• Il y a vraiment une différence entre une soumise et une salope

    Il y a vraiment une différence entre une soumise et une salope

    Mise à jour

    Je la vis venir à mon cour de nouveau dans une tenue digne d'elle, Lynn remettait des tenues féminines soulignant son corps, ses charmes, des tenues de femme portées par la jeune fille qu'elle est. Elle se promenait dans le lycée en mini jupe, haut moulant, charmante, sensuelle, et sexuelle, dégageant cet érotisme primaire des jeunes filles ne maitrisant pas encore les effets de leur séduction. Je la laissait ainsi pendant les trois quarts de la semaine, l'admirant, la regardant faire des efforts de tenue, prenant des poses lascives, équivoques durant mes cours, s'en était presque amusant. La consigne avait été donnée aux autres de laisser Lynn tranquille, de ne pas l'aborder, de ne pas la toucher. Les garçons veillaient scrupuleusement à ce qu'elle ne soit pas déranger. Le gamin avait bien essayé une fois de s'approcher d'elle, l'intervention « persuasive » des garçons l'avait dissuadé de toute initiative déplacée.

    Puis le jeudi soir, à la fin de mon cour, alors que tous les élèves sont encore présents dans la salle, j'élève la voix : « Lynn à mon bureau s'il vous plait » Le ton autant que le volume de ma voix se font retourner les élèves et, alors qu'aucun élève n'aime venir au bureau du professeur sur un ordre, je vis s'approcher Lynn, somptueuse un magnifique sourire aux lèvres. Je lui tendis une enveloppe lui murmurant : « Je compte sur toi demain soir » L'enveloppe contenait juste une invitation pour la soirée de vendredi chez moi.

    Vendredi soir, vers 19h j'attendais un peu fébrile que Lynn sonne, fébrile non pas de savoir si elle allait venir, cela je sais qu'elle le fera, non plutôt de savoir si les jeux vont pouvoir reprendre. Lynn va t elle se laisser guider, va t elle accepter la promenade le long de ses fantasmes et rêves coquins pour devenir soumise ? Je méditais pensivement sur cette question lorsque la sonnette retentit.

    Je lui ouvris la porte, je la regardais tremblante, faible, désirable dans son incertitude et son inquiétude. Je lui pris la main, referma la porte, la regarda puis lui dit doucement : « Ce soir, tu n'auras aucune contrainte, aucune douleur, aucune punition » « Je veux te faire prendre du plaisir, t'exciter te faire jouir dans la douceur et la tendresse » « Viens » Je la conduisis dans la pièce de ma maison réservée à mes jeux du corps, en fonction des besoins, la décoration et accessoires de la pièce peuvent changer. Ce soir, il y avait juste un tapis en laine épaisse devant l'armoire vitrée et une table basse avec deux écrins sur le coté, j'ai légèrement monté la température pour qu'elle n'ait pas froid lorsqu'elle sera nue. Je mets Lynn devant la glace de l'armoire lui masse doucement le cou, le lui embrasse et commence à la déshabiller lentement, embrassant, caressant les carrés de sa peau mis à nu.

    Je la regarde enfin nue, admirant son reflet dans la glace, je colle son dos contre mon buste , lui caresse les seins, glisse ma paume sur son sexe. Je tend la main vers un des deux écrins sur la table, en sort un rosebud, je le passe sur les lèvres de Lynn le lui faisant lécher, le fais glisser sur sa fente maintenant humide pour l'introduire doucement entre ses fesses puis dans son orifice intime. Je joue avec ce délicat bijou, le fait tourner, le glisse puis ouvre le deuxième écrin. C'est une chaine dorée de tour de cou avec deux bout de chaines se terminant par un une goutte brillante avec une fixation sur téton. Je prends le temps de poser ce bijoux, regardant l'effet qu'il a sur ma mutine soumise qui ne l'est pas encore. Dans l'armoire je prend la robe noire mi-cuisses dénudée dans le dos que m'a conseillée mon ancienne soumise, elle a pris soin de me noter les tailles des habits de Lynn pendant que celle-ci se faisait masser. Puis je m'agenouille devant elle pour lui passer une paire de chaussure à talon, tenue par une large boucle autour de la cheville.

