6/08 11:58 PM mon voyage se poursuit dans l'île de Bahreïm un vrai petit paradis sur terre ou mon hôte est un homme admirable.... J'ai peu de temps à consacrer à internet mais je suis au loin les commentaires... Vu le beau temps en France je vais encore un peu prolonger.... à bientôt


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  • en effet son pseudo (celui de legionnaire) me donne des idées très vicieuses. mes "séances" sénégalaises sont très jouissives..j'ai peu de temps pour réfléchir à le suite.. Le plaisir est suprême, les hommes qui m'honorent vicieux comme j'aime...tous mes orifices béats de plaisir, et la diversité inter racial très présente....les asiatiques sont d'une perversité surprenante... et la balançoire d'amour très présente... rendez vous après le 5 juin A partir de demain plus d'internet...je pars dans une autre pays..Où ? je l'ignore encore.... a bientôt Elle

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  • Aprés le traditionnel examen du médecin, tu retournes te coucher le con coulant de sperme : cette fois-ci distrait il a oublié le préservatif, tu te couches pour te reposer avant d'arriver en Turquie.

    Ton réveil sonne à 9h, tu mets encore une fois ta tenue de soumise pour te rendre à ton dernier cour de massage, en bonne élève tu te caresses en allant vers la salle de cour pour arriver humide et tétons tendus, en arrivant un regard furtif vers les autres soumise te confirme qu'elles ont toutes fait comme toi. Votre professeur vous attend, son inséparable badine à la main, elle vous regarde : « eh bien qu'attendez vous petites catins de maison, allez vous mettre prés d'un des hommes allongés et mettez vous nue devant lui et agenouillez vous » Chacune d'entre vous se place devant la tête d'un homme allongé sur le ventre et se déshabille lentement, prenant garde à respecter les règles de grâce enseignées dans les cours précédent. Votre enseignante par quelques coups de badine placés sur les seins ou le pubis rectifie la position de ses élèves. Elle t'a placée devant un homme gras, adipeux dont le lourd ventre dépasse largement sous lui. Elle t'a donné une petite claque sur le cul en te murmurant : « bon courage pour le faire jouir mais si tu le ne fais pas tu seras punie » Elle t'a laissée devant lui en souriant aux anges, presque hilare.

    Tu te mets nue en essayant de te cambrer, remuant doucement tes hanches, ton buste, tu vois les petits yeux porcins de l'homme allongé qui te fixent, te regardent inexpressif. Tu t'agenouilles lentement pour lui masser le dos, tu sens sa main se coller brusquement à ta chatte et ses doigts boudinés qui force d'un coup ta fente. Il sourit de sentir l'humidité de ton antre et murmure « C'est bien la gueunon est une bonne putain » Tu continues à le masser sentant ses gros doigts rentrer un à un, il veut tous les pousser pour que les 5 te déchires le con, il force, fait tourner ses doigts sa main, ses petits yeux te lancant maintenant un regard vicieux. Ton enseignante passe derrière toi, abat sa badine sur tes épaules : « Souris la pétasse à tout le monde, souris;là tu as une tête à faire débander un régiment de légionnaire » Tu essayes d'être plus câline, plus tendre, mais les doigts sont maintenant tous en en toi, et il continu en forçant pour rentrer sa main. Quand il y est parvenu, il la fait glisser à coup sec dans ta moule, il murmure : « Masse moi bien le dos petite pensionnaire de bordel, applique toi bien » Il montre une joie bestiale à te défoncer la chatte avec sa main et à te forcer à être douce et tendre en même temps.

