• La femme officier te ramène à moi , toi à 4 pattes, avec un collier , une laisse, le god remis dans le cul, elle tenant la laisse. Elle prend un malin plaisir à traverser tout le bâtiment comme cela, pourque tous, officier, matelot, maître, maîtresse, soumise, soumis puissent te regarder. Elle s'approche de moi toujours dans mon transat, te dit « coucher », puis elle s'allonge à son tour dans un transat prés de moi.

    Elle te caresse la tête et me sourie : « elle a été parfaite votre petite chienne, mon ami Kim a bien aimé ». Elle soupire « moi aussi d'ailleurs ». Je te regarde avec satisfaction « va nous chercher des rafraîchissement ». Je te regarde partir pour obier et revenir un plateau entre les mains. J'aime te savoir soumise et éduquée comme cela : aussi pour être un jouet sexuelle qu'une bonne servante polie, respectueuse et dévouée. La femme officier boit son jus de fruit, se lève, me dit « merci pour la vide couille, je dois reprendre mon service. »

    La journée s'écoule ainsi langoureuse, oisive sur le pont du bateau, te baisant et te faisant me laver la bite quand j'en ai envie. Le soir je te conduis au cabinet du médecin qui quand il te voit arriver salive, se frotte les mains. Il te couche sur le lit, mets tes pieds dans les étriers, te palpe, malaxe, tire les seins en te demandant des nouvelles de ta journée. Je te fais raconter la séance avec Kim, te faisant insister sur les détails, je jubile de te voir raconter à un homme comment tu as servi de vide couille et de pissotière. Au fur et à mesure de ton récit, le médecin bande de plus en plus tout en continuant professionnellement son examen, à la fin quand tu as fini de parle, il sort son sexe, se met un préservatif en bon praticien consciencieux et il t'encule d'un coup prenant son temps pour te défoncer. Quand il a jouit, il sourit « son cul fonctionne toujours, aller va te coucher ». Quand nous sortons du cabinet une autre soumise le corps marqué de striure rouge entre pour prendre ta place. Je te conduis a ton boxe, t'embrasse tendrement et te dis « n'oublie ton cour de massage demain matin », je te quitte pour aller passer ma soirée avec les autres maîtres.

    Le lendemain tu te réveilles, remets ta tenue de soumise et va à ton cours de massage; la professeur est là, vous attends sa badine à la main et commence dés votre arrivée à crier « alors les putains de salon vous êtes prêtes ? », il y a toujours au sol des marins allongés, nus attendant vos soins. Dans un coin, son assistante vous regarde en souriant. Votre enseignante, vous regarde, passe parmi vous et continue « bande de petites salopes nous allons voir si vous avez bien retenu ma leçon, mais ça commence mal, quand des chiennes comme vous doivent remplir leur service elles doivent arriver seins tendus, sexe humide, branlez vous les chiennes ». Elle passe parmi vous vous donnant un coup de badine sur chaque sein. Vous commencez à vous caresser petitement, elle hurle « vous êtes des pucelles ou quoi ? » et la badine rentre de nouveau en action. Son assistante vous filme tranquillement pendant que vous vous masturbez maintenant avec vigueur. Le cour continue tranquillement sur le même rythme, vous apprenez ainsi à masser un homme avec grâce faisant courir vos doigts sur le corps de l'homme pour le caresser tout en lui massant le buste, à frotter avec distinction votre pubis à son gland tout en caressant son cou et frottant vos tétons à son torse, à le sucer vos mains massant ses pieds et son molet. Quand vous vous relevez de votre cobaye, son sperme coulant à vos lèvres, votre enseignante est satisfaite, elle vous regarde caline « c'est bien mes filles, vous commencez à devenir digne d'un de mes bordels ». Elle claque des mains « allez disparaisser ».