    je me redresse admire une nouvelle fois Lynn puis lui dépose un châle en laine blanche sur les épaules : « Ce n'est pas parce que je te veux séduisante que tu dois tomber malade » Je te prends par le bras pour t'emmener dans ma voiture et te conduire dans un restaurant discret en ville. Je m'amuse de ta démarche un peu tordu du fait du rosebud planté en toi. Je passe mon repas à te parler doucement chaleureusement du lycée, de tes envies, de tes projets, le temps s'écoule entre la plaisante conversation, les mets du repas et le grave grand cru classé conseillé par le sommelier du restaurant. A l'issue du repas, j'effleure doucement la main de Lynn, sur laquelle l'effet du repas, de ses bijoux intimes et des regards des autres personnes présentes dans le restaurant sont visibles. Ces seins tendent la robe, les gouttes se discernent sous le tissus. Peut-elle être encore plus désirable ? J'exerce une faible pression sur sa main et lui dit : « Viens la soirée n'est pas finie » Nous quittons le restaurant sous le regard envieux des hommes présents et sous les yeux courroucés des saintes familles machin.

    Je conduis ma protégée devant la porte d'un hamann, sauna, jackouzi échangiste, je prends mon temps pour sonner à la porte du club, je veux que Lynn ait parfaitement conscience de ce que nous faisons, qu'elle puisse se rétracter et tout arrêter si elle en a envie mais que si elle reste c'est en l'assumant pleinement. Ne la voyant pas bouger, je sonne, règles les formalités d'entrée , tend à Lynn son paréo et linge de bains pour la conduire vers le vestiaire. Je fais glisser sa robe, lui retire ses chaussures, hésite un instant puis lui laisse ses bijoux. « mets ton paréo Lynn même ici on ne promène pas nue dans les couloirs, enfin au début ... » Je me prépare à mon tour savourant d'avance l'effet que Lynn fera lorsqu'elle descendra en tenue d'Eve dans le jaclouzi.

    Mon attente n'a pas été déçue, une fois que j'ai déroulé de son corps son paréo et que je lui ai tendu la main pour l'aider à descendre dans le jackouzi, Lynn est devenu le point focal des regards des célibataires barbotant en attente de chair fraiche. Il y a des moments qu'il faut savoir savourer, je pris donc tout mon temps pour faire descendre Lynn dans l'eau et la coller contre moi pour la caresser, la câliner l'embrasser. Tendrement sans chercher à la brusqer mes mains, mes doigts courent sur son corps, jouant avec les grains de sa peau, caressant ses mamelons frémissant, glissant sur ton bouton sensible maintenant, glissant en elle ses cuisses s'ouvrant naturellement à l'arrivée de mes doigts. Lorsque sentant enfin son trouble, je fus sur de son consentement, je la retourne vers les autres personnes presentes dans le jackouzi.

    je vois les regards ironique de certaines femmes sur le collier de Lynn et le regard envieux de quelques mâles. Je lui murmure en faisant coulisser le rosebud : « A ton avis petite Lynn, crois tu qu'ils bandent tous pour toi ? » Sans avoir une réponse claire à cette question, je vis quatre hommes s'approcher de Lynn, essayer de la toucher, de la caresser. Un avantage de ce genre de lieu est le respect obligatoire par les autres des envies de chacun, un signe de ma part suffit à les refréner et je pu continuer à caresser Lynn alors qu'elle, à moins d'un mètre de quatre hommes la désirant, pouvait ressentir le désir animal que suscitait son corps. Les mains des hommes s'agitant sous l'eau indiquaient clairement qu'ils étaient entrain de se caresser en regardant Lynn de plus en plus émue, chaude excitée. Ma main glissée entre ses cuisses, je caressais Lynn puis la fit jouir devant les 4 hommes pour finalement leur proposer : « on monte ? » Leur acquiescement étant certain, je fis sortir Lynn de l'eau pour la conduire rapidement dans une des alcôves du club où nous suivîmes les hommes aux sexes raides.

    Par où commencer ? je pris la main de Lynn, la fis glisser lentement sur le torse des hommes, lui faisant caresser un à un ses vits tendus n'attendant qu'une chose : la pénétrer profondément. J'installai Lynn à 4 pattes sur le lit de l'alcôve, la cambrant, lui écartant les cuisses, j'installai n'est pas le mot exact, Lynn pris la position seule, tant elle avait envie de sentir en elle ces bites inconnues. Le premier rentra d'un coup pendant que je faisais signe à un des trois autres de venir se faire sucer. Les quatre hommes honorèrent Lynn, la prenant, la baisant sans retenue et avec délectation, la baisant, l'enculant se faisant sucer tour à tour. Les cris, gémissement et réactions de Lynn montraient sans ambiguïté le plaisir, les jouissances qu'elle prenait à ses attentions et caresses.

    Les hommes une fois partis, je tenais contre moi une Lynn alanguie par le plaisir, profitant tranquillement de l'après plaisir, mes mains effleurant son sexe et ses mamelons. « Tu vois petite Lynn, une salope est une jeune fille libre, prenant plaisir de son corps quand elle en a envie, et surtout dès qu'un homme le lui demande, comme tu as fait avec ce gamin que tu as sucé en mouillant ta petite culotte de salope » Je continuais à la caresser tout en lui parlant doucement. « Une soumise apprend la retenue, la patiente, se met à disposition de son maitre pour s'offrir quand il le lui demande, elle ne se donne pas comme une vulgaire femelle à n'importe quel male qui passe. » « Une soumise connait son prix, elle sait son infinie valeur qu'elle a acquise de part l'attention de son maitre, elle sait soumettre ses envies et désirs aux envies et désirs de son maitre, qui ne la galvaude pas comme un vulgaire mouchoir en papier qu'on utilise puis jette au caniveau » « Et ce prix se découvre aussi dans la douleur et les punitions » « Et maintenant adorable Lynn veux tu continuer à devenir ma soumise ? »


  • Commentaires

    1
    tim
    Mardi 25 Novembre 2008 à 09:15
    Quelle insoutenable attente.
    Bonjour, tous les jours, j'espere la suite de cette belle histoire. Je ne poste pas pour ne pas polluer. Mais là, le désir est tel que... je ne peux m'en empecher ;-) Tim
    2
    Lui
    Mardi 25 Novembre 2008 à 09:40
    Re:Quelle insoutenable attente
    Tu as raison Tim mais je ne peux fouetter petite asiate par mail et elle semble prise par ses cours maintenant. Mais je vais l'informer de ton message qui est tres sympa. Lui
    3
    tim
    Lundi 15 Décembre 2008 à 12:30
    petite asiate nous manque
    Toutes ces histoires, sans fin ni suite, c'est vraiment dommage.
    4
    Lui
    Lundi 15 Décembre 2008 à 21:48
    Re:petite asiate nous manque
    Je vais lui dire sur son mail mais je crois que ... ca va etre difficile ... Je le regrette encore plus que toi. Lui
    5
    Angelique
    Samedi 27 Décembre 2008 à 09:56
    Quelle insoutenable attente.
    c'est vrai que c'est sans doute la plus belle histoire, on voudrait la suite !!!
    6
    lui
    Samedi 27 Décembre 2008 à 15:28
    Re:Quelle insoutenable attente.
    oui que dire ? angelique, voudrais tu en ecrire une plus belle encore ? Lui
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