    Puis il se retourne, tu vois sa petite bite molle, perdue entre ses cuisses grassouillettes et son ventre plantureux : la tâche va être ardue. Tu t'enduis le corps de crème odorante et commence à ramper sur ce corps abject, tu fais glisser tes doigts, ta langue, colle tes lèvres aux siennes, rien ne semble vouloir exciter le pachyderme qui est sous toi. Il te retourne sous lui sans ménagement, relève tes cuisses avec son biceps gros comme une jambon, et commence à faire à ton petit trou du cul, ce qu'il a fait avec ton trou à bites. Lentement, un à un il enfonce ses doigts pour finalement te fister le cul, ses yeux maintenant brillant, vifs ne te quitte pas. Il te pose la main sur le cou, appuie pour te stranguler à moitié et fait glisser son poignet dans ton fion, exultant de voir ton visage rouge, congestionné et de sentir ton bassin onduler pour essayer de s'accoutumer à sa main.

    Quand ce jeux l'a lassé, il retire sa main, te relâche, te sourit et complète: « J'ai besoin d'un massage du cul ma petite dinde » Sans autre commentaire, il s'assoit sur ton visage, t'écrasant sous son poids, il pose ses deux abatoirs sur tes seins pour les compresser et tordre tes tétons. Tu sens petit à petit entre deux hoquets, une odeur acre, forte, et une masse brune commence à toucher ton nez. Tu essayes de te débattre, de te tortiller pour te dégager et quitter cet homme qui chie sur ton visage. Son poids oppressant rend toutes tes tentatives veines et tu reçois un coup de badine sur le pubis, bien appliqué, la badine frappant les lèvres de haut en bas. Tu entends votre enseignante siffler : « Tu es là pour le plaisir de l'homme et son contentement, veux tu que ton maître te punisse à nouveau ? » Ton visage est maintenant couvert de merde, l'homme fait aller et venir son cul sur ta face épandant son purin puis il joue sur toi comme sur un toboggan, glissant sur ton corps comme sur la pente lisse de ce jeux pour enfant, laissant sur ta peau blanche sa traînée marron. Arrivé au haut de tes cuisses, il se retourne, pivotant sur son énorme cul collé par un effet ventouse à tes délicieuses cannes qui habituellement affolent les hommes.

    Tu distingues entre paupières gluantes un petit bout de chair érigé, dépassant du bide du monsieur michelin rouge d'excitation, bavant concrètement de plaisir : il bande enfin. Il se déplace avec vivacité sur toi pour enfoncer d'un coup sa petite bite dressée, à moitié couverte de chierie dans ta bouche. Il attrape tes cheveux et te secoue la tête pour déplacer ta bouche autour de son vit immobile comme si ta chatte le baiser toi assise sur lui. Ile goret éjacule rapidement dans ta bouche dans un barrissement de plaisir puis se lève, va saluer poliment ta maîtresse et quitte la salle de cours pour aller se laver.

    Tu sens que tes chevilles sont prises et soulevées, tu es tirée sur le sol vers une grande vasque d'eau dans laquelle tu es jetée. Ta mentor s'assoit câlinement sur le bord de la vasque, fait glisser de l'eau sur les cheveux : « Tu as été parfaite, tu t'es un peu débattue mais parfaite tout de même, aller lave toi, habille toi 512125 ton maître t'attend » Elle ajoute : « Décrasse toi dans la vasque puis va dans le bain à coté pour te laver profondément, te pouponner, te parfumer, puis tu viens me rejoindre nue dans la salle d'enseignement, tu as compris petit trou de plaisir ? » Tu acquiesce et elle te quitte, te laissant à tes ablutions. Quand tu la retrouves, arrivant nue, les bras ballant le long du corps, ta nudité devant autrui ne té gène plus, elle est devenu état normal de ta condition. L'enseignante fait glisser doucement ses doigts sur ton corps, la caresse est tendre, affectueuse, légère, montrant par ce fait qu'elle est vraiment une experte du massage. Dubitativement elle hoche la tête : « Tu es très marquée et pas seulement par tes jeux avec ton volontaire de massage, tu risques de n'être bonne que pour les nuits d'Istambul. » Elle soupire, tapote ton cul et te dit « aller va le retrouver, il est au fumoir ».

    A ce moment là résonne dans les hauts parleur du bateau «  512125 est attendue par son maître dans moins de deux minutes » Sans prendre le temps de t'habiller, tu te mets à courir nue dans les couloirs du bâtiment pour faire, ce qui est devenu l'objet principal de cette croisière : plaisir à ton maître. Je te vois entrer nue, essoufflée dans le fumoir, je te regarde admirant encore une fois ton obéissance, ta docilité et savourant l'envie de toi que me donne ta vue. Je te montre un petit coussin à mes pieds comme de ceux sur lesquels dorment les caniche, je forme du bout des lèvres « pour toi ». Tu t'agenouilles et tu remarques enfin l'homme à coté de moi, un homme volumineux, fort, habillé avec costume blanc, gilet, lavallière, ces habits chic, de luxe semblent ridicules posés sur l'éléphant qui il y a à peine quelques minutes répandait sa merde sur tes lieux les plus intimes. Je te souris : « Je te présente M. *** avec qui nous allons naviguer vers les côtes du moyen-orient ». En bonne soumise tu lui sourit, inclinant la tête.

    Je remarque alors les marques de ton corps, te regarde sévèrement : « Tu fais des progrès mais tu n'arrives même pas à te présenter à moi dignement et en faisant honneur à mon invité. » Je te pousse du pied pour que tu tombes du coussin, appuie sur une sonnette et tu entends : « Apporter une cage, oui, oui; le modèle standard sur roulette. » La porte s'ouvre, un maître d'hôtel tirant une petite cage sur roulette entre, il ouvre la porte. Je défait ma ceinture, t'en frappe violemment le cul : « Allez va dedans, tu vas être mise à la cale, puis tu visiteras Istanbul et ses chenils de berger d'Anatolie dans cette cage, tu as l'habitude des camions bâchés maintenant.

    Lui


    8 commentaires
  • Voila pour ceux qui comme moi ne savaient pas ce qu'est une balancoire d'amour ... Elle serait surement aux anges là dedans, liée oscillant au rythme des coups de bites.
    Lui

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  • "J'avance à 4 pattes tel un animal bien dressé. Le petit napperon à carreaux recouvre les marques infligés par l'officier et je suis courroucée que vous ne m'en ayez pas parlé. En bonne soumise j'exécute les ordres....
    Je reste là, immobile pendant que votre main me flatte la croupe faisant attention à ne pas renverser le plateau

    Les minutes passent...j'attends... "- Très bien, tu m'as bien servi, retourne te soigner, je te reverrais quand nous irons à terre. Si tu as encore des marques tu ne seras bonne que pour les jeux de nuit."
    Je suis déçue..ainsi vous les avez vu ces zébrures mais vous les avez ignoré et vous me renvoyez auprès des mes bourreaux.

    Ils sont là, tous les deux à me guetter quant j'arrive à ma chambre et c'est sans précautions qu'ils me poussent à nouveau dans le petit réduit. Une balançoire d'amour pend et bien vite j'y suis attachée, et entravée. Le molosse dirige son sexe vers ma bouche, s'y introduit. La femme officier m'assène des coups de tapette sur les fesses ce qui me fait entrer et sortir de la bouche de l'homme.

    Elle accélère les coups puis écartant mes cuisses introduit le manche au fond de mon vagin... Mon corps suspendu, oscille de plus en plus vite tandis que le foutre se répand dans ma bouche elle continue à branler ma chatte...

    L'homme ayant joui c'est elle qui s'allonge devant ma bouche, me présentant sa chatte poilue à sucer..Le molosse me pousse en introduisant ses doigts dans ma chatte m'immobilisant sur le sexe à sucer...Je me perd dans ses longs poils fournis et odorants..je lèche, suce, bois sa cyprine qui coule abondamment...jusqu'à ce qu'elle jouisse.

    Tous deux repus de plaisir me détachent et me ramènent à ma chambre. "-ma petite chienne je crois que tu vas devoir participer aux jeux de la nuit avec tes marques. Tu vas adoré. Il y a quelques molosses qui vont te plaire. Repose toi et soigne toi comme l'a demandé ton maître".

    ELLE


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