J'écoute amusé son récit puis la regarde sévérement et claque le coté de sa fesse avec la cravache.

"Je t'ai demandé si tu as joui ou pas hier soir et tu as oublié de le préciser !" Je frappe à nouveau plus séchement au même endroit "Alors ?" J'attends que tu fournisses ta réponse, puis je te reléve la tête du bout de la cravache.

"Je t'ai déjà dit qu'une soumise devait être consciensieuse dans son obéissance, l'aurais tu oublié ? Excuse toi" J'entends ses excuse soupir comme "mais non tu dois t'excuser comme ceci, et retiens le : Florence votre petite salope soumise vous prie humblement de l'excuser, aller répéte".

Je jubile de la voir répéter bien sagement comme une petite fille devant son maitre, j'adore ces débuts, ces débourages. Je donne quelques coups de cravache sur sa poitrine "bien petite jument, ton débourage commence, c'est un moment délicieux n'est ce pas ?"

Je titille ses tetons avec la pointe de la cravache "et en plus tu es exitée comme une puce, regarde moi ces tetons de femelle en chaleur, tous dressés, doux, sensibles". Je remets la cravache entre ses cuisses, j'écarte de nouveau les plis de sa peau pour mettre son bouton à vif "bien petite cochonne, tu vas jouir, tu en as besoin, si tu jouis pas tu vas être frustrée, te gâter, te faire de la bile et tu ne seras pas concentrée pour la suite.

J'accélere les mouvement de cravache, flatte les mamelles de ma jument, lui caresse les seins, pince tire ses tetons "aller la pouliche jouis, tu dois apprendre à te retenir quand je le demande et jouir quand je l'exige aller jouis la pouliche ne me decois pas"

Je te regarde jouir, prendre du plaisir quand tes gémissements et râle sont finis, je te félicite, te tapote la joue en te complimentant puis sort une carotte d'une petite boite, te la mets entre les dents "tiens mange tu l'as mérité, puis va à quatre patte sur la table basse là bas en face de glace"

Je te laisse le temps de déglutir ta confiserie de jument et d'aller te mettre là où je te l'ai demandé. Je fais glisser la cravache sur ton dos lentement la glissant sur ta colonne vertébrale allant du haut de ta nuque à la raie de tes fesses, glissant légérement la cravache à l'entrée de celle-ci.

Je redresse ta tête en te tirant les cheveux, tapote tes cuisses pour les écarter, claque la cravache sur ton dos pour bien te cambrer.

"Bien maintenant recule un peu les fesses et appuie toi sur tes avant bras que ta moule de petite chienne soit bien offerte" Je te redresse de nouveau la tete par les cheveux "non non garde la tete bien haute comme une bonne chienne de concours".

Quand je suis satisfait de ta position je te flatte lentement et grassement les flancs, tes nichons, ton bouton, ta fente, ta moule, fais glisser mon doigt de ton trou du cul à ton clito.

"C'est bien la chienne, tu es à point frémissante, humide comme une fôret tropicale garde la pause". Je vais me faire un café posant la tasse sur le haut de tes fesses pendant que je te contemple.

Elle a commencé par me dire que mon blog est troublant : elle a raison évidement.

Puis elle a continué en disant que les dialogues ne pouvaient être vrai : elle a tort évidement.

Et elle a terminé en disant que les femmes ne pouvaient faire ce qu'elle dise faire : seules elles le savent évidement.

Cependant maintenant qu'elle aussi à son tour elle a obéit et jouit, peut etre a t elle changé d'avis. Quoique c'est loin d'être déjà une bonne soumise.