    Quand tu sors de la salle, un marin t'apostrophe « 512125 aux cuisines », tu diriges alors vers l'avant du bateau dans les ponts inférieurs. A peine la porte poussée, un homme te regarde « 512125 ? ». Tu baisses les yeux mets les mains derrière ton dos et murmure : « oui » : aucun doute , ton éducation progresse bien. L'homme te regarde, sourit « j'aime bien ce qu'à demander ton maitre, mets toi à genoux. », il te pose sur le dos un support en bois incurvée comme une selle mais plat au dessus, il te sangle ce support avec une ventrière, pose dessus un plateau sur lequel il dresse un brunch avec verre de jus de fruit, vienoiserie, thé au jasmin, carafe d'eau. Il te sourit et t'enfonce dans le cul un tige qui dépasse et sur laquelle il pose deux serviettes, il attache à des seins deux petits paniers au moyen de pinces, dans les paniers sont répartis des pistaches et apéritifs.

    L'homme s'écarte, te regarde satisfait de l'effet que tu produits, il complète en posant un napperon à carreaux rouge sur tes épaules et t'ajuste un mors et des rennes sur le visage. Puis de chaque coté de ta tête, accrochés au lanières de cuir il pend deux petits vases avec dans chacun une rose rouge. Il claque rapidement des mains, un serveur en tenue, ganté s'approche prend les rênes et te conduit dans la salle à manger où je t'attends.

    Je te voie arriver avec un réel plaisir, tu es splendide comme cela, épanouie, désirable, soumise, un régal pour un maitre. Je te flatte doucement la croupe avant de commencer à déguster mon brunch avec délectation.

    Lui


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  • La femme officier s'approche, me toise et lentement commence à me caresser en me murmurant à l'oreille : " enfin !" Sa bouche cherche le mienne, s'en empare..nos langues et nos salives se mêlent, nos corps se frottent.... Doucement elle m'allonge et commence à me lécher les seins, les mordille, tète mon mamelon qui durcit, puis sa bouche descend, s'attarde sur mon ventre, hume ma féminité...sa langue agile commence à titiller mon clitoris, à s'insinuer entre mes lèvres intimes pour recueillir mon jus qui coule sous le plaisir...

    Je m'abandonne sous sa bouche brulante, le plaisir arrive, me tord.... Vous me regardez, pantelante et heureuse.
    -"c'est bon, tu as bien joui, maintenant va te reposer. Nous avons encore 2 jours de mer. Sofia va t'accompagner je te reverrais à l'accostage" Je me relève, contente de pouvoir récupérer de toutes les séances qui m'ont été imposées et docilement je la suis.

    Nous descendons vers les cabines mais à peine arrivée Sofia me pousse dans une petite salle sombre où un homme grand, musclé, impressionant me regarde. - " alors la blondasse, c'est à toi qu'on a donné les fils de l'officier, tu m'as volé mon plaisir et tu vas le payer" Sofia m'attrape par les cheveux, tire mes bras en arrière et attache mes mains derrière mon dos. Elle s'empare d'un paddle et commence à fouetter ma croupe. Les coups pleuvent avec fureur.

    "Kim est mon ami, tu l'as frustré, tiens, attrape !" L'homme s'approche avec une ceinture gode. -" je vais te la fixer, elle est un peu spéciale. A chaque fois que tu m'enculeras le gode que je vais t'enfoncer entrera en toi plus profond et s'élargira" Il l'a fixe par une ceinture bien serrée. Au début je ne ressens que la pénétration d'une sorte de petit pénis. " - viens, encule moi comme tu l'as fais. Tu aimes jouer l'homme, alors vas-y" Les fesses en feu sous les coups je commence à pénétrer Kim qui m'offre son cul.

    Je m'enfonce doucement...le petit pénis de ma chatte s'enfonce aussi et s'élargit... Sofia me pousse, m'oblige à enculer Kim plus loin...Ce mouvement défonce de plus en plus ma chatte, l'ouvre la distend.. Trouvant que je ne vais pas assez loin Sofia recommence ses coups sur mes fesses, sur mon dos. Je sens ma chair céder mais je continue mon mouvement...je m'enfonce plus loin en lui et je me sens encore plus défoncer....

    1/2 heure durant le manège se poursuit jusqu'à ce que Kim jouisse. Je me retire et constate que Kim a déversé son sperme épais et blanchâtre dans un verre. Puis s'emparant d'un bac à glaçons le verse dedans et le range dans le réfrigérateur. <:br> -" alors petite truie tu as la chatte bien pleine et bien écartée, allonge toi à plat ventre" A peine allongée je sens l'urine de Kim se répandre sur les marques infligées par Sofia. La brûlure est énorme et me fait gémir. Sofia me retourne, vise ma bouche et lâche des jets de pisse sur mon visage.

    J'ai mal, je suis fourbue, je voudrais regagner ma chambre. " - tu es bien zébrée petite salope, tu vas être obligée d'être exclue des festivités. Il y en a assez, nous les officiers ont nous ignore" Ceci dit elle pose son sexe sur ma bouche et triture douloureusement mes seins, allongeant mes mamelons en les pinçant tandis que Kim m'ayant soulevée s'enfonce en force dans mon cul. Obligée de supporter le sexe touffu de Sofia je peux à peine respirer. Elle est énormément poilue et ceux ci me chatouillent les narines, entrent dans ma bouche. Elle a une odeur forte de pisse et de cyprine que je dois respirer.

    Elle s'agite sur ma bouche, se frotte, se branle dessus... Le temps s'écoule lentement et je dois subir minute après minute leurs gestes obscènes à mon encontre, leurs pincements, leurs claques sur mon ventre. Rassasiés tous deux ils se relèvent, m'ôtent la ceinture et me libèrent. Courbaturée, marquée de coups et de morsure je regagne ma chambre et m'écroule sur mon lit. Même pas la force de me laver...j'ai été malmenée par ces deux êtres cruels et envieux...

    ELLE


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  • Nous te retrouvons dans l'entrée du restaurant, aux seins tendus de ta rivale et à son air épanoui, tu comprends que nos jeux ont été aussi agréables que les tiens. Je regarde, te jauge, glisse mon doigt en toi pour verifier tes secretions, ton plaisir. Je souris, nous voyons les 4 hommes repartir sans même te regarder.

    Nous rentrons sur le bateau, je te conduis dans ton dortoir, te regarde te devetir, ranger soignesement ton corset, puis un homme en blouse blanche apparaît. Il te regarde, te jauge et te dis vient ! Nous le suivons et nousarrivons dans une piece aménégée comme un cabinet médical avec un lit de gynécologue. L'homme en blouse te regarde, soupire et te dit « placez vous, metez bien vos pieds dans les étriers ». Il te regarde et dit « un point qu'on ne vous a pas dit est que tout les soirs j'ausculte toutes les soumises », il léve les yeux au ciel « et le soumis, si il y a le moindre soucis sur votre santé, votre maitre est banni du bateau et vous étes rapatriée en France ».Il commence son examen, te touche, te caresse, te petris grassement les seins, te fait un toucher rectal en poussant au maximum son doigt dans ton cul. Je souris de le voir agir ainsi, il te tapote la joue en titillant ton clito : « bon ca va, à demain ». Il s'excuse presque « désolé, mais ce soir j'ai déjà ausculté toutes les autres, j'ai plus de force là ». Je te regarde « au lit ».

    Je te rejoins dans ton alcove et t'explique « demain tu te leves à 8h, tu mets ta tenue de soumise de ton arrivée : la juppe buste nu et tu cherches la salle de cours, tu auras un cours de massage et d'aprentissage de bien être , je veux que tu sois une parfaite soumise sachant aussi être une charmante hôtesse connaissant tous les rafinements du plaisir de l'homme , aprés ton cours tu viendras prendre l'accessoire 15 et tu me rejoindras au bord de la piscine ». Sans attendre ta réponse je pars me coucher te laissant dans le dortoir ou on entend les respirations lourdes des esclaves, certains étant entravés et d'autres godés.

    Le lendemain, tu entres dans la salle de cours, tu vois cinq esclaves debout mains dans le dos écoutant respectueusement une femme de tenue et attitude sévére, au sol sont allongés, nus 5 marins. La femme vous explique « aprés mes cours, vous serez de véritable masseuse thaïlandaise, vous saurez masser un homme, du bout des doigts stimuler les points sensibles qui émeuvent un male, vous le ferez avec le sourire et grâce ». Elle hausse le ton « compris ? ». Vous répondez toutes : « oui Madame ». Elle passe devant vous, une petite trique à la main et poursuit « j'ai des moyens persuasifs pour convaincre les récalcitrantes ou les indisciplinées, compris ? »Elle en choisit une et lui frappe violement les seins avec sa trique. Elle vous ordonne « agenouillez vous à coté de l'homme le plus proche, faites le avec le sourire et sensualité, regarder d'abord Lin le faire ». tu remarques alors une jeune femme asiatique dans un coin qui s'aproche et s'agenouille avec la grâce innée de sa race aupres d'un des marins. La femme crie « A vous v! », elle vous regarde, elle s'aproche de celles dont elle n'est pas contente les redresse en leur tirant les cheveux, leur asséne un coup de trique et leur crie « encore ». La séance se poursuit jusqu'à ce que vous arriviez toutes à vous agenouillez en souriant tendrement avec un geste lent et coulé et dans le même mouvement vous devez poser vos mains sur les épaules de l'homme et commencer à le masser. Vous avez toutes les épaules rouges, le dos marqué par les coups. Elle sonne une cloche « A demain même heure, allez vous laver et rejoindre vos maitres.

    Tu ouvres ton armoire prend comme il se doit la boite n°15 et tu vois un ensemble de bracelet de poignet, de cheville, deux anneaux de biceps, un collier et une coiffe. L'ensemble est en argent ciselé. Tu te prépares en te parant des ses bijoux, tu remarques dans le miroir une esclave s'enfoncant dans le con un enorme gode à piquots qui te regarde avec envie.

    Tu arrives sur le bord de la piscine, je suis allongé sur le ventre, sur un transat, je ne bouge pas, attendant que tu mettes en pratiques ce que tu as appris. Je souris en t'observant t'agneouiller comme une geisha des plaisirs du corp, je soupire lorsque tes mains se posent sur mes épaules et que tu commences à me masser. Autour de toi, des esclaves se font honorer, d'autres enculer, certaines pratiquent des pompiers avec application, l'ambiance est douce et chaude au bord de cette piscine alors que le bateau oscille doucement sur la vague. Je te murmure « humm très bien tes cours te sont utiles, tu en suivrant d'autres comme cela le temps que nous arrivions en Turquie ». Nous voyons arriver un groupe d'officier femme dont cette blonde qui est peut-être une officier mais surtout une bonne salope, les femmes tiennent des godes ceintures, te regardent. Je leve les yeux pendant que tes mains descendent sur mes reins. Je réfléchis un instant, indécis entre continuer à profiter de tes nouveaux talents de masseuse ou de te donner à ses insatiables de sexe en uniforme. Finalement, choisis la deuxiéme la solution en leur précisant « vous restez pres de nous aux bords de la piscine ». Cela ne semble pas déranger ces femmes qui retirent doucement leurs uniformes ...

    Lui


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  • Je suis courroucée de votre attitude mais en bonne soumise je suis les 4 hommes... J'admire leurs prestances et les costumes de couturiers qu'ils portent ainsi que l'odeur boisée aux senteurs aquatique d'Hugo Boss... Nous entrons dans une large pièce donnant sur la terrasse, meublée de larges sofas et canapés, au sol recouvert de tapis épais...

    Un des hommes me pousse au centre de la pièce et m'arrache la petite tunique blanche. Je me trouve harnachée du corset, juchée sur les très hauts talons, attendant les bons vouloir de ces messieurs. Il commence à m'ausculter comme un animal de foire : la bouche, la peau, les mamelles, le sexe.... "- tout ça m'a l'air pas mal, en bon état de marche et bien résistant" A peine s'est-il tu qu'un énorme coup de fouet est asséné sur ma croupe...je vacille légèrement...

    "- reste droite, silencieuse et immobile" Un deuxième, puis un troisième coup... Un léger râle s'échappe de mes lèvres... "-courbes toi, prends appuie sur le sofa, puisque tu désobéis" J'exécute aussitôt l'ordre et je sens le manche du fouet me pénétrer l'anus. L'homme le fait aller et venir durement me poussant en avant, me faisant perdre l'équilibre et tomber à genoux.

    Un autre homme s'approche, se dégrafe et me présente son sexe. " vas y suce " Il s'enfonce dans ma bouche sans précaution, bouge en tous sens. J'ai beaucoup de mal maîtriser la fellation. Un autre homme viens sur mon dos, me redresse et me chevauche telle une monture,éperonnant ma croupe d'un martinet...

    Les 2 autres hommes rient de me voir ainsi traiter...Bientôt ma bouche se remplie de sperme et tandis qu'il se retire et il est vite remplacé par un second... La séance continue, le second est bien vite remplacé par un troisième qui viens aussi se déverser... Mon visage est inondé de foutre...quand le quatrième s'approche après être "descendu" il m'applique quelques gifles. " tu es trop dégueulasse, vas te laver et déssape toi"

    On m'indique une petit salle de bain ou je me douche et me lave de partout. N'ayant pas de serviettes pour me sécher je reviens encore humide, et me replace au milieu de la pièce. Les hommes se sont dévêtus et commencent à tourner autour de moi recommençant leurs explorations.. Des mains vont et viennent dessus, dedans mon corps... On me pince, m'écarte, me triture les seins, me tire mes longs cheveux humides...des bouches me lèchent, me mordillent, me sucent...

    Leurs sexes se raniment, les pénétrations commencent : ma bouche, mon cul, ma chatte... tout y passe avec queues et doigts...Debout, allongée, courbée je suis prise de partout, sans arrêt, sans ménagement...

    Je ne suis plus qu'une marionnette, un pantin qu'on abuse, qu'on dilate, qu'on force...le sperme gicle, l'urine fuse, la salive se répand... Complètement insatiables, ils se relayent pour mieux profiter du jouet que je suis devenue pour eux... Ils se vident, lâchent leur libido sur moi... Plusieurs heures durant je suis leur objet de plaisir....

    Bientôt la fatigue se faisant ressentir, ils se relèvent, me poussent dans la salle de bain. Quand je reviens, plus personne...je suis là, seule, endolorie...mais fière...j'ai réussi à tous les "subir" et j'ai même éprouvé quelques orgasmes fugaces mais si bons

    ELLE


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  • En rentrant au dortoir pour te préparer avec ta tenue, tu vois au bord d'une alcove l'officer blonde se rajustant, tu t'aproches et tu vois le soumis attaché sur sa plance avec une cagoule sur la tête son sexe dressé en l'air alors que l'officier potelée s'installe avec un soupir de plaisir sur l'homme ne bougeant pas. La blonde te voit, te sourit, s'aproche.

     « Alors jolie esclave que viens tu faire ? », tu lui réponds en baissant les yeux à une distance respecteuse « mettre la tenue que mon maitre m'a demandée ». Elle sourit encore, ses seins dressés visible sous son chemisier d'uniforme « bien allons voir ca ». Elle t'acompagne devant ta penderie, tu lui murmure doucement « la 2 », elle te claque les fesses « prend là ». Tu découvres un corset en coton ouvragé, elle siffle « il a du goût ton maitre », elle se place derriere toi.

    Elle se colleà toi, caresse tes seins, joue avec tes tétons : « un corset est mieux mis en valeur par des tetons dressés et des mamelles gonflés, sort le ». Tu t'exécutes et tu remarques pendu au porte manteau du corset une paire de sandale à talon avec des lanieres remontant sur la cheville. Les caresses de l'officier se font plus pressante, plus forte. Elle t'intime « mets le », elle s'ecarte un instant pour te laisser la place, son regard est fixé dans le tien au travers de la glace de la penderie.

    Tu mets le corset, elle prend les laniéres les serrent fortement pour comprimer ta taille et ajuster ta tenue, sa main glisse sur ta fente, elle te caresse doucement « ton maitre va t'aimer dans cet état ». Quand tu te baisses pour mettre tes sandales, ses doigts féminins rentrent doucement dans ton sexe et ta rose serrée, en bonne esclave mattée tu te laisses faire en t'afférant. Quand elle te voit prete et que ton plaisir monte, elle sort ses doigts, eclate de rire, te claque le cul « allez va voir ton maitre, j'en profiterai plus tard. Le corset te sert la taille, faisant ressortir ton posterieur, il souleve juste tes seins sans les recouvrir.

    Tu entres dans le fumoir, tu me voies deviser avec ta rivale, je te regarde légérement couroucé « ah tu es là », je souris de ta tenue « non tu ne peux pas aller visiter Palerme dans cette tenue ». J'appuie sur un interphone « apporter une tunique blanche s'il vous plait ». Peu de temps apres un matelot entre tenant à la main une tunique d'une piece à la main, la bosse de son pantalon qui se forme quand il te voit dit clairement l'effet que tu lui fais. Je lui dis « poser ca par terre merci, et toi la chienne suce ce monsieur que tu mets en émoi. Tu t'agenouilles, le suce en bonne putain bien éduqée, je lui dis juste « éjaculez lui sur le visage, elle ne mérites pas de boire votre semence ». Une seconde aprés tu as le visage qui dégouline de foutre. Ta rivale est toute sourire, ma main caressant son bouton sous sa juppe. Je me léve, te dis « habille toi petite salope et viens », nous partons ta rivale et moi pour descendre sur le quai et aller baguenoder dans les rues de Palerme.

    Tu nous rattrapes en courrant ta tunique enfilée à la va vite, ton visage marqué par des trainées de foutre coulant. Nous nous promenons tranquillement, ta rivale et moi accolés, tenant nos hanches, tu nous suit à une distance respectable derriere nous. Nous adminrons les 4 chants de la Piazza Vigliena, nous entrons dans la cathédralede Palerme ta tenue te fait regarder par tout le monde, les éclesiastiques te regardent avec mépris. Un jeune séminariste te dévisage, fais mine de visiter le lieu saint en se maintenant derierre nous mattant ton cul. Je souris de son manege, regarde aux alentours, vois une chapelle un peu plus étroite avec un confessional, je te le montre du doigt en murmurant à ma rivale « des deux c'est elle qui a la robe la plus courte ». Tu entres dans le confessionnal suivit de prés par le séminariste qui regarde inquiet tout autour de lui puis te rejoint remontant sa soutane. Un instant on voit la petite maison oscillé, bougé et on entend quelques grognement en sortir, puis le séminariste apparaît se réajustant, il passe prés de nous et dit une phrase en italien, ta rivale me traduit « mais pourquoi ne m'a t elle donné que son cul ? ». Puis prudement tu en ressors et nous rejoints, je te félicite « c'est très bien on ne t'a pas attendu, as tu jouis ? », sans attendre ta réponse nous quittons l'église pour aller diner dans un restaurant sur les hauteurs ayant une terasse avec vue sur la mer.

    En arrivant dans le parc du restaurant une voiture noire, verres fumées s'arrétent, quatres hommes en sortent, te regardent, discutent entre eux. Nous entrons dans le restaurant acceuillis par le majordome, les 4 hommes me parlent en sicilien, à ma tête ils réalisent que je ne comprends, ils utilisent alors le langage universel : l'un deux sort des billets me les temps et te montre. Ma rivale sourit de toute ses dents et te dits « tu vois petite putain tu vas servir à quelque chose en nous payant notre repas ». Je fais non de la tête, l'homme sort une autre liasse et insiste. J'hésite, prend les billets, te fais signe d'aller vers eux et va avec ta rivale sur le balcon pour déguster notre apéritif pendant que tu vas à la terasse du restaurant avec les 4 hommes.

    Lui